Après quelques petits articles concernant les pièges notamment de la 4D (celle qui correspond à l’étape bisounours), nous allons aborder aujourd’hui quelques points plus précis de l’évolution actuelle (appelée Ascension) et de regarder ce que cela engendre comme tempête dans la tête des aspirants marcheurs.
En effet, comme vous avez pu le remarquer ces derniers temps, il y a de plus en plus de marcheurs qui pètent les plombs surtout si en plus leur blogueur favori semble se contredire de plus en plus. Un jour, il dit un truc et un autre jour il dit ou fait un autre truc totalement incompatible. On voit donc en lui un personnage douteux… alors, on le plaque et pas forcément en bons termes. Bref, de la bonne dualité de 3D.
Généralement quand un individu saute d’un pied sur l’autre pour ne pas perdre l’équilibre c’est qu’il veut sauvegarder quelque chose comme un business par exemple (car il faut quand même gagner sa vie !) mais qu’en est-il concernant celui qui ose continuer à frapper sur son clavier malgré des emails et des commentaires pas toujours très sympa et qui ne roule d’aucun business ?
Un coup, il vous sort de grandes théories très novatrices et un coup il vous rentre dedans en vous démontrant par a+b que vous êtes fait avoir par ceux-là même que vous cherchez à fuir. Un jour il vous dit blanc puis l’autre c’est du noir. D’ailleurs, avec sa cuve à fioul, il commence à nous énerver sérieusement n’est-ce pas ?
Il devrait nous remonter le moral, nous dire que l’on est des puissants qui s’ignorent. Nous dire que ce que l’on fait est bien, lumineux, courageux pour ne pas dire exceptionnel au point de recevoir une médaille dorée… Or, il nous prend à contrepied et nous traite d’handicapé en chaise roulante, de bigleux notoire tombant dans le 1er piège venu quand ce n’est pas qu’il faut aimer nos frères les illuminati….
Il est donc devenu un fou furieux ne contrôlant plus rien et encore moins sa propre vie, n’est-ce pas ? Cela semble être devenu une évidence et pourtant on continue à lire ses âneries parce quelque chose nous pousse à le faire. Certes quelques uns se désabonneront pour marquer leur désaccord mais qui, en vérité, se coupe par rapport à une voix qui semble être différente des autres ? Je vous le donne en mille, c’est votre mental-égo tout simplement !
Ha, ça y est, c’est encore de notre faute et pas de la sienne !!! Il est culoté ce type car, de toute façon, en désignant le mental-égo il se rattrape en permanence. Il est comme un chat qui retombe toujours sur ces pattes. Ça serait normal si son business en dépendait mais ce n’est pas le cas puisqu’il semble n’en n’avoir aucun… Y’a un hic, là dedans. C’est pas logique !
Alors, mon frère, mon ami, je vais te dire droit dans les yeux et sans détour “tu es dans la merde si tu n’a pas encore compris que tu vis sur 3 dimensions à la fois actuellement : la 3D (le dormeur), la 4D (le bisounours) et la 5D (le marcheur)”.
Alors oui, avec la série bisounours j’ai forcément tapé sur l’ensemble des lecteurs de mes blogs car justement ils ne pouvaient ne pas en être. Or, nous savons depuis longtemps que la 4D est une période vibratoire (le coeur) et qu’elle doit être la plus courte possible car étant la partie éthérée dans la cuve à fioul, elle est forcément l’émanation du fioul lourd de la 3D.
En ce sens il faut comprendre que la 4D est toxique au niveau des poumons tandis qu’en 3D sa forme liquide (et solide pour le fond) te remplissait le corps et les veines carrément. L’air, c’est ce qui alimente l’aspect “esprit” tandis que le reste alimente l’aspect “corps physique”.
Nous savons que le corps est une éponge et qu’il se gave d’autant qu’il le peut et d’ailleurs il en meurt. Mais quand tu respires du pas bon, tu tousses et quand tu tousses, tu meurs encore plus vite. L’étape “gazeuse” (la 4D) doit donc être traversée le plus rapidement possible sous peine de mourir asphyxié au lieu de vieillesse.
Dit autrement, l’étape bisounours, l’étape chaise roulante, se doit d’être la plus courte possible. Hé oui, allez dans son cœur, parlez avec le cœur, faire les choses avec le cœur est une très bonne chose or le cœur du préhumain pue le fioul totalement. Dit autrement, ce que l’on voudrait prendre pour le cœur (un cœur pur) est en fait un cœur-égo c’est-à-dire un cœur imbibé d’égo au même titre que les poumons d’un fumeur sont forcément goudronnés et cela jusqu’à l’infiniment petit.
Alors, mon frère, mon ami, comprends que traverser la zone bisounours est obligatoire et c’est la raison pour laquelle chaque lecteur de ce blog s’est plus ou moins reconnu dans ce que j’ai dit. En cela, je n’accuse personne puisque moi-même j’ai aussi dû arpenter cette zone. Je ne suis donc pas en jugement par rapport à cela mais je pointe du doigt afin que tu puisses y avancer plus vite et non pas t’y enliser. C’est le rôle d’un ouvreur de chemin à contrario des autres.
De par sa fonction-mission, il se ramasse tout puis trouve la force (et les astuces) pour traverser la zone minée (avec plus ou moins de bonheur) et ensuite quand il est de l’autre côté, il hurle ce qu’il faut faire ou ne pas faire afin d’avoir le moins de dégâts possibles chez ceux qui le suivent.
Je comprends que cela est énervant mais comprends que s’il ne se retournait pas pour te dire ce qu’il a acquis comme expérience tu devras découvrir par toi-même que ta susceptibilité n’est que l’émanation d’un égo qui ne veut lâcher aucun pouce de terrain car, lui, il préfère la mort que de te voir le battre !
Oui, bien des fois, j’ai voulu laisser tomber cette partie peu agréable de ma “mission” c’est-à-dire de m’arrêter sur mon chemin, de me retourner et d’houspiller afin qu’il y ait le moins de morts possibles. Je ne suis pas un sauveur mais un éclaireur qui doit quand même dire où se trouve les pièges sinon à quoi ça sert d’être en tête pour se prendre tous les traquenards ?
C’est vrai, bien des fois, j’aurai aimé continuer ma route sans me retourner car j’aime affronté l’inconnu et découvrir ainsi qui je suis en essence. J’aime les défis. J’aime quand je dois me surpasser. J’aime quand je dois dépasser mes limites, mes souffrances, mes emmerdes et mes ras-le-bol. j’aime défoncer ce qu’il y a devant car j’aime m’attaquer à plus fort que mon ignorance, même si pour cela il me faut avaler des boas (l’affaire monsieur bleu est le dernier exemple en date).
Bref, j’aime avancer, tracer, ouvrir le chemin car c’est passionnant. Cependant, à quoi cela peut-il servir si les autres derrière te perdent de vue et finissent par ne plus savoir par quel chemin tu es passé ? En quoi leur rends-tu service si l’éclaireur se la joue perso et ne pense qu’à lui ? Autant il peut être énervant quand il houspille autant son silence ferait encore plus de mal…
Ainsi, je comprends qu’il me faut régulièrement écrire et régulièrement distribuer des coups de pieds au derrière sinon ceux qui me suivent ralentirait la cadence au point qu’au lieu de planter ma toile de tente pour un repos mérité, je pourrai commencer à monter un bivouac en moellons, améliorer mon confort et finalement ne plus avancer vers l’inconnu.
Il y a donc un choc des dimensions sous plusieurs aspects. D’abord un choc culturel puisque en 3D c’est l’aspect routinier, l’aspect automatisé de la vie qui prédomine. Les préhumains vivent comme des automates, des robots biologiques avec des horaires précis, des jours de travail et de repos, des repas à telle heure et pas à une autre, des relations normalisées entre mari et femme, etc, etc…
Puis, il y a les bisounours, la 4D où l’on voudrait que tout soit beau, tout soit gentil, tout soit facile mais que quand même tout soit apporté sur un plateau. On veut bien aller au-delà de la clôture immédiate en empruntant des couloirs balisés pour accéder à des champs moins fréquentés et donc une herbe plus verte et donc plus nirvanesque car certains ont conservés leur habitude de fumeur.
Ce passage est obligatoire car pour accéder aux champs vierges de tout barbelé, il faut bien aller aux limites des champs connus de l’enclos à mouton. Je souris donc quand on me dit que je suis dans le jugement lorsque je dis qu’il y a des moutons en chaise roulante. C’est juste une constatation, un fait, une évidence et cela m’amène à vous parler de l’autre aspect du choc des dimensions. C’est celui des définitions de mots qui est différent selon la dimension dans laquelle vous êtes.
Si l’ascension est inatteignable en 3D (car même le pape est infoutu d’ascensionner lui-même), en version bisounours en 4D, elle devient presque une évidence tant on verse dans la rêverie mais en 5D elle est un fait. C’est à l’image de l’apprentissage du vélo. En 3D, vous regardez le vélo comme un engin démoniaque et dévastateur. Vous hurlez au loup car c’est fait pour les fainéants qui n’osent même plus faire l’effort de la marche et qui veulent aller vite et donc griller les étapes.
En 4D, vous êtes sur le vélo et on peut dire que cet apprentissage de l’équilibre vous envoie régulièrement dans les fossés de bas côtés. Il y a même des fois, un nid de poule, vous rappelle douloureusement que vous êtes un mâle. Et la pratique brutale du frein avant vous apprend les lois élémentaires de la physique des solides. Bref, c’est une période difficile, délicate, douloureuse, incertaine et qu’il faut y passer le moins de temps possible.
C’est donc une étape obligatoire car on y apprend l’équilibre, la notion de déplacement mais aussi la notion temporelle où une demie seconde d’inattention est suffisante pour avoir une gamelle plus ou moins mémorable. Voici pourquoi qu’il est dit que la 4D sera une période très courte pour l’humanité.
Enfin arrive la 5D c’est-à-dire que vous saurez faire du vélo. Cela est en soi une grande avancée mais selon vos aspirations, vous ferez du vélo de ville, du vélo sur route goudronnée, du vélo tout terrain ou du vélo de cirque… Bref, il y en a pour tous les goûts et aucun n’est supérieur aux autres (on est d’accord là dessus) mais la notion d’équilibre sera plus ou moins poussé.
En effet, être en 5D, c’est d’abord être en équilibre dans le mouvement mais il peut y avoir des mouvements très faibles (comme ceux qui font des sauts d’obstacles) comme très rapides (vélo de course sur route goudronnée où descente de montagne sur vélo tout terrain). Et, un même trajet peut comporter tous les styles à la fois.
Bref, ce que je veux dire par là c’est qu’à partir de la 5D, il n’y a pas un style normalisé de conduite mais des aptitudes générales faisant que quelque soit le vélo que vous montez vous serez capable de le conduire à bon port en mode cool (quitte de temps en temps à poser un pied à terre) ou en mode « hard » à condition d’avoir mis les genouillères, coudières et casque…
En résumé, le problème majeur des dormeurs, des roulants et des marcheurs est qu’ils utilisent le même vocabulaire mais avec une vision différente.
Ainsi quant vous êtes en 3D, votre vie semble être la succession de faits et gestes automatiques qui vous mèneront tôt ou tard au cimetière avec un bilan en fin de vie où vous direz : « J’ai bien vécu. J’ai des enfants, des petits-enfants et j’ai réussi à avoir ma maison en dépit de toutes les emmerdes ». D’autres diront plutôt : « J’ai eu une vie de merde, dans un monde de merde et je suis content que cela se finisse car je ne sais toujours pas pourquoi Dieu (ce démoniaque) m’a créé »…
Puis quand vous êtes en 4D, vous avez découvert que votre vie avait un objectif, une mission. Vous comprenez que cela n’est pas le fruit du hasard, que vous n’êtes pas issu du hasard lui-même et que d’une certaine façon les synchronicités étaient là pour vous guider. En ce sens, vous avez une notion plus palpable de l’invisible. Les anges de 3D sont devenus des EDL et ils sont devenus une réalité incontournable car ils vous semblent plus proches de vous que jamais.
En 5D, votre mission de vie n’est plus une mission, n’est plus un objectif et vous découvrez qu’il n’y a pas vraiment de contrat. Ainsi autant en 3D vous mettiez en œuvre votre mission avec foi (d’où le terme missionnaire), ceci devint « un contrat de vie » en 4D (d’où plus de respect par rapport à ce que pense les autres – vous n’imposez plus votre point de vue mais vivez pleinement le vôtre), en 5D tout cela explose et part en miette.
En effet, le simple fait d’être arrivé en 5D implique que vous avez compris et surtout mis en action le principe dit de Service. Ce Service s’exprime par la compréhension que vous êtes le sans Nom en action et donc de ce fait que vous n’avez plus de personnalité et donc d’une certaine manière de libre arbitre.
Oui dans le moteur de l’humain vous aviez le libre arbitre : en 3D, c’est votre personnalité, votre mental-égo qui décide. En 4D, c’est au tour de votre cœur, votre petite voix de prendre les commandes mais en 5D vous avez dépassé tout cela pour être tout simplement. Etre au service du Tout, du Grand Tout et de ce fait votre mission n’est plus une mission et votre contrat de vie n’est plus un contrat à exécuter à la lettre car de co-créateur de 3D4D vous êtes passé au stade du Créateur incarné.
Vous comprenez que vous n’êtes plus l’esclave d’un programme déjà écrit d’avance (les classes et devoirs à faire) mais plutôt celui qui exprime pleinement ce dont il est fait pour. Ce que vous preniez comme mission devient un état de fait car vous êtes passé du « il faut faire » à celui du « je suis » en étant ce que vous êtes. Vous êtes passé du faire à l’Être.
Alors comprenez ceci : lorsque quelqu’un a définitivement mis les pieds en 5D, il se retrouve confronté à utiliser les mêmes mots avec à peu près les mêmes définitions que ceux qui sont en 3D4D cependant ces derniers regarderont à partir du faire tandis que lui verra à partir de l’êtreté. Il en découle donc des incompréhensions qui devront devenir des UN compréhensions.
La route est longue car tant qu’il y aura de la 3D et 4D, il y aura un conflit de logique avec la 5D. Ainsi un bonjour en 3D4D n’a rien à voir avec un salutation de 5D. Certes, il y a des rapports avec une finalité semblant identique mais la signification en est différente.
Ainsi autant on peut parler d’un bonjour fraternel en 3D4D, le simple fait de dire fraternel indique que la dualité est encore là puisque par définition cela veut dire qu’il y a des bonjours qui ne sont pas fraternels. Or, en 5D la notion même de frère n’existe plus car elle est devenu un fait total puisque faisant partie de l’êtreté. Quand vous êtes, vous ne pouvez sentir aucune séparation d’avec la Création puisque vous êtes le Sans NOM parmi toutes ses propres créations.
Comprenez que parler fraternité indique forcément qu’il existe un opposé. Quand vous êtes en 5D, un bonjour ne peut être qu’un bonjour du cœur alors pourquoi rajouté le mot fraternel ? En 5D, il n’y a plus de frères car il ne peut y avoir de non-frère, il ne peut y avoir quelqu’un exclu de la fraternité. Il ne peut y avoir quelqu’un que vous n’aimez pas !
Or, que veut dire aimer en 5D sinon accepter ce qui EST y compris ce qui est lumière et moindre lumière car de toute façon tout est lumière même le plus sombre des illuminati. Il est un Esprit crée par le Sans-NOM et a autant de valeur que tous les autres.
Ainsi l’amour, la compassion, le partage ne sont que des mots, des conceptions de la 3D4D alors qu’en 5D ce sont des évidences qui ne méritent même pas d’être nommées tant c’est un langage de dualité. Nous avons le cul entre 2 chaises et donc entre 3 dimensions : la chaise de la 3D, la chaise de la 5D et l’entre deux qui est la 4D.
Ainsi, si une chaise c’est fait pour s’assoir, vous comprendrez que pour être assis sur la chaise de 5D (la géométrie), il faut avoir impérativement quitté la 3D ainsi que la 4D. Dit autrement, vous aurez quitté le stade du dormeur (la 3D) le stade du bisounours (la 4D) pour être celui du marcheur véritable qui suit sa voie et non plus les voies qu’on lui indique.
Mis sur un autre registre, le marcheur suivra sa voix et non plus les voix qui veulent le diriger. Bref, comprenez que lorsque qu’une mayonnaise survient dans vos neurones entre ce que je dis et ce que vous pensez logique, il y a forcément un désaccord dimensionnel entre le moteur de l’humain (3D4D) et le moteur du ciel (5D6D).
Ne cherchez donc pas à démolir l’individu que je suis par une argumentation de 3D4D ou sévit le mental-égo et le cœur-égo car autant vous avez compris que le mental-égo est vicelard par sa logique autant il se fait détrôner par une autre mental (celui de 5D) qui est appelé le surmental ou mental intuitif (à ne pas confondre avec l’association de l’intuition et du mental-égo).
En effet, le surmental est directement connecté à la Connaissance de l’UNivers. Il est donc hors du champ de l’ignorance ce qui n’est pas le cas du mental de 3D4D qui doit trouver la porte de sortie malgré son allégeance au faux petit égo. Méfiez-vous donc de sa logique qui vous mènera à des conclusions contradictoires.
C’est normal me direz-vous puisque justement le faux petit égo est là pour lui brouiller les cartes. Rappelez-vous, l’école de la 3D4D est une école sur la dualité et il est donc normal d’être en opposition même en partant des mêmes informations initiales. Votre simple oscillation entre les 3 dimensions précitées ne peut qu’amener problèmes et conflits, alors ne soyez pas radical dans vos décisions car cela vous exclura de fait à voir la porte de sortie.
Comprenez que la porte de sortie n’est cherchée que lorsqu’il y a le feu sinon qui voudrait sortir du jeu s’il n’a pas le désir d’aller voir ailleurs ? Alors quand il y a le feu en vous, la porte de sortie ne pourra vous être montrée que par quelqu’un qui l’a déjà empruntée et non pas par quelqu’un qui lui aussi est en train de la chercher. Un aveugle ne peut conduire un aveugle…
Voilà ce que j’avais à dire aujourd’hui. Méfiez-vous des différentes logiques liées aux 3 dimensions simultanées car elles vous mèneront dans le mur si vous désirez les unifier. Dans mon prochain article, je vais vous donner quelques exemples concrets.
Laurent DUREAU
Je dois bien l’avouer : il y avait longtemps que je ne m’étais pas autant régalée à te lire face à cette lignée de derniers articles, un grand merci Laurent ! 🙂
Oui Laurent ceci est bien expliqué , bien écrit , bien résumé . Il y a cependant une question que je voudrai te poser . Lorsque tu dis que tu es un éclaireur , que tu as emprunté un chemin , que tu sais que ce chemin est le passage , que si les autres ne prennent pas ce chemin ils vont ètre » retardé » . Ne penses tu pas que chacun a son propre chemin , doit faire sa propre initiation ???
Un exemple : tu fais bouillir de l’eau sur le gaz , tu dis à ton fils de ne pas toucher . Deux solutions : tu as un petit exemplaire en obéissance , qui croit ce que papa lui dit ou tu as le petit qui veut savoir , il ne croit pas trop ce que tu lui dit , il fait son expérience !!!!!!
Dire aux autres venaient , suivez moi , je connais le meilleur chemin , comme je le fais moi mème , ne serait il pas une forme d’égo ? Chacun a comme tu le dis son libre arbitre ………..
Je ne sais dans quelles catégories je me trouve et m’en contre fout . Le principal , c’est que mon corps soit en harmonie avec mon ame et mon ame en harmonie avec l’Unis-Vers-Celle , celà est déjà bien pour moi . Je pense qu’il y a pas mal de personnes qui en te lisant on du mal à te suivre , moi mème en particulier . Juste pour te dire ce que je pense sincèrement .
Tu as réussi ta vie , je l’ai lu , Penses à toutes celles et tous ceux dont le chemin n’est pas facile qui comme moi ont mis des années et des années avant de comprendre la vraie venue sur cette belle Planète , à ceux qui commencent le cheminement en vivant des expériences fortes , dans ce système , » gou-bernés » par ces politiciens pourris , menteurs , voleurs qui nous maintiennent en Esclavage depuis des lustres , pas facile à mon avis de les éclairer comme tu le souhaites .
Comment faire entendre celà à des personnes qui reçoivent de beaux messages canalisés et qui voient à travers leur vie de tous les jours les choses empirer ???????
Comme je t’ai bien lu , je terminerai par :
Salutations mon Frère , mon Ami ,
Claude RAVEL .
Tout simplement Merci pour ce beau partage du chemin… cela fait du bien ! 😉
c’est quoi cette drôle d’image associée à nos prénoms ? … bon … rire !
Bonjour Laurent,
Merci ! je lis assez régulièrement tes articles et suis intéressée. Je suis sensible à l’argument du langage : les mots ont des sens différents selon chaque point de vue.
Concernant le concept d’amour inconditionnel, j’ai lu récemment qu’il s’agirait simplement d’une fonctionnalité inhérente de tout le vivant, ce qui permet la vie, et les lettres de « chrst » signifieraient justement cela. Je ne sais plus où je l’ai lu et j’aimerais retrouver l’explication….(de même que adm, (pour adam), signifierait la terre).
Quant à remiser d’une pichenette un travail pour le salaire, cela peut être incroyablement difficile, sauf bien sûr, si on a largement de quoi « voir venir »…..
Une seule petite chose me gêne : je crois que mettre les gens dans des catégories n’est pas très « parlant » (enfin, pour moi)… et l’expression « bisounours » est devenue tellement rebattue que je l’avoue, elle m’irrite un peu et du coup, je la zappe : n’est-ce pas en effet ce que nous sommes sensés faire : abandonner notre habitude de juger, catégoriser, mettre des adjectifs sur les gens… ?
Bonjour Solange,
Je remarque de plus en plus la confusion entre décrire ce qui EST et ce que les gens de 3D prennent pour un jugement. En effet, quand je dis un feu vert, rouge ou orange est-ce que je juge le feu en question ?
Hé oui, on peut vociférer contre un feu rouge un peu longuet (surtout quand on est pressé) mais quand je dis qu’au feu rouge, on s’arrête et qu’au feu vert, on roule, suis-je dans le jugement ? Ainsi quand je parle d’un bisounours, je désigne le lambda et non un individu spécifique. Quand je parle de préhumain, c’est identique.
Alors que dois-je dire pour désigner un bisounours qui est un bisounours ? Bref, si vous vous sentez juger cela indique clairement que vous prenez pour vous une généralité. C’est donc vous qui êtes dans le jugement puisque vous l’appliquez à vous-même… Alors au lieu de désigner un élément extérieur à vous, ne serait-il pas plus judicieux de voir qui est celui en vous qui pointe le doigt ?…. Hé oui, toujours lui et encore lui…. 😎
Merci Eclaireur ❗
Lampaire ravi 😀
en gros la 3D est une pièce qui a pris feu, 😈
la 4D est simplement le couloir, ou la fumée est en train de s’épaissir de plus en plus, et ou le bisounours se sent à l’abri des flammes, mais mourra étouffé, groggy par cette fumé en plus de la fumé des joints égotique de bisounours resté dans le couloir 😕
, et la 5D est la fenêtre ou véritable porte de sortie vers le monde en mouvement… ➡ ➡ .
merci Laurent
merci pour tant de générosité et d’intelligence analogique mais tout ceci me semble bien compliqué et me donne envie de me « rendormir » et me réveiller que pour chanter et danser
avec les cigales
cordialement
gise
Le seul truc, c’est que les cigales ne chanteront pas pour cause de danse avec le feu…. Ainsi cela te permettra-t-il de te réveiller ? Non, alors tu subiras le même sort que ceux qui dorment : un étouffement par la fumée puis incinération… N’est-ce pas là un relent de bisounours qui croit que tout va devenir rose après la tempête (ou l’incendie) ? 😎
Percevoir avec les yeux de l’esprit intérieurement,dans le silence ,procure une paix incommensurable,sa vos tout l’or du monde,corps,âmes,esprit ,dans un espace de conscience réunifier.merci laurent pour vos textes ,salutation julienne
Bonjour Laurent,
Merci Laurent.
Comme d’habitude, tout est clair et limpide, comme dans tes articles précédents, tes exemples sont toujours bien choisis et bien à propos pour faire percuter chacun sous une forme ou sous une autre.
Je suis parfaitement d’accord avec ce que tu dis et je confirme qu’il y a bien ces trois univers très différents qui ne se comprennent pas, j’en fais l’expérience tous les jours à mon travail avec l’univers 3D et l’univers 4D : le choc est très très chaud, voire assez violent et le problème, c’est qu’en 4D, comme tu les dis si bien c’est très instable, voire assez désagréable et on est très isolé.
Et je confirme aussi que la période bisounours est bel et bien une réalité, on est plein d’espoir, on s’imagine plein de choses pour la suite, on se fait des illusions, des scénarios, tout est mystifié d’une certaine façon, parfois on embellit, parfois on noircit, jusqu’au moment où en fait à force de confronter ce que l’on nous dis et la réalité, même celle qu’on ne voit pas immédiatement, on comprend qu’il y a comme un écart, quelque chose qui ne colle pas.
Du coup, on se prend une baffe, on a l’air un peu « con » voire on a honte car on avait perçu qu’on comprenait en fait beaucoup plus de choses que tout le monde et on s’aperçoit qu’en fait on s’était fourvoyé et qu’on était tombé dans un autre piège.
Du coup, s’ensuit naturellement une petite période de désillusion, de perte de moral, de repère, jusqu’au moment où on se dit que tout n’est pas beau dans le meilleur des mondes, qu’il faut finalement s’y mettre pour qu’il se construise, que rien n’arrivera par magie même si on nous dit qu’elle est partout, et que pour être riche et en bonne santé, il ne suffit pas seulement d’essayer de se reprogrammer et d’y penser.
Bref, on a du boulot et il est vrai que je n’imaginais pas à la base que le retour à la 5D et la suite allaient demander autant d’efforts et prendre autant de temps surtout vu le timing serré qu’on nous a annoncé dans de multiples canalisations qui n’arrêtaient pas de préciser que tout était en place et que tout était déjà terminé … .
Mais bon, on est sur le chemin et il est clair que personnellement, je préfère largement galérer tout en sachant que j’avance, que de rester coincer dans un monde qui n’a plus aucun sens et dans lequel les mouvements et actions des uns et des autres sont tous plus absurdes chaque jours. Et il est certain que lorsqu’on a fait l’expérience des synchronicités et qu’on a pu s’établir dans un état vibral, on imagine guère avoir envie de revenir en arrière.
Merci encore Laurent ainsi qu’à l’équipe et bonne chance à tous
NOUS SOMMES DANS LE PASSAGE LE PLUS INCONFORTABLE. ! VIGILANCE ENVERS NOTRE MENTAL , CENTRAGE, RETOUR A SOI LE PLUS SOUVENT POSSIBLE, CONFIANCE, PLUS DE VICTIME NI BOURREAU NI SAUVEUR NI BISOUNOURS JUSTE UNE QUALITE DE PRESENCE SANS JUGEMENT ET DES ECLAIREURS POUR LES CONTRADICTIONS DES DIFFERENTS PLANS DE CONSCIENCE OU NOUS YOYOTONS GRAVE! 😯
Puissamment fabuleux, ce message. Il élève.
Merci de tout Coeur,
Valérie
Bonjour Laurent,
merveilleuse analyse 😆
Merci 🙂
Bonjour Laurent,
Je lis tous tes articles, même si je ne me manifeste pas beaucoup, parfois je lis en diagonales quand il y à trop de métaphores que je n’arrive pas à mettre dans le contexte.
Bref, dans ce message tu met le doigt sur un point très important: Le vocabuliare
Et tant qu’on sera dans le « je, tu, il », on ne quittera pas la 3D.
Viola mon petit Feedback
Merci et bien à toi
Il m’arrive de ne plus avoir envie de dire « bonjour » , « au revoir » ou « bonne appetit » car ma façon d’être n’est plus alignée avec mon éducation du 3D. 😉
Teo
Bonjour Laurent 😉
C’ est tout à fait çà …. 😉
Merci 😉
Homis soit qui mal y pense
Namasté mon frere mon ami
Ca secoue… mais finalement ça vibre!!! 🙂 Merci Laurent
Bonjour,
Je reviens à l’article 46, dernier paragraphe. C’était un piège caché ; le guide !!!
En effet, il y a une bonne quinzaine d’années qu’il s’était présenté -en jouant.
Il est revenu par différents intervalles seulement je ne savais pas quoi faire avec
lui. Selon un auteur de la physique quantique il devrait être notre serviteur. Mais
il ne voulait pas être traité comme tel. Dans ton dernier paragraphe tu nous explique
que .. . Merci. Je m’apprête à lui confier les rênes de mon existence.
Un chamane mexicain réputé écrit dans l’un de ses livres que l’homme dès sa
naissance est domestiqué et de surcroit continue à s’auto-domestiquer.
Une question justifiée : c’est quoi la condition humaine.
..La marche : Mon équipement de marcheuse n’était pas adapté à la dernière étape
très tumultueuse, pénible. Grâce aux EDL -je suppose- que l’équilibre est revenu,
donc je peux reprendre mes ballerines.
Sans doute à la fin de la marche une médaille nous attend.
Encore merci beaucoup Laurent de nous aider dans notre avancement !
Lilas17 😀 😆
Un grand merci pour cet éclairage
Lulu 28
Salutation frère Laurent,
je comprends cette explication salvatrice sur le non sens, ou ce côté dualitaire d’un « bonjour » de circonstance (pour ne pas dire de politesse, ce qui alors le dénature de sa spontanéité), mais lorsque tu avais lancé la chose, tu avais alors balayé cela « comme d’un seul bloc » sans autre forme de procédé (tu t’en n’es peut-être pas rendu compte, mais en tout cas, c’est comme cela que je l’ai ressenti); et c’est donc en quelque sorte ce mur qui m’avait interpelé, mais pas le fait de remiser le sacro-saint « bonjour » aux oubliettes !
La chose est donc claire, et entendue, et sur ce, je te… salue. Yannick. 😉
Éblouissant de compréhension avec ces parallèles entre les 3 dimensions. Merci Laurent