68 – L’imagination, Fadaises et Vérités

imagination_01Avant hier, lors de notre petite conversation quotidienne, Brigitte m’a fait remarquer que mes réponses aux emails personnels devenaient de plus en plus longues et tartinées. On s’est dit que, probablement, l’écriture commençait à me manquer et que c’était peut-être un exutoire…

Ce faisant, le lendemain matin, il n’a pas fallu me prier pour que je baisse la pression de la cuve et j’ai pondu deux pavés (les 66 et 67). Ainsi, le jour même, toujours à notre petit rdv quotidien, elle me dit qu’elle avait été surprise de trouver les 2 pavés.

Puis, de nouveau, elle me fait la remarque qu’il est dommage que certaines de mes réponses aux lecteurs ne profitent qu’à une seule personne et non pas à tous. C’est alors qu’elle me rappelle que, par le passé, nous avions monté un blog qui s’appelait “Éclairages” et où je répondais collectivement à des demandes personnelles.

On s’est donc demandé où on pourrait bien coller ce truc ancien parmi la kyrielle de blogs… Hé oui, on ne va pas refaire un blog juste pour ça, car je sais que déjà beaucoup s’y perdent. Aussi, aujourd’hui quand j’ai allumé l’ordi, ce dernier est allé chercher automatiquement les emails et j’ai commencé à traiter-répondre à tout ça.

Et je me suis dit “fais pas des tartines mais prend quand même l’idée et fais-en un article plus tard”. Cependant, même quand je lève le pied de la pédale, il m’est difficile de faire court, surtout quand la problématique soulevée me titille. Je n’ai donc pas pu faire court pour certains emails malgré moi.

C’est alors que je me suis dit qu’à cela ne tienne, je vais quand même en faire un article. Donc cet article est celui d’un nouveau genre, car vous y trouverez la question du lecteur non pas comme avec une question courte et lapidaire impersonnelle mais plutôt comme une problématique personnelle rencontrée et exprimée souvent avec émotion et gratitude à la fois.

Forcément, je vais rendre tout cela anonyme et j’espère que les lecteurs concernés ne m’en voudront pas. De toute façon, il n’y a qu’eux et moi qui savent que c’est eux… Puis l’autre point est que, forcément, au fur et à mesure que j’écris une réponse suffisante (hé oui, le manque de temps me pousse à ne pas trop m’étaler), il me vient d’autres réflexions complémentaires…

Donc, ces ajouts seront mis à la suite du copié-collé de mon email-réponse. Ainsi le destinataire de l’email aura, lui aussi, le droit d’en savoir plus sans pour cela que je lui renvoie le complément personnellement. Dit autrement, certaines de mes réponses aux emails personnels risquent de prendre des longueurs puisque je sais maintenant que je peux me lâcher puisque cela sera mis en parution…

Voici donc le 1er email de la série, où j’ai changé le prénom de la personne par « mon ami ». Comme ça, on est vraiment sûr que c’est anonyme !

Bonsoir Laurent, je souhaiterais avoir ton sentiment concernant l’écoute ou plutôt la non-écoute de la petite voix. Il y a quelques années (20 environ), je n’ai volontairement pas écouté ma petite voix qui me disait de ne pas m’installer avec la jeune femme avec laquelle j’avais une relation. Pire, je me suis marié avec elle.

Je me suis donc retrouvé dans une profonde impasse. Lorsque mon employeur m’a proposé une mutation professionnelle de 3 ans dans les DOM, je n’ai pas écouté ma femme qui était contre mais uniquement ma petit voix et j’ai accepté. Du coup, je suis parti tout seul. Je me suis réalisé dans mon projet professionnel de l’époque, j’ai pris la décision de divorcer et j’ai rencontré la personne qui partage ma vie et plus aujourd’hui.

Les questions qui me viennent à l’esprit sont les suivantes :
* Si, à l’époque, j’avais écouté ma petite voix, aurais-je pu vivre tout cela ?
* Ces difficultés vécues n’étaient-elles pas le lien nécessaire entre hier et aujourd’hui ?
* Et si il m’avait fallu vivre tout cela pour laver certains karma et apprendre, entre autres, à laisser des biens matériels et quelques euros (sic !) derrière moi ? Cela ne m’obsède pas le moins du monde et je trouve cela plutôt marrant, mais je suis preneur de ton sentiment et de ton expérience.

Bonjour mon ami,

Je comprends ta demande et elle me fait sourire, car elle est le signe d’un enfant qui commence à rêver car c’est avec des si que l’on refait le monde, du moins celui que l’on imagine. Te rappelles-tu le « et si on jouait pour de vrai ? » quand on voulait jouer un scénario avec un autre copain quand on était gamin. C’est rajeunissant l’affaire, surtout sans se rendre compte qu’en disant cela nous affirmions inconsciemment que ce que la société prend pour réel était en vérité faux, sinon on aurait « et si on jouait pour de faux ? ».

Alors à tes multiples questions, il y a une infinité de réponses et tu les as toutes vécues, car il y a un truc que tu ne sais pas encore. Nous jouons sur une infinité de scénarios que nous appelons les fils du temps, car toutes les possibilités ont été jouées. En effet, penses-tu que le Sans-NOM laisserait de côté des zones d’ombres et d’incertitudes ?

Seulement, pour être sûr que tu ne tombes pas fou à cause d’un petit-égo limité dans ses ressources, tu ne peux en conscience retenir qu’un fil du temps à la fois. Ainsi ce que tu as vécu en conscience et que tu as en mémoire n’est qu’un seul fil du temps, alors qu’en vérité des millions de variations ont été expérimentées.

Hé oui, à chaque fois que tu prends une décision, chaque solution possible devient un fil du temps. Cependant, n’ayant qu’un seul corps, tu ne peux emprunter qu’un seul chemin en conscience et donc ignorer les autres alternatives. Cependant elles se vivent quand même mais inconsciemment.

Comprends-tu pourquoi, quand nous étions des gamins, nous étions habitués à choisir en conscience et, par jeu, n’importe quel fil du temps et oublier celui dans lequel nous étions prisonnier ? Cet exercice est connu sous le nom d’imagination. Cette dernière n’est pas une création en soi, comme les préhumains le pensent, mais juste l’aptitude à voyager sur des fils du temps qui sont, en vérité, une réalité tout aussi vraie que la matière de ce monde.

Dit autrement, tu ne crées rien car tout existe déjà, y compris la totalité de toutes les décisions que tu prends. Tu ne fais, en vérité, que d’expérimenter en conscience ce qui EST et a toujours été. C’est en cela que tu te formes en tant qu’Esprit.

Fin de l’email

Et c’est à ce moment-là que me vient l’idée de continuer sur ma lancée, car j’ai ressenti que l’imagination telle que le préhumain la voit est une hérésie égotique où, justement, le mental-égo s’éclate comme une valseuse à Vienne.

En effet, quelle est notre première réaction face à l’imagination ? Bah, on pense tout de suite que ce n’est pas réel et que nous sommes l’auteur du délire. Cela a des conséquences, surtout pour les marcheurs qui ouvrent les écoutilles pour entendre l’Un-Visible.

C’est ainsi que notre croyance en NOTRE imagination, nous fait douter de ce qu’il se passe véritablement, d’où le réflexe : J’affabule, je me fais des films, j’ai toujours eu une imagination débordante parce que ceci ou cela, etc… En gros, toute chose non normalisée par rapport au réel de la 3D est immédiatement mise au rayon du rangement vertical (c’est de l’illusion et ça va droit dans la poubelle de la non-réalité).

C’est sûr que vous allez tous vous reconnaître dans cette attitude puisqu’en vérité, il se révèle que c’est un programme involuant très très performant. Bien sûr, certains diront qu’ils profitent de cela dans leur job qui appelle forcément la frangine de l’imagination qui s’appelle “Créativité”. On a donc à faire avec des artistes : des gens qui piochent dans l’Invisible et qui essaient de transformer ça dans la matière de notre espace-temps.

Sont-ils, en vérité, des Créatifs comme leur égo aime bien à s’en vanter ? J’appuie fortement sur le mot égo, c’est-à-dire celui qui veut paraitre et briller aux yeux de tous. En effet, connaissez-vous un seul artiste qui veut rester inconnu, anonyme et qui met ses œuvres à la poubelle car il ne veut pas que les autres les voient ?

La réponse est non, car justement l’orgueil appelle de tous ses vœux à la popularité, à la reconnaissance qu’il est brillant par son coeur ou la performance de son cerveau mais, en vérité, c’est grâce à l’appropriation de ce qu’il va piquer dans l’Un-Visible… Comprenez le mécanisme involuant qui se cache derrière l’artiste créatif se voulant mondain : la récupération orgueilleuse de la beauté, de l’harmonie et de l’unité de l’Un-Visible.

Cela veut-il dire que c’est négatif ? La réponse est non, puisque quand le beau, le bon et le sublime, peuvent nous atteindre via la matière (car nous ne voyons que cela en général), on peut remercier l’artiste avec gratitude, mais est-il nécessaire de le mettre sur un piédestal et de faire des courbettes pour qu’en sorte on comble ses demandes futiles de reconnaissance et de demande d’amour ?

Sachez donc faire la part des choses entre le créé, le transmis et celui qui transmet. Ça c’est la 1ère chose, et la seconde c’est qu’il y a une profonde incompréhension dans la version 3D de la créativité et de l’imagination fertile (forcément, sinon c’est pas de l’imagination !).

En gros, la créativité est une aptitude à écouter l’Un-Visible (la non-matière) et cela peut être autant votre Petite Voix qu’un EDL, EDLN ou autre entité pendant que votre imagination est votre aptitude à voyager sur des fils du temps différents, c’est-à-dire des scénarios parallèles à ceux qui se déroulent dans notre espace-temps.

Vu sous cet angle, on peut mieux comprendre la parabole qui dit qu’il faut redevenir un enfant pour aller au paradis. N’est-ce point une traduction différente du retour à La Source, c’est-à-dire de notre reconnexion à notre véritable nature qu’est l’anti-matière faisant une expérience dans la matière (une prison illusoire) ?

Je remercie donc ce lecteur pour m’avoir fait découvrir une nouvelle branche de l’arbre involutif où le faux petit égo se gave un max en brandissant son concours total à ceux et celles qui possèdent de l’imagination et de la créativité. C’est plus gros que le nez au milieu de la figure (même d’un alcoolo chevronné et reconnu) et pourtant, je pense que la totalité de l’Humanité s’est fait blouser sur ce sujet.

Je jubile à voir combien nous sommes vraiment des aveugles au point de s’être fait berner en beauté. On comprend aussi mieux pourquoi les artistes sont, en général, des personnes ayant une polarité vibratoire plus prononcée que la moyenne. C’est normal, puisque ce sont en fait des lecteurs de l’Un-Visible. Ils ont donc aussi la contrepartie plus ou moins variable d’une évanescence, d’une tendance non consistante qui leur fait prendre parfois des vessies pour des lanternes.

Quand on dit que quelqu’un a une vie d’artiste, c’est l’expression pour dire que ladite personne a de grosses variations financières qu’il peine à stabiliser, tout autant de dire que sa vie ne semble pas vraiment cohérente puisque des jours il sera connecté au “Ciel”, lumineux et communiquant tandis que d’autres fois, ça sera plutôt l’enfer et la solitude de l’incompris.

Bref, un problème de “stabilisation” (= une moyenne avec pas trop d’écarts) en général qui, bien sûr, se reportera sur un émotionnel tout aussi erratique et turbulent. Mais comme c’est un artiste inspiré, on excusera ses comportements bipolaires tout en le remerciant des quelques bribes de beauté qu’il aura ramené de l’Un-Visible. Et puis, si ces œuvres arrivent à percer, alors le fou sera traité de génie…

Par contre, pour ceux et celles qui veulent planifier leur vie et l’organiser, on comprend que l’aspect vibratoire sera remisé au placard (car trop volatil et donc imprévisible) au profit d’un mental qui, en toute logique, étudiera, coupera tout en petit morceaux pour essayer de comprendre. Cet aspect 3D, très mental, très masculin nous amène donc à l’opposé du branché (qui ne refusera pas une fumette pour retrouver ses délires planants) que l’on appelle un scientifique.

La question qui se pose alors est : Le scientifique peut-il être créatif et plein d’imagination ? Si on fait des statistiques, on découvre que s’il lui arrive de l’être, ce sera toujours par hasard dans la majorité des cas, c’est-à-dire au moment où son mental lâche-prise. Hé oui, les plus grandes découvertes scientifiques ont toujours été découvertes par hasard.

Il ne faut pas confondre (encore une petite histoire d’amalgame), l’évolution technologique n’a rien à voir avec l’imagination sinon cela se saurait. En vérité, ce sont les auteurs de science-fiction (des supers lecteurs des fils de temps futuristes) qui donnent les idées aux scientifiques. Ces derniers, grâce à quelques hasards “heureux” (et beaucoup de malheureux), se feront alors plaisir à appliquer ce qu’ils savent afin d’en améliorer l’application pratique.

En gros, la théorie du transistor est venue de la découverte de certaines compréhensions à propos de la science quantique. Alors quand on regarde les procédés utilisés pour faire un transistor (en termes d’interrupteur-amplificateur), on est passé de la lampe à un cristal gros comme une flute de champagne dans les années 50 pour en arriver à vous en coller des milliards sur 1 mm2.

Ton téléphone portable d’aujourd’hui n’est que la miniaturisation d’un truc que l’on connait depuis 1 siècle. Le progrès en soit s’est fait sur la taille et les procédés pour le fabriquer mais en aucun cas sur une découverte fondamentale. Il ne faut pas confondre, amalgamer, le progrès et les découvertes. Ils ont une relation mais l’un n’implique pas forcément la réciprocité identique.

Si un scientifique est un mâle, cela n’implique pas que tous les mâles sont des scientifiques. Alors si un scientifique fait une découverte, cela n’implique pas que toutes les découvertes sont faites par des scientifiques. De plus, le propre du mental est de mettre en boite afin de comprendre la relation entre les boites qu’il aura préalablement découpées selon ses envies du moment et surtout de la manière dont on lui aura dit de le faire.

Pour être un scientifique, il faut donc aller sur les bancs de l’école et ingurgiter toutes les “boites” et surtout éviter de les remettre en question sous peine de ne pas obtenir justement son diplôme. Un scientifique reconnu est d’abord un individu diplômé, sinon il est pris pour un raté, un incapable n’étant pas suffisamment intelligent pour comprendre.

Donc, sans diplôme (en quoi que ce soit), ton CV sera forcément mis en dessous de la pile, pour ne pas dire tout simplement ignoré. Pourquoi tout cela ? Parce que tu n’auras pas prouvé aux autorités que le formatage (la programmation) a été effectivement intégré. En effet, diplôme veut dire “certificat de conformité” ou individu étant conforme à la norme en cours.

Bref, un con formé qui, s’il arrive à prouver qu’il est bon à ce jeu-là (celui de se faire formater le cerveau) deviendra probablement un con pétant. Mais par mesure sociale (bien qu’il fasse chier tout le monde avec ses diplômes et sa science) il utilisera la soufflerie du haut plutôt que celle du bas.

Donc, si vous cherchez un boulot (d’esclave) on vous demandera forcément de la con-pétance. Point besoin de vous donner des preuves de tout ça car, dans la vie professionnelle, on en a à tous les coins de rue, et surtout la hiérarchie n’est ni plus ni moins composée que de cette catégorie.

Certes, beaucoup vont encore remuer dans les brancards en se sentant désignés, mais reconnaissez quand même que notre société préfère les diplômés aux non-diplômés (sinon tes parents ne t’auraient jamais poussé à faire un max d’études et si possible les plus valorisantes comme par hasard). En résumé, si vous avez tout bien compris, plus vous avez de diplômes et plus cela veut dire que vous êtes intelligent, n’est-ce pas, mais cela entraîne aussi que vous êtes le plus lobotomisé par rapport à la moyenne de la population.

Donc, en faisant un petit résumé du résumé, un scientifique est quelqu’un qui pense comme on lui dit de penser et qui, plus il veut travailler dans la recherche, et plus il est dans une impasse “créative” puisque justement son mental-égo sera encore plus éloigné de la vibration, du féminin et donc de l’intuition.

Dit autrement, c’est le voyageur qui dit qu’il veut aller loin et explorer l’inconnu et sa première initiative est de commencer par vider le réservoir d’essence (la vibration). On comprend donc pourquoi autant d’espoirs pour tous les nouveaux scientifiques et quasiment personne à l’arrivée…

En gros, il peut améliorer la taille des choses des constructions matérielles mais c’est impossible de lui demander du beau, d’où l’appel à des plasticiens (les artistes) qui essaieront de rendre vivable les créations masculines (coupantes, froides et rationnelles – voir une barre d’immeuble par exemple) en y introduisant des courbes, des couleurs, du design pour faire beau et donc plus facilement vendable et donc achetable.

Le scientifique est forcément quelqu’un de hautement formaté (s’il veut avoir une paye correcte bien qu’il soit payé quand même pas cher par rapport au nombre d’années de formatage) parce qu’en plus, comme ça pullule de plus en plus de nos jours (décadence des programmes scolaires), les prix d’embauches sont à la baisse.

Quant à l’artiste, le lecteur de l’Un-Visible malgré lui, personne ne viendra lui demander s’il a des diplômes en rapport avec ses œuvres. Ainsi si tu fais une belle peinture, disons que c’est l’école qui va profiter de ta renommée car, en vérité, l’inspiration ça ne se trouve dans aucune école en ce monde.

Cependant, des croyances persistent dans les deux camps. 1) Les parents ou l’individu pensent qu’en allant dans une école (la plus réputée possible, car soi-disant ils ont les meilleurs profs ou les meilleures méthodes de formatage (vous savez la pédagogie, les méthodes, etc…)), l’individu aura plus de valeur.

Et 2) Ce n’est pas l’outil qui fait le maître. Dit autrement, ce n’est pas parce que tu connais par coeur Photoshop que ça fera de toi un photographe-né. Ce n’est pas parce tu fais une école de politique que forcément tu sauras mentir naturellement en permanence. Ce n’est pas parce que tu fréquentes une grande école de commerce que tu es un vendeur-né. En gros on confond, on amalgame (là encore) l’aptitude et l’outil

Par exemple, tu fais l’ENA et tu sais que tu peux te retrouver Président de la République alors même que tu n’as jamais fait 2 heures de travail salarié dans toute ta carrière… C’est, bien sûr, à ces niveaux que l’incompétence est maximale car l’orgueil, le paraître, est maximal… Certes, il faut reconnaitre qu’il faut quand même des aptitudes dans l’art de l’arnaque (langue de bois, discours creux, promesses impossibles à tenir pour un résultat de maxi paye, etc…).

Ils sont donc forts mais pas pour le peuple, puisque leur égo hyper développé entraine inéluctablement une attitude totalement égoïste avec, pour seul altruisme, celui de faire bénéficier de l’arnaque la famille proche, la famille éloignée et les copains d’école. Donc un mec de l’ENA ne dira jamais la vérité sur l’ENA puisque justement son concurrent sort de la même école.

Entre potes, on se protège, on s’entraide, on est du même clan car l’objectif est de continuer que ceux qui payent leur scolarité à l’ENA puissent accéder au poste suprême… En gros, n’attendez pas sur le leader de l’opposition pour changer le système puisque justement, ils ont fait la même école qui leur dit comment se faire des tunes sans rien changer sinon quelques pirouettes dialectiques de façade. On refait la peinture mais on ne change surtout pas les murs, c’est le mot d’ordre, alors ne rêvez pas !

Dit autrement si tu vas voter, c’est que tu n’as rien compris de ce système qui, sous des apparences “je t’écoute et tu as du pouvoir » (celui de ton bulletin de vote), en vérité quel que soit le sortant, l’élu, continuera à te plumer de toute façon. Tu feras varier la vitesse de l’entubage mais tu ne pourras pas supprimer l’entubage lui-même. Alors que la couleur soit bleue, rose ou rouge, de toute façon tu couineras…

On comprend alors pourquoi toute personne briguant au poste de Président de la République doit obligatoirement avoir fait l’ENA. l’Ecole (=formatage) Nationale (donc l’Etat) d’Administration (=fonctionnaire). En ces 3 mots, vous comprenez l’essentiel : un fonctionnaire au niveau étatique pour te plumer. Vive la démocratie, n’est-ce pas ? Hé oui, on élit celui qui aura la meilleure prestation pour nous faire oublier que l’on va se faire encore plus entuber-esclavager.

Ne trouvez-vous pas que l’Etat d’Urgence d’aujourd’hui n’est que la conséquence de l’incompétence des gens de gauche (normalement qui défend les intérêts des plus exploités afin qu’ils meurent moins vite parce que par leur nombre, ça fait quand même du chiffre d’affaires) de démontrer qu’en fait ils font encore plus fort en termes de baise et baisse financière que les loups de la droite qui prône ouvertement que le pays est d’abord un bordel et qu’ils sont les maquereaux qui encaissent les dividendes.

Oui, la vérité remonte au grand jour pour démontrer l’hypocrisie de ce qui est affiché d’avec ce qui est réellement fait (c’est-à-dire son exact opposé). Merci à Terre-Mère qui, dans son élévation de fréquence, permet d’ouvrir les yeux de ses petits pieds qui rampent tant ils sont piétinés par les formatés forcément égotique. L’un ne va pas sans l’autre.

Bref, suite à cet énième aparté dureautien, revenons à nos croyances qu’envoyer les gamins le plus loin possible dans un cursus scolaire est la meilleure chose qui soit. En vérité, nombre de jeunes diplômés d’aujourd’hui sont au chômage parce que les anciens (même moins diplômés) s’accrochent mordicus pour ne pas se faire éjecter, vous diront qu’ils se sont fait arnaquer en toute beauté.

Ça c’est l’aspect financier, professionnel mais sur le plan spirituel c’est la cata totale puisqu’en se faisant formater à fond leur féminin intérieur (leur capacité à communiquer avec l’Un-Visible) s’est d’autant atrophié. En plus, l’école s’est forcément empressée de leur donner des cours de philosophie où, masculin-mental oblige, tu coupes tout en rondelle au point que la phrase du pauvre auteur qui a sorti un truc sortant un peu du baratin journalistique habituel se voit vidée de son sens, pour ne pas dire son exact contraire.

Dit autrement, si les cours de philo amenaient une réelle élévation de fréquence on devrait être déjà en 5D. Or, que constatons-nous : exactement l’inverse. Dit autrement, l’aspect formatage 3D en passant par les neurones aboutit à fabriquer des robots qui ne comprennent plus grand chose et qui, surtout, sont encore plus coupés de La Source que tous ceux qui ont y pu échapper (du mieux qu’ils ont pu de tout ça).

Ces derniers se retrouvent généralement dans la rubrique autodidacte, c’est-à-dire celui qui s’enseigne tout seul à travers son expérimentation quotidienne dans ce monde de fous et de lobotomisés.

Alors la question n°1 du chef à ses lecteurs : quelle est la part en vous de scientifique ( …. %), d’artiste ( …. %) et de zombie (la zone floue, inconnue car inexplorée …. %).

Question n°2 : Êtes-vous satisfait du résultat ?
Si OUI pensez-vous quand même à changer quelque chose (la tapisserie, les meubles) et si NON quels murs voudriez-vous faire tomber ?

Voyez qu’avec quelques questions basiques et simples, vous allez devoir utiliser votre imagination et votre créativité. Donc la question n°3 est : voulez-vous jouer avec la définition égotique de ces mots ou voulez-vous sincèrement reprendre votre pouvoir de Créateur Incarné en comprenant que c’est en écoutant votre Petite Voix, intuitions et ressentis que vous allez pouvoir enfin trouver LE Guide (votre Ange, votre Soi Supérieur) qui est le plus au fait du merdier dans lequel vous nagez ou surnagez actuellement ?

La réponse est vôtre parce que moi, en tant que plombier instructeur, je vous ai refilé l’explication de texte et ensuite l’exercice à faire quand vous allez rentrer à la maison. Hé oui, l’école de 3D (celle du formatage cérébral – du petit soldat qui en a marre de suivre des ordres à la con et contradictoires) est finie pour la majorité d’entre vous et il est bien qu’enfin (chose que la majorité d’entre vous ont déjà commencé) vous rentriez à l’école de la 4D (l’écoute de l’Un-Visible) en vue de rentrer à la maison (le retour à La Source) en 5D.

Bref, devenez des apprentis sages car enfin de retour dans les lois de l’UN. Et concernant les apprentis pas sages (les turbulents de 3D) laissons-les se calmer dans leurs frénésies d’obligations temporelles jusqu’au jour où ils gouteront le silence extérieur et qu’ils entendront enfin leur musique intérieure.

Laurent DUREAU

35 Comments

  1. Super de reprendre cette formule et de la compléter.
    Elle répondra a des questions que je me pose certainement , tout en connaissant au fond de moi la réponse…ou pas, mais que Toi tu nous donnes avec clarté.
    good

  2. Merci Laurent pour cette décision de rendre publiques mais anonymes les réponses aux email personnels. Cela nous profite à nous tous.
    Merci à toute l’équipe au sol.

  3. Bonjour Laurent et à tous
    Magistral encore une fois
    Philippe de Lyon disait que rien ne sortait du hasard  » une peinture représente un monstre, ce monstre existe en réalité car le cerveau capte ce que les yeux ne voient pas … »
    Alors bonjour Alien et predator cqfd
    Salutations

  4. Merci Laurent, sûr qu’en tant qu’artiste j’ai dû remettre en question tout le formatage de départ…même concernant le mot « artiste » qui m’a dérangée longtemps, il était à la fois trop ou pas assez …j’ai eu beaucoup de mal à me construire dans l’univers 3d …je sais pourquoi puisque je reconsidère ma façon de travailler et je comprends aussi pourquoi ma petite voix m’encourage à ne montrer mes oeuvres à personne. C ‘est un exercice très constructif pour moi et difficile pour mon petit ego !!!

  5. Je ne peux pas passer à côté… Imagine par John Lennon
    https://www.youtube.com/watch?v=DVg2EJvvlF8

    https://www.youtube.com/watch?v=yp5TqdmJqX0
    Et puis quelques citations d’Albert Einstein qui a toujours dit avoir reçu ses intuitions/découvertes en rêve… blum
    « deux choses sont infinies : l’Univers, et la bêtise humaine » (Albert Einstein)
    « pour être un membre irréprochable parmi une communauté de moutons, il faut avant toute chose être soi-même un mouton » (Albert Einstein)

    • Et encore deux autres autodidactes (sans diplôme !) géniaux « oubliés » et/ ou spoliés et dont tous les travaux à venir sur l’énergie libre seront forcément inspirés d’une manière ou d’une autre par Schauberger, le « père du vortex » en quelque sorte, l’homme volé de son travail par les SS durant la guerre, puis à la fin de la guerre par les armées russes et américaines qui ont toujours l’intégralité de son travail « au secret »… il en est mort de chagrin.
      http://www.micheldogna.fr/viktor-schauberger-article-1-3-199.html
      Et Georgia Knapp l’homme aux 80 métiers, inventeur en tout et glissé d’office dans une oubliette.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%ABorgia_Knap

  6. On est créateur de sa réalité et celle que l’on perçoit ne dépend pas de ce qu’il y a à l’extérieur, puisque la réalité est ce qui se vit à l’intérieur après avoir passé par tous les filtres. La conscience de l’instant présent permet d’ancrer une expérience terrestre la plus gratifiante pour tous, et c’est là que l’on peut agir pour terre mére et pas en s’échappant dans les mondes invisibles qui contiennent tout ce qui est possible d’imaginer, il y a un moment où il faut savoir canaliser, comme il faut savoir trier dans le formatage des études ( je suis ingénieur et docteur en science) et être capable de jongler sur toutes ces informations et d’en faire la part des choses, demande au contraire beaucoup d’intelligence. Ceux qui pourrissent et qui sont aux commandes de l’état, sont en fait des marionnettes actionnées en arrière plan par des ´galactiques’. Qui les a élu ?

  7. Bonjour l’équipe au sol smile

    Très bonne idée de partager les réponses aux mails ! Cela apportera des réponses à beaucoup d’entre nous, qui sont peut être dans la même situation. friends

    Et pour la réponse au 1er mail :
    J’ajouterai qu’il y a un très bon film qui montre que chaque décision que nous prenons est un fil du temps que nous expérimentons. Le film est : « Mister nobody» good

    Bonne journée à vous tous

  8. Merci Laurent de ces informations à propos desquelles nous sommes entièrement d’accord. La difficulté dans un monde de 3D est, que pour les jobs professionnels, le diplôme est roi. Comme tu le dis, impossible de devenir Président de la République si on ne sort pas de l’ENA, et, en matière de santé aucun accès hospitalier n’est possible sans un diplôme de médecine.
    Il faut donc bien vivre dans ce monde absurde et « gagner sa vie », mais c’est très inconfortable quand on envisage la 4D et la 5D.
    Bien à toi.

  9. Quand mes cellules moeurent, où vont-elles/ils ? Celles/ceux qui les remplacent d’où viennent-elles/ils ? Loi d’abondance ? Après avoir passé le relais, pour moi la petite particule de lumière ascensionne dans mon soleil. De plus elles/ils brillent par leurs connaissances acquises à coup d’ondes cosmiques (le must des diplômes) ! Eh oui, chacun et chacune à son c-rayon pour se mettre au taf ou pas. Et comme mon soleil c’est le chauffe-eau pour tout ce petit monde, il envoie dans la tuyauterie toute sa lumière. bon sang ! Merci mon cœur.

  10. Salut l’equipe,
    Quand est-il du voyage dans les lignes du temps ?
    Dis autrement, peut-on recuperer des aptitudes que l’on aurait devellope en cas de choix differents.
    Je fais la question et la reponse :
    Oui, ce sont des anges qui ont les infos, ecoute les !
    De plus le voyage sur les lignes du temps est plus courant que l’on ne croit c’est comme cela que du jour au lendemain on se retrouve avec des attitudes et comportements que l’on avait jamais eu et qui paraissent subitement tres naturel. D’ou l’importance de poser un autre regard sur son passe voir pas de regard du tout car sur un autre fil du temps il est tout autre !
    Feu du coeur a tous !

  11. Salutations à tous,
    Les derniers articles de Laurent ont été des réponses lumineuses de vérité dans ce que je vis actuellement avec mon oncle. Nous sommes partis en vacances avec lui et mon mari. Au bout de 4 jours où nous avons subi son despotisme patriarcal des années 40, nous avons dit stop en lui faisant remarquer que ce n’était pas une façon de nous traiter. Et là ça été le clash, Il est parti dans un monologue super agressif, vulgaire et injurieux.Pour résumé, parce qu’il avait 70 ans, nous devions « fermer » notre gueule et nous soumettre à son autorité. Nous avons préféré partir pour ne pas envenimer les choses et il a pris ça pour un affront. Devant notre silence, il nous a envoyer un mail incendiaire. Je comprends qu’il est conditionné par ses croyances 3D et que l’agression est le moyen de défense de son mental égo. Néanmoins cela nous a choqué et en sa présence, notre corps a été pris de tremblements incontrôlés et nous nous sommes sentis en malaise. Après coup, je pense que nous n’étions pas suffisamment centré en nous même pour faire bouclier à sa négativité. Mon mental égo a commencé à mouliner pour trouver une explication et trouver des contre-arguments pour lui répondre en réaction mais je sais que répondre à une agression par une autre agression est un comportement de 3D. J’ai donc décider de prendre mes distances sans réagir aux provocations car de toute façon de son point de vue, il a forcement raison. Depuis, je prend ça pour un apprentissage afin de rompre le lien de dépendance émotionnel dans une relation familiale toxique. Donc pas de prosélytisme, pas de vengeance même si c’est un processus douloureux car forcement l’égo de la culpabilité s’en mêle. Resté dans son êtreté en acceptant ce qui Est demande une attention de chaque instant. Merci, Laurent.

    • Chère Chrysalide, oh! oui, je suis passé par là aussi avec mon père qui était (paix à son âme) un égotique pur jus de 3D. En plus, il y avait ce qu’on appelle un chantage affectif lié à sa « chance » d’avoir possédé des biens immobiliers. Dernièrement, nous avons été convoqués chez le notaire… résultat nada, rien pour les enfants et tout pour sa concubine avec laquelle il partagé sa vie. J’avais aussi coupé les liens physiques, car pour me protéger c’était la seule solution. Mais j’ai appris qu’à la veille de sa mort, c’est lui qui a le plus souffert de cette séparation. Je n’ai aucun regret et aujourd’hui je suis apaisé. Je vis ma vie, il a vécu la sienne comme il le voulait en râlant sur tout ce qui bougeait… point barre. C’est justifié, on peut pas changer les autres, même si on en crève d’envie, car c’est peine perdue. C’est triste parfois d’être un humain…

      • Merci pour ta réponse, c’est vrai qu’il souffre autant que nous de cette situation mais pendant des années j’ai essayé d’arrondir les angles avec lui mais il a pris mon empathie pour de la faiblesse. Tu as raison, il est parfois nécessaire de couper le lien pour se préserver.Il est inutile de chercher qui a raison ou tort car chacun détient sa vérité selon ses croyances.Je me rend compte que les liens familiaux avec leurs « devoirs » font partis des programmes involuants. Le déconditionnement est un exercice salutaire pour ceux qui veulent avancer et se reconnecter à leur multi-dimensionnalité. Je préfère prendre cette épreuve comme une occasion de mieux maitriser la bombe nucléaire émotionnelle que je suis encore(dixit Laurent dans ces délires).
        Feu du cœur et gratitude.

        • J’ai lu dans « Conversation avec Dieu » que nous n’étions obligé de rien. A relire… A bientôt. Vous tenez le bon bout.

  12. Pourquoi ne plus présenter vos enseignements de vive voix? Vous êtes sympathique, et pour des personnes sensibles des yeux, cela évite une lecture douloureuse d’un sujet passionnant. Encore merci pour votre partage.

  13. merci! déjà rien que pour les définitions de « créativité » et d' »imagination »!

  14. Coucou à toute l’Equipe give_rose , ça turbine extra-fort, dans les neurones. laugh
    Merci, voilà une idée qu’elle est bonne ! rofl
    Il me semble bien de plus en plus, constater que notre Super Brigitte a une centrale informatique, aussi dans son cerveau good
    Quelle formidable équipe vous faites tous les 3 au sol. heart

  15. Merci de partager cette question & la réponse… Elle répond grandement à mes interrogations et clarifie encore plus ma compréhension du sujet. Gratitude.

  16. Salut Laurent,
    A mon sens tu ne réponds pas à sa question totallement. C’est super intéressant sinon bien-sûr. Et je suis d’accord avec toi sur ce que tu as écris.

    Je vois ça comme ça : plus on ascensionne, plus on a conscience des multiples chemins que tu décris, et du non-temps. Et plus on les choisi en conscience et en se faisant aider et guider, jusqu’à disparition du libre-arbitre.
    Mais même si on est un avatar total (Amma, Béatrice Balme, …) on fait des choix constant en tant qu’incarné, on passe à l’action dans un sens ou un autre car on est là pour réaliser quelque chose de bien précis (et on se fout à ce moment-là des autres fils du temps à la limite). C’est la « mission de vie » on va dire.

    Et donc la personne n’aurait certainement pas eu la même vie si elle n’avait jamais écouté sa petite voix (malheur) ou bien si elle l’avait écouté dès la première femme (on est très très peu à l’avoir fait dès le début de notre vie). Et oui il y avait peut-être du karma, et il était écrit ceci ou cela, etc…et il faut se poser toutes ces questions et éclaircir un max la situation.
    On peut pas juste se dire comme un Bouddha immobile sur son rocher « tu ne crée rien car tout existe déjà », c’est ce qu’on vit aussi qui compte.
    Enfin je le vois de cette façon, je le prends pour moi certainement, c’est le but de la réponse privée-publique rofl

    Enfin je veux dire que je ressens que tu décris un état de conscience 5D qu’on doit s’efforcer de connaître certes. Mais en même temps si tu n’avais pas écouté ta petite voix on ne serait plus là pour en parler.

    Pas de petite voix, pas d’Eléa…

    Bien à toi
    yes

  17. Excéllent article qui traite parfaitement le sujet ! Quel talent laugh good

    Les passages sur l’imagination et la créativité m’ont beaucoup parlé. D’ailleurs certains artistes comme Tolkien reconnaissent qu’ils ne sont pas vraiment les créateurs de leur oeuvre. Ils l’ont vu/ressenti quelque part et ils le retranscrivent dans notre monde de matière. Ce sont plus des canaux.

    https://www.leretourdesdragons.com/dragons-de-tolkien/

    give_rose

  18. Waowww !!! T’as encore pondu un article qui remue les méninges.
    Diplômes, statuts, identité… tout est programmation pour être une fausse personnalité, une prison mentale.
    Tout est fait pour glorifier l’ego mental dans cette société.
    Chacun fait ces expériences humaines… éphémères.
    La vérité n’est que dans la réalisation de notre Unité.

    kiss

  19. N°1 je suis scientifique en imagination pratiquant l’art de vivre avec une partie inexplorée ou je puise des connaissances non apprissent. Une Femme !
    N°2 En tenant compte de la « donne » de départ, je m’en sort plutôt bien.
     » L’amour est infaillible: il n’a point d’erreurs car toutes les erreurs sont manque d’Amour. » William Low
    N°3 Surfer sur le merdier en mode intuitif. Et parfois y plonger.
     » Il y à des moments ou tu ne peux pas te permettre de retirer sur les hauteurs et de dominer ton adversaire de toute ta grandeur morale, quand c’est au couteau c’est au couteau. » Romain Gary
    Bisous

  20. Le discours est à la hauteur des questions.
    Être indisposé à accepter trop de phrases pour trouver le sens des réponses.
    En lisant ses nombreux mots mit bout à bout, les réponses se perdent.
    Jouer le jeu du « pré-humain » est effectivement tentant pour les entités savantes.
    Il est subtil d’en apprécier son chemin s’en succomber.
    Soyons prévenus de cette vivacité accrue tournant au sage dérouté.

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