46 – Bisounours, un marcheur en chaise roulante

bisounoursBien qu’ayant compris que nous sommes dans un monde de dualité, le marcheur débutant se fait appeler par les sirènes de l’unification. C’est normal puisque c’est, d’une certaine manière ce qui est demandé. Cependant, l’information est présentée de telle sorte que ce qui semblait être une lumineuse attirance se transforme rapidement en sombritude et chemin de croix.

En effet, c’est à l’image d’un esseulé qui recherche la Barbie de ses rêves ou d’une esseulée cherchant un clone de George Clooney. C’est super attrayant et les projections de paix, d’harmonie, de fusion, de rencontre d’âme-soeur magistrale, de sexualité transcendante au point que même une montée de Kundalini ne ressemblerait qu’à un pétard mouillé…

Bref, c’est vrai que pour que quelqu’un se lève et marche, il faut une sacrée motivation pour le faire sortir de sa léthargie de 3D, où sous une activité routinière mais hyper prenante, il n’a pas une seconde à se consacrer d’abord, laissant ainsi grandir une insatisfaction très palpable et super angoissante.

On comprend donc que sortir toutes les sirènes hyper sexy est une obligation au départ mais rapidement, une fois assis sur le bord du lit, il lui est présenté une chaise roulante car ledit bûcheron du roupillon a les articulations qui le font grimacer au point qu’il peine à étouffer ses accès de colère. Il croyait qu’il allait pouvoir attraper la belle infirmière s’il se levait suffisamment vite… Ainsi, si je fais dans le résumé, il y a les différents étapes de l’éveil :

1 – Le stade du dormeur profond
C’est l’individu couché qui, quand il ouvre les yeux, voit une réalité qui ne lui plait pas. Pour le fuir, il accepte qu’on lui pose un casque sur la tête avec pour paire de lunette la télé. Le programme reste les actu, quelques séries de seconde zone retraçant une vie de 3D où la personnalité fait des ravages et s’impose. Puis cerise sur le gâteau, il y aura quelque fois des films hollywoodien pour quand même lui tenir la tête un peu au-dessus de la mouise quotidienne.

2 – Le stade du dormeur qui ose ouvrir les yeux suffisamment longtemps
C’est l’individu qui commence à en avoir marre des films et des séries et qui commence à voir que les infos qu’on lui donne à la télé sont très très orientés au point qu’il se rend compte qu’on le prend vraiment pour un con-sommateur. C’est alors que sous des airs de “je ne bouge surtout pas afin de ne pas attirer l’attention”, il découvre plusieurs infirmières drapées de blanc qui vont et viennent pour remplacer des bidons vides placés en hauteur.

C’est alors qu’il découvre qu’il est un patient servant de souris de laboratoire. On lui injecte toute les saloperies chimiques directes comme les médicaments et vaccins ou indirectes comme la bouffe hyper industrialisée par exemple ou des couches anti quelque chose. Bref, ledit dormeur commence à se faire du souci pour son matricule car il réalise qu’il n’est qu’un numéro (de sécu…).

3 – Le stade du dormeur qui décide d’agir
C’est celui qui a réalisé qu’il s’il ne bouge pas son derrière, il va y rester et que sa vie n’aura été qu’inconscience. Il décide donc de casser la glace en commençant à vouloir causer avec les infirmières. Ainsi par l’émission de certains bruits (des prières ?), il attire l’attention d’une infirmière qui le regarde alors dans les yeux.

C’est là que notre patient découvre la profondeur des yeux bleu, le verbe créateur d’un ange, la chevelure magnifique (les ailes ?), la tenue lumineusement blanche mais aussi, en passant, la profondeur du décolleté… Bref, le patient se découvre des ardeurs et décide d’entamer la conversation au détriment du programme télé. En gros, il devient un dévoreur de canalisations…

4 – Le stade du chercheur tout azimut pour se tirer du lit
Ainsi pleinement convaincu qu’il n’est pas bon de rester un patient qui alimente le système, le chercheur veut passer au stade de la marche. Aussi, l’infirmière étant rodée à aider les gens sortant du coma, l’aide à s’assoir dans le lit puis ensuite sur le bord du lit. En cela, le patient se sent très assisté et il est plein de gratitude envers ces infirmières car, au fil du temps, il a découvert qu’il y avait plusieurs “anges” qui s’occupait de lui.

Les infirmières sont devenues SES infirmières et il pense sincèrement être au centre de la vie de ces infirmières. Bref, il s’est déjà monté un film tout seul et il commence à supputer qu’un petit convolage avec l’une d’elle ne serait que juste récompense pour lui, car lui, il s’est réveillé (ce qui n’est pas le cas des centaines de gens qui sont autour de lui dans la même pièce…). Son statut de réveillé insuffle donc un état d’être de supériorité à peine voilé. Lui, il sait car il s’est réveillé.

5 – Le stade du réveillé qui va se tirer de son lit
Période critique, il s’essaie à vouloir se tenir debout mais le manque d’équilibre (chose qu’il avait avant quand il était allongé) l’importune énormément tout autant qu’avant il avait aussi la santé et ses repères… Bref, les premiers stades du questionnement si l’Ascension est une arnaque commencent. En effet, dans sa tête, il y avait la dualité et il pensait que le fait de se lever et marcher il allait unifier le tout et que la dualité allait disparaitre.

C’est là que l’on comprend (avec mes articles sur la marche), que l’on ne peut marcher qu’en jouant avec la dualité (on passe d’un pied d’appui à un autre) tout en étant obligé de maintenir un équilibre dans le déséquilibre. En effet, au lit, on était bien en équilibre mais il n’y a avait aucun mouvement de mise en avant. En gros, on était des morts dans un corps vivant mécaniquement et en mode automatique.

Mais maintenant, ascension oblige, il faut être un vivant dans un corps vivant et c’est là un triple problème que nous allons aborder :

a) On se rend compte que le corps « vivant » était en fait au minima syndical  via le corps physique (1D-2D) mais que notre corps de manifestation (qui va jusqu’à la 12D) était quasiment mort… D’où un réapprentissage très important amenant de profondes fatigues mais aussi faisant remonter tout ce qui s’était sclérosé-soudé (noeuds énergétiques-émotionnels-mentaux et spirituels – les croyances).

Ainsi l’illusion de « avant j’étais en bonne santé » à surgir comme par miracle car maintenant le « je suis complètement cassé et fourbu de partout » ne rime pas avec ce qui était annoncé si on prenait le chemin de l’Ascension. (1ère désillusion).

b) Impulser un mouvement pour aller de l’avant (l’intention vers le Service) sort de l’imaginaire pour devenir du concret. Et, là encore, seconde désillusion, cela aurait dû être hyper facile et dès le premier pas fait, les autres auraient dûs s’enchainer sans problème or ce n’est pas du tout le cas !!! Bref, l’Ascension promise ne se passe pas du tout comme prévu.

c) Avant on avait des références fixes le plafond (le Ciel des religieux), les pieds de lit (la bonne 3D – l’architecture du lit) mais maintenant, en se levant, on est plus enclin à regarder par terre qu’au plafond car on a deux pieds qui ne font pas vraiment comme on voudrait qu’ils fassent parce qu’avant on les avait en éventail au repos et maintenant ce n’est plus pareil…

En gros on est déboussolé car toutes nos références d’avant se retrouvent être totalement insuffisantes. Certes au début, quand on sort du lit on s’accroche à la tête du lit, et ventre contre le lit, on déplie les jambes en espérant rencontré un sol dur pour ensuite se verticaliser, puis faire un demi-tour sur nous-même et aller vers l’inconnu.

Et c’est là, la 3ème grande désillusion, on pensait que le chemin était tout tracé et ça allait être de l’enfance de l’art. On, à ce moment précis, on te dit « C’est à toi de faire ton chemin et seule ta petite voix peut te dire ce que tu dois faire ». Bref, encore une emmerde supplémentaire pas prévue !

C’est alors qu’il va se présenter 2 alternatives : 1) retourner au lit et 2) trouver une voie plus facile et sécuritaire.

Et, (sonnement de trompettes et de tambour) une infirmière toute lumineuse et au déhanché provocateur se ramène avec une chaise roulante dont elle tient les poignées avec fermeté. Ce qu’il faut traduire par un envoyé de lumière (un EDL si possible et de haut rang, c’est mieux surtout si on vient à en faire la promo) qui vous mènera là où il veut bine que répondant à la chinoise à vos demandes… (le non n’existe pas dans l’Un visible).

Ainsi, si vous décidez de vous assoir dans la chaise (ou fauteuil pour les plus égotiques) roulante, vous allez pouvoir retrouver un équilibre bien calé entre les coussins mis à cet effet. Vous pourrez ainsi avancer sans pour cela avoir à regarder en face vos arthrites et vos déficiences musculaires. En gros, tu redeviens un mort-vivant puisque ton corps revient au minima syndical et tu pourras clamer sur les toits que tu es un marcheur qui, de plus, va plus vite que tous les autres. Normal sauf que le véritable travail n’est pas fait.

De plus, comme vous ne parlez pas beaucoup avec votre petite voix, vous allez forcément vous reposer sur les bons conseils avisés de votre infirmière qui, dans le dos, vous susurre ce qu’il est bien de faire. Vous pourrez alors considérez cela comme un guide qui aura, après quelques enjambées dans l’inconnu, su gagner votre confiance.

Dit autrement, vous êtes passé d’une prison-lit à une prison roulante qui ne pourra vagabonder qu’au même étage et dans des couloirs déterminés. Il y a le couloir des « illuminati » qui mène à la grande salle de « l’Ordre Mondial »qui elle-même renvoie vers d’autres couloirs comme « la Conspiration », « les Reptiliens et associés », « les gouvernements secrets » avec tous leurs projets (Haarp, etc…) et installations (sur Mars, dans l’Arctique ou Antarctique, etc…).

Bref, vous arpentez bien le chemin et du haut de votre chaise roulante vous scandez les slogans qu’il faut sauver la planète, abattre les banquiers, virer les politiciens. Tandis que d’autres arpenteront des couloirs plus bisounours où ils scanderont qu’il faut aimer tout le monde, qu’il faut manger bio et qu’il faut à tout prix développer l’usage des énergies libres si souvent étouffée par les cartels du pétrole…

Comme vous pouvez le constater, tout individu s’étant sorti du lit devra automatiquement passer par ces couloirs car ils sont l’architecture même du bâtiment 3D4D construit par le jeu lui-même que nous sommes venus expérimenter. Nous passons tous par ces couloirs (ceux du bisounours et des illusions rattachées) mais avec un petit détail qui a son importance  : êtes-vous toujours dans la chaise roulante ?

Si Oui, c’est bien d’en prendre conscience afin de pouvoir faire l’effort nécessaire pour vous lever enfin et ne plus vous laissez emmener là où votre infirmière a décidé de vous emmener. Certes, vous allez couiner des genoux, c’est évident mais il faudra le faire sinon vous ne pourrez monter à l’étage supérieur qu’est la 5D6D.

En effet, l’ascenseur n’existe pas et donc, cette ascension vous devrez la faire en vous agrippant à la rambarde de l’escalier qui comporte de nombreuses marches et paliers (pour qui n’en n’a jamais monter une – normal, si vous êtes sur un truc à roulette…). Il faudra donc abandonner la chaise et enfin vous mettre en oeuvre physiquement parlant.

Ainsi quand on vous dit qu’il faut s’ancrer, cela veut dire prendre l’aspect matière (et la dualité qui la caractérise) par les cornes en comprenant qu’elle n’est pas contre vous mais avec vous sinon pourquoi vouloir rester dans un corps de matière ? En effet, à quoi sert un corps physique si vous ne pensez qu’à vous évaporer ?

On voit donc bien que les bisounours (ceux qui traversent les couloirs sur chaise roulante) sont très enclins à l’évanescence, très enclin à croire que les ascenseurs existent (tout en sachant que personne ne peut faire le job physiquement à votre place et donc quelque chose d’extérieur à vous comme l’ascenseur lui-même) et qu’en plus ils n’arrêtent pas de râler sur ce corps physique qui les lâche….

Beaucoup pensent qu’un sauveur (un illuminé des Hautes Sphères) ou des ET viendront apporter ce petit coup de pouce. C’est impossible par définition car l’objectif est que vous repreniez la maitrise de votre corps de manifestation. Il est donc complètement idiot de croire que l’on va emmener des « mous de la matière » à l’étage supérieur puisque justement la 3D4D est l’étage de la maitrise de la matière.

En résumé, le jeu actuel qui est celui des involuants est de vous maintenir dépendant d’une aide extérieure et ils font cela grâce à l’autorisation que vous leur donnez. Une infirmière ne pourra jamais forcer un roupilleur professionnel à se lever et à marcher. Or qu’est-ce que l’infirmière sinon celle qui prend soin des moutons qui se font perfuser de partout ?

Son rôle est de le maintenir au maximum au lit. Alors quand il y en a qui ouvrent les yeux, elle fera tout pour les embarquer dans des rêveries « divines » où le dormeur se sera dit qu’il a vu « Dieu » en personne (normal, puisqu’une infirmière est quand même censée être en meilleure forme que le malade lui-même… sinon elle ne viendrait pas au boulot !).

Puis, s’il y en a un qui veut vraiment sortir du lit alors son rôle sera de le faire assoir dans une chaise roulante afin de lui économiser de la souffrance… C’est plus sécuritaire que de vouloir marcher surtout quand on titube dans les débuts. C’est vrai que se prendre les coins de meubles ou le carrelage, ce n’est pas plaisant surtout qu’en plus il est froid et que l’on était bien au chaud sous les couvertures.

Alors, que vous ayez pris une chaise roulante ou non cela n’est pas le vrai problème. En effet, une chaise roulante permet d’explorer plus vite les couloirs qui nous attendent et que l’on ne peut éviter. A contrario de ceux comme moi qui ont rampé pendant des décennies pour les découvrir (hé oui, internet n’existait pas) mais, tôt ou tard, on se retrouvera nez à nez avec l’escalier.

Et devant l’escalier, d’après vous, qui seront les moins pénalisés : les rampants, les titubants, les marchants ou les roulants ? Ce seront ceux qui auront su développer leur musculature et leur discernement. En effet, l’étage de la 3D4D est un vrai labyrinthe où tous les couloirs vous renvoient vers votre lit (de mort).

Or, les escaliers se trouvent dissimulés derrière une porte aussi anonyme que possible. Normal, ce sont les escaliers de « Service »… Et, d’après vous, que faut-il qu’il se passe pour qu’enfin un max de dormeurs puissent se réveiller, marcher et courir vers ces portes de Service ?

Il faut donc commencer par quelques tremblements de terre pour secouer le lit et réveiller l’endormi puis mettre le feu à la baraque pour qu’il se lève sans poser de questions. Et enfin, on compte sur son instinct de survie pour qu’il se dirige dare dare vers la porte de sortie qui a été définitivement arrachée en ce 17 mai 2014.

Alors que vous soyez un bisounours au lit, au bord du lit ou en chaise roulante, l’essentiel est de trouver la porte de sortie, celle du Service, et que vous ayez la sincérité véritable pour prendre votre courage à deux mains et vous agripper à la rambarde 5D qui est maintenant rendue accessible à tous.

Il est donc inutile de chercher des excuses ou d’argumenter en quoi que ce soit sur le bien fondé de tel couloir ou tel couloir, de telle croyance ou telle croyance mais d’agir et d’acter vers une autonomie musculaire réelle et non rêvée.

Dit autrement, finit d’avoir des maitres et des guru. Finit de s’appuyer sur des personnes ou des enseignements extérieurs. Finit de trouver normal d’avoir des infirmières parce que votre mental-égo a décider que vous le valez bien. Finit de suivre des croyances mises en place pour des dormeurs car même si vous semblez marcher vous n’êtes qu’un somnambule inconscient voir un rouleur con sciant voulant limer les différences.

Finit de croire que l’on amènera tout sur un plateau comme le faisait les infirmières. Car sur ces plateaux il n’y avait que du poison en général sous l’aspect appétissant. Tout était falsifié, faux, dénaturé afin de maintenir le patient malade. Finit les barbituriques des films à l’eau de rose, des séries rocambolesques et des jeux lobotomisant…

Par contre, une fois que vous aurez posé la main sur la rambarde, un guide se présentera à vous pour vous dire où vous en êtes et vous dire où se trouve la prochaine marche. Il sera là pour vous aider dans votre mise en œuvre mais il ne pourra le faire qu’avec la pleine acceptation de votre petite voix, or qui pourra lui dire sinon vous, qui êtes précisément cette petite voix incarnée ?

Bref, l’étape bisounours est une étape nécessaire pour faire lever les morts-vivants mais elle n’est pas appelée à devenir permanente. Je vous dis cela afin que vous compreniez que je n’ai pas d’animosité contre les bisounours mais que je suis chargé de balancer des coups de savates dans les pieds du lit de ceux qui se sont réveillés et dans les chaises roulantes qui commencent à encombrer un peu trop les couloirs.

Ce n’est pas que je ne les aime pas mais, bien au contraire, car un véritable acte d’amour n’est pas en allant dans le sens du poil mais plutôt à l’inverse. Plus nous serons nombreux à quitter les couloirs de l’illusion mis en place par nous-mêmes et pour nous-mêmes afin de remplir notre mission d’involution et plus nous n’encombrerons plus les couloirs bouchant ainsi l’accès aux autres.

En effet, combien de bisounours sont coincés en face d’un tableau ou d’un meuble en se disant qu’enfin ils ont trouvé où était la Vie. Ils ne font que boucher les couloirs et empêcher les autres d’avancer. Ils créent des bouchons de par leur non discernement d’une illusion parmi les illusions. Il est donc normal d’apporter un peu de fluidité non pas en supprimant le tableau ou le meuble en question car de toute façon ils en trouveront un autre plus loin.

Il ne reste donc que la seule solution qui est de balancer des coups de godasse (des coups de gueule) dans les chaises roulantes afin qu’elles avancent plus vite (vers la sortie si possible) ou que la personne découvre qu’elle est assise dans un lit pliant à roulette amélioré et qu’en fait elle était souvent conduite par une main invisible à laquelle elle avait abandonner tous ses pouvoirs.

Bien, je vous dis à la prochaine car il me semble qu’il me reste encore une ou deux roues à démonter surtout dans la famille des fauteuils roulants. Il faut dire qu’ils font dans le double écrous et qu’il faut donc s’y reprendre à plusieurs fois…

Laurent DUREAU

20 Commentaires

  1. être dans une conscience unifier,la paix de l’esprit,le vide de toute les possibilités ,sortir de la conscience diviser des extrémes des opposés du bien et du mal,ou ne règne que souffrance,observé sa pensée,qui nous enferme par répétition dans le passé ou futur probable,être libre donne de l’espace,de ce que nous sommes,des êtres divins,le monde est en nous.aller au delà de cette zone horizontal,pour atteindre,la verticalité de l’ascension,et retrouver l’équilibre des deux,un chemin de croix.

  2. Allégorique au possible mais génial ! On s’y reconnaît bien hein ? Et ce sont les coups de savate qui aident à nous botter les fesses pour que nous marchions enfin…. ca fait mal, c’est douloureux mais c’est libérateur smile

  3. Que dire si ce n’est… Excellent smile
    Là, c’est de l’art avec un grand A

  4. Bonjour à Tous !

    Je confirme !  » Douloureux  » Oui ❗ qui devient …..  » Heureux  »
    Alors ça vaut le coup non ❓

    j’ ai bien rigolé 😆 Merci Laurent pour tes coups de pieds ou de gueules 😉 😉 😉

    Et comme tu le dis :  » Brosser dans le sens du poil  » ne fais pas avancer .

    une excellente description ….. Comme Clémentine je me reconnais bien je me marre de + en + de moi même …. On est vraiment bouchés et gravement embourbés !
    Courage à Tous …. & …. Toutes 😀

  5. Même si ce que tu dis est juste, as-tu vraiment raison d’en parler ?
    Nous errons tous dans un couloir ou un autre et au cours de notre vie nous passons d’un couloir à un autre et c’est comme ça que nous avançons. Cela veut-il dire que notre errance est une erreur ? Non, c’est le chemin de l’humain dans son retour vers la Lumière (c’est le chemin de Caïn).
    Chaque étape est respectable et il est bien que nous nous soyons égarés d’un côté ou de l’autre au cours de notre vie car cela nous évite de juger ceux qui s’égarent aussi (à nos yeux).
    Mais s’égarer n’est pas se perdre, c’est juste une sortie de route momentanée.
    Celui qui ascensionne reste centré et s’il commence à regarder les petits copains mal barrés, il quitte le mouvement (ascensionnel). Il n’y a pas de meilleur moyen, si on veut aider les copains, que de rester centré, sans jugement ou critique, juste avec une fraternelle compréhension.
    De toute façon, celui qui croit que son couloir est le meilleur, tu ne le feras pas changer tant que ce n’est pas le moment.
    Alors, continue à ouvrir des portes et les gens suivront s’ils sentent qu’elles ouvrent sur la Vie et t’occupe pas du reste.

    • Où il y a-t-il jugement dans ce que je dis ? Je décris ce qui est et c’est à chacun de savoir où il en est. Il n’y a pas d’étape respectable car il y en a aucune irrespectable. Il n’y a pas un chemin et donc des possibilités de s’égarer et donc de faire des erreurs.

      Dit autrement Martine, prend du recul et relis bien ton commentaire et tu verras que ce n’est que jugement puisque tu ne vois que dualité. Il ne peut y avoir de fraternelle compréhension car il ne peut pas y avoir de non-fraternelle compréhension. Il y a ce qui EST, et ce qui EST peut être décrit selon la vision de chacun. Est-ce pour autant un jugement ?

      Alors me mettre sur le dos un « t’occupe pas du reste » indique clairement que tu as été touchée quelque part par cet article et que tu as réagis à chaud. Or, si tu relis bien, tu verras que je ne me mêle absolument pas de ce qui se passe chez les lecteurs puisque, grosso-modo, je ne vous connais pas et que je n’ai absolument aucun temps à y consacrer.

      Bref, ne t’inquiètes pas pour moi et encore moins pour les autres mais saches qu’il est normal que lorsqu’on balance quelques coups de pieds dans les lits ou chaises roulantes, il y a forcément des couinements qui vont du plus ou moins audibles à l’hurlement. J’ai donc mis mes boules quiès mais des fois j’entends quand même…. 😀

      • Merci Laurent de donner un coup de pied dans le lit! 🙂

        C’est vrai que c’est un peu désagréable car ça réveille l’Ego en premier… Il se redresse et s’indigne du réveil brutal:
        « Qui se permet de me bousculer comme ça? » 😈
        « Pour qui se prend t-il ce Laurent Dureau pour me donner des leçons, moi qui contrôle tout et qui sait tout!?
        Qui n’a pas entendu cette voix qui cause en arrière plan mais qui n’est pas la nôtre?
        On se rend compte alors qu’il y avait encore un bout de chemin à parcourir et que seul, sans réveil matin percutant, on serait resté dans notre rêve bardé d’illusions Bisounoursiennes pendant encore quelque temps!

        La gratitude s’impose d’elle même lorsqu’il s’agit de tes enseignements Laurent. Merci, merci, merci!
        Et ne confondons pas enseignant de 5D et petit professeur de 3D…
        La voix de Laurent est finalement notre petite voix qui nous dit de prendre garde au loup qui roupille dans la bergerie! Il n’y a pas dans sa parole de dualité mais une incitation à l’unification de notre être multidimensionnel à la lumière de notre petite flamme 🙂

        • tout à fait d’accord celine ! sortir de la dualité est drolement difficile, on se fait pièger à chaque « coin de rue » ! merci laurent et corine.

  6. Le démantèlement des croyances aboutit à voir et donc purger tout ce qui est douloureux et effrayant et mène vers ce qui fait peur : l’inconnu et le trop puissant.

    Ca avance douloureusement pour moi,à nettoyer toutes les peurs, quel courage il faut pour se désembourber. Merci Laurent pour ton intégrité.
    Val

  7. Cher Laurent,

    Beaucoup de synchronicités dans mon existence donnent à cet article une raisonnnance particulière en moi. Tu appuies clairement là où ça fait mal pour le bisounours qui sommeille en nous !

    Je me demandais : Est-il impossible de vivre une relation harmonieuse avec une infirmière et évoluer ensemble ? Est-ce là une illusion ?
    Si on a conscience du pouvoir que l’on exerce l’un sur l’autre, et du fait que l’on est chacun pour l’autre un porteur de lumière, ne peut-on trouver un équilibre en couple ?

    Par ailleurs, emprunter l’escalier de service dont tu fais mention, n’est-ce pas tout « simplement » se mettre au Service de la Source ?

    Un grand merci pour ton éclairage !

  8. Avant que Laurent ne vienne reprendre mon idée, et oui, il n’est que le reflet de ce que vous voudriez voir, je tenais à signaler, mais certains ont du le constater, l’idée il y a pas de bien , il y a pas de mal est une pure idiotie, un concept new-age donc sataniste.
    En effet, que peut-on qualifier de bien et de mal quand on regarde au travers d’une lunette juste, humaine et qui sait simplement ou elle en est. C’est simplement un raisonnement intelligent qui fera la différence.
    Quand à penser que la lumière ne sera pas toujours lumière, oui si simplement on ne lui vient pas en aide, si on ne vient pas alimenter ce qu’elle EST, elle finit par disparaitre. Et elle a le droit d’être aussi.

  9. Bravo, bravo LD de ce commentaire, lardé d’humour, de profondeur, d’imagination
    fertile, métaphores percutantes.
    Merci infiniment, il me semble d’avancer !!!
    Lilas17 😀 😀

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