Quant un individu décide de mettre son nez en dehors de l’autoroute mentale tracée par les institutions, qui se trouve être en réalité une voie de chemin de fer, il découvre que descendre du train de la 3D n’est pas une mince affaire. D’abord, il faut avoir l’intention de trouver une gare pour descendre et secundo, tout le monde te regarde à travers les vitres de la normalité et rient de toi.
Certes, il y a quelques dizaines d’années, il n’y avait pas grand monde qui descendait car il était forcément traité d’illuminé mais en plus, une espèce de mode vestimentaire soixante-huitarde permettait de te faire repérer assez grave. Puis cela vint à virer à la coupe de cheveux rasta, aux fringues violettes et arc-en-ciel plus ou moins délavées avec, en lieu et place de la Gitane maïs, un mégot appelé pétard…
Bref, généralement ceux qui s’affichaient ainsi ne faisaient pas dans la cinquantaine car seuls les jeunes (après l’armée généralement) pouvaient se permettre de lever un doigt à tous ceux qui le regardaient à travers la vitre embuée du train du métro-boulot-dodo.
Personnellement, je ne suis pas tombé dans ce cliché réactionnaire mais n’empêche que malgré mon accoutrement classique, je suis passé dans la mode New-Age mais sans les travers du pétard qui fait planer et de l’alcool fort qui allait avec quand tu n’avais plus le moral après tes retours nirvanesques. C’est sûr que passer de l’état de planeur au mur de la 3D, ça ne pouvait passer que par l’éthylique d’une manière ou d’une autre.
Bref, généralement ces 2 derniers états sont assez incompatibles avec une conduite motorisée quelconque à moins de vouloir aller au Ciel d’une manière assez rapide et radicale. Il s’est donc trouvé qu’il a fallu marcher c’est-à-dire utiliser ses 2 jambes afin de découvrir des chemins plus ou moins tracés par des Hindous (Katmandou oblige) puis récupéré ensuite par les bouddhistes pour ceux et celles qui avaient plus ou moins su échapper au traquenard de l’illusion d’évasion via les drogues.
Ainsi, jean’s pattes d’éléphant et Puma aux pieds (Nike n’existait pas encore) quand ce n’était pas les rangers de l’armée pendant l’hiver, l’illuminé que j’étais se trimballait en veste de treillis avec pull aux manches 3 fois trop grandes. Les cheveux longs ne sont venus qu’après l’armée car avant, vivant chez mes parents cela était tout bonnement impossible.
Hé oui, si aujourd’hui n’importe quel jeune peut avoir la coupe de cheveux qu’il veut, de mon temps, c’était la coupe en brosse et rien d’autre sous peine de se trouver éjecté illico presto. Ça ne faisait pas dans le détail à l’époque mais néanmoins il ne fallait pas se fier aux apparences.
Il y avait donc les “New-Age” visibles et donc provocateurs qui, à part, la route de Katmandou ne faisait rien d’autre véritablement. Et puis, il y avait les invisibles c’est-à-dire ceux et celles qui sous des apparences “normales” pouvaient se faire repérer d’abord par la brillance des yeux (à contrario des provocateurs qui eux étaient plutôt dans le vague) et ensuite par les propos tenus qui souvent dénotaient assez sérieusement par rapport au journal local…
Il y avait donc les marcheurs (ceux qui avaient quitté le train) mais cependant 2 grandes familles : ceux qui montraient leurs désaccords d’une façon provocatrice (les provoque à tort) et ceux qui déguisés en tenue classique qui allèrent plus loin que le quai de gare de la félicité.
En effet, on n’a rarement vu un rasta en train de marcher en rase campagne. Ils étaient plutôt cantonnés dans des baraquements de fortune où des fourgonnettes Volkswagen peintes de différents motifs New-Age qui détonaient sur l’uniformité des couleurs livrées en sortie d’usine. Bref, soit tu les trouvaient dans leurs baraquement ou affalés sur les quais de gare…
Mais alors où était les autres, ceux qui ne provoquaient pas par l’accoutrement mais qui, par le verbe, te mettait n’importe quel lobotomisé en état d’inconfort ? Eux, ils ont appris la marche, la véritable, celle qui est avant tout intérieure et qui ont su aller au-delà du clinquant bisounours bien que l’ayant traversé pendant une période certaine.
En effet, forcément quand tu descends du train, tu vas te retrouver sur le quai et en compagnie donc des provoques-à-tord qui pensant trouvé un frère qui les rejoint te propose gratos un bout de joint en compagnie de leur copine qui peinent à cacher leur sensualité et la facilité avec laquelle elles sont capables de passer au fameux “faites l’amour et pas la guerre”…
C’est sûr que plus d’une fois ça m’a frôlé les oreilles mais étant un non-fumeur caractérisé mais aussi un non-buveur patenté, l’attirance vers les joints et la beuverie pour échapper à ce monde triste et morne des lobotomisés a fait que j’ai quand même succombé à la sensualité des dames et des écrits d’extrême Orient au point d’épouser une Japonaise…
Je suis donc bien tombé dans la cuve éthérique, le bar à méditation, l’ivresse dimensionnelle, le biscuit philosophique, la tenue unique du nouveau-né (naturisme) et j’ai découvert cependant que cela n’était qu’une étape, une transition, et pas un aboutissement en soi. J’ai donc appris à marcher, marcher et marcher pour en finir à trottiner, trottiner et trottiner.
Certes, dans certaines descentes, j’ai découvert le plaisir de la course (et l’abandon à cet élan) mais aussi celle du freinage car de sérieux dérapages m’ont fait comprendre qu’une sortie de route n’est jamais, au grand jamais, une bonne chose. J’ai donc appris à marcher mais surtout à avoir compris que ce n’est pas les pointes de vitesse qui comptent mais que c’est la régularité, la constance et surtout de ne jamais s’arrêter de marcher.
En effet, chaque arrêt, même s’il parait bénéfique en toute logique et avec l’appui inconditionnel de ton mental-égo, il te sera de plus en plus difficile de te relever et de te remettre à marcher. En gros, chaque arrêt t’empâte au point qu’un jour, tôt ou tard, tu tu ne pourras plus reprendre ton sac à dos et tes chaussures d’explorateur de l’inconnu qui t’habite.
Ainsi, maintenant, quand je parle du Marcheur sur la Voie, je parle de l’Illuminé, de celui qui s’est allumé de l’intérieur (même si ce n’est qu’une petite allumette bien fragile) et qui a compris que l’Ascension est avant tout un mouvement intérieur qui, tel un rouage de montre, ne peut jamais s’arrêter.
Tout tourne dans l’Univers et que cela soit dans l’infiniment grand que dans celui du petit. Alors si tu arrêtes de marcher, tu recules tout simplement. Ainsi chaque arrêt, même s’il semble bénéfique, est en fait un recul car tout évolue et rien ne s’arrête. Ainsi l’heure qu’indique ta montre intérieure n’est plus en phase avec l’heure universelle (unit vers celle – Unit avec La Source – Unit avec Ta Petite Voix).
Comprend bien mon ami, mon frère, que bien que tu puisses avoir des problèmes, ne pose jamais ton sac-à-dos spirituel, ne déchausse jamais tes chaussures de routard de l’UN car sinon les pieds de l’égo gonfleront au point que tu ne pourras plus repartir. Tant de marcheurs se sont arrêtés d’abord pour faire une pause puis ensuite construire ce qui deviendra au fil du temps une baraque à frite pour faire son business.
Il a commencé à partager sa gamelle puis voyant que certains marcheurs étaient attirés par leur odeur de frites métaphysiques, il s’est progressivement organisé au point qu’un jour son propre business l’empêche de repartir. En effet, comment va-t-il gagner sa vie s’il quitte son business alors il continue de vendre des frites et se persuade que c’est sa vie, son destin, son contrat de vie.
Mais pour un marcheur de longue haleine, il est facile de voir combien c’est facile de s’arrêter et de se faire prendre au Jeu de l’égo, au JE du moi qui sait, et de retomber ainsi dans les ornières que l’on croyait avoir quitté. Voilà pourquoi il faut être très vigilant quand on fait une pause. Il faut savoir faire la différence entre la pause petits besoins de celle qui dégénère en une petite causerie avec un ou plusieurs autres marcheurs sympathiques assis voire carrément attablés…
Dans la marche, ce qui est dangereux n’est pas de marcher mais de s’arrêter. Car le redémarrage, autant il est facile quand on est jeune, autant il devient de plus en plus problématique quand on a de la bouteille. Hé oui, beaucoup de marcheurs aiment placarder sur leur sac-à-dos les autocollants de là où ils sont passés où coudre les écussons sur leur veste de treillis…
C’est bien, c’est sympa et ça aide à causer avec les autres marcheurs. Ça permet d’avoir des sujets de discussion mais, à bien y regarder, cela ne fait que le jeu de l’égo. Certes, si vous en parlez en marchant ce n’est pas trop méchant sauf que pendant ce temps là vous n’êtes pas en train de voir ce qui se passe au bord de la route et ce que vous avez loupé.
Alors n’en parlons pas si vous commencez à taper la causant juste après le petit besoin… C’est ainsi que vous vous retrouvez à chercher où dormir le soir car vous n’avez plus le temps d’arriver là où on vous attendait. Votre petite voix sait car elle a tout programmé (y compris les mini-arrêts) mais souvent le faux-égo vous entraine là où ce n’était pas prévu car lui il sait comment vous menez en bateau… Il a tellement de bonnes raisons, hyper logiques et évidentes…
C’est si facile de succomber à la tentation d’un repos, d’une pause bien méritée, surtout si en plus une marcheuse vous a tapé dans l’œil et que justement un petit arrêt pipi s’impose pour elle… Combien de fois, un marcheur (ou une marcheuse) s’est vu détourné de son chemin pour cette unique raison ?
Combien de marcheurs se sont retrouvés à explorer des chemins qu’ils savaient ne pas être le leur ? (Vous pouvez mettre aussi tout cela au féminin, bien sûr). Ils diront “C’est pas grave et j’ai appris ?”. Oui, c’est sûr, mais était-ce nécessaire véritablement car que savez-vous de vos vies antérieures ?
Que savez-vous exactement de ce que vous avez à apprendre et découvrir sinon en écoutant votre petite voix ? Elle, elle sait ce que vous avez à faire alors pourquoi lui compliquer la vie ? Il n’y en a qu’un qui veut vous dérouter, vous faire sortir de la route prévue et vous le connaissez très très bien puisque justement son job c’est de vous mettre des bâtons dans les roues (et il est très doué à ce jeu là !).
Bref, qu’avez-vous compris de la marche, de l’action de marcher elle-même ? Qu’avez-vous compris du mécanisme intrinsèque qui se cache dans la simple action de marcher physiquement parlant ? La réponse est rien ou pas grand chose. En effet, vous direz que c’est bon pour la santé, que cela stimule nos différents corps énergétiques, que cela fait circuler le sang, que ça fait bosser les muscles, que ça reconnecte à la Nature quand on marche en forêt, etc…
Mais cela n’est que superficialité et ronds de jambes mentaux. Il n’est pas étonnant que vous vous fassiez avoir dès qu’une aire de repos pointe son nez à l’horizon. Alors si en plus, il y a une baraque à frites, vous ne ferez pas long feu à l’idée d’en déguster quelques unes avec un ketchup qui vous tend les bras, une mayonnaise bien ventrue ou une moutarde qui vous remontera les sensations.
Hé oui, quand on reste dans la superficialité, on est une mouche, on agit comme une mouche : on vole à droite et à gauche, tourne en rond dans la moindre piaule rencontrée et surtout on bat bien des ailes pour faire entendre à tous ceux qui sont là qu’effectivement vous êtes en pleine action jusqu’au moment ou soit une tapette venue de nulle part vous frappe en pleine tronche ou soit vous vous posez sur une ruban adhésif hyper gluant…
Il existe tant de pièges à mouches que je ne vais les décrire ici mais il est certain que la chance de survie d’une mouche dans une baraque à frite reste faible comparée à tout autre volatile volant d’une manière silencieuse et hors des parkings ou aire de repos fréquentés par les marcheurs débutants.
En effet, ne croyez pas que vous ouvrez le chemin s’il existe déjà. Ne croyez pas que vous allez réinventer le fil à couper le beurre quant on vous livre celui-ci en petit barquette plastique de 5 grammes… Ne croyez pas que vous tirerez la substantifique moelle d’un enseignement complètement ficelé, tronçonné et emballé, afin que justement vous ne trouviez que cela qui est voulu que vous trouviez.
Combien de marcheurs se sont vu immobiliser pendant longtemps (voire toute leur vie) par un enseignement d’une baraque à frite au seul titre que le bâtiment était là depuis fort longtemps et surtout très richement décoré. Les enluminures associées à un parcours commercial quasi invisible, tant il reste discret dans sa mise en œuvre, rassure inconsciemment le marcheur.
C’est ainsi que nos chers amis les involuants ont réussi à capter tranquillement la majorité des mouches s’échappant du train. En effet, mettre les pieds sur un quai de gare implique forcément que quelqu’un ait prévu la construction de la gare… Ainsi, tout marcheur débutant bien que rêvant aventure et surtout découverte se retrouve dans un chemin balisé totalement sous contrôle de ceux-là même qu’il croit fuir…
Bref, la superficialité et l’illusion sont une paire, un couple, super efficace. Il est donc normal que les mouches soient attirées par l’illusion du clinquant, du beau, du succulent, du sucré, du doux, du lumineux et du violet… De plus, preuves à l’appui, elles ne sont même pas capable de prendre 2 cm de recul dès qu’elles ont le nez collé à une vitre… On connait le résultat : épuisement, stress et surtout bruit de fond chiant à la fin….
Alors, cher marcheur, bien que tu saches qu’il te faut passer par un quai de gare et des chemins tous tracés par tes prédécesseurs, comment comptes-tu te sortir de tous les traquenards qui t’attendent ? Comptes-tu sur tes propres moyens mentaux qui je te le rappelle sont sous le contrôle total de ton faux-égo ou attends-tu un sauveur ?
Bref, dans les 2 cas, tu es mort d’avance… Alors où se trouve la solution à l’énigme ? Où se trouve LA solution qui te permettra de déjouer aussi bien les pièges tendus par les autres que ceux que tu tends toi-même ? Elle n’est pas ailleurs où en toi-même parce que c’est autant pourri dehors que dedans…
Bah alors, on fait quoi puisque de toute façon il semble que l’on se fasse avoir dans tous les cas ? Oui, c’est vrai qu’ouvrir son propre chemin semble être impossible en ce monde et pourtant cela est réalisable. Et, pour cela, il faut comprendre un truc. Il faut comprendre le mécanisme par lequel toute tentative de ta part t’emmènera obligatoirement à l’échec.
Ce mécanisme est sous tes yeux mais il est si gros, si énorme et tellement généralisé qu’il t’es quasi impossible de le voir. C’est comme le nez au milieu de la figure, c’est si gros, si évident, si normal que l’on en oublie que si l’on n’avait pas de nez, il faudrait respirer par la bouche. Or justement, c’est quand on a le nez bouché que l’on découvre son utilité…
Je te propose donc, mon frère, mon ami, de te faire découvrir d’une manière simple dans mon prochain article qu’il se cache dans la marche le mécanisme même de ta propre libération. Ce présent article est juste une mise en jambe afin de te faire visualiser le topo général « extérieur » afin que tu puisses ressentir en toi ce qu’est véritablement la marche et ce qu’elle cache comme trésor.
Dans l’attente de cette révélation, mon ami, mon frère, je te souhaite de ne pas trop ingurgiter de frites car c’est bien connu que derrière ce plaisir immédiat se cache une lente mais sûre descente vibratoire…
Laurent DUREAU
veuillez me désinscrire,svp,merci
mado
??? T’arrêtes pas maintenant Mado ….. on y est presque !!!
Gratitude cher Laurent,
Gratitude à la Vie et vous tous.
Je vous enlace
Mado, à l’instar de Dominique je viens te donner mon point de vue qui , peut être apportera de l’eau à ton moulin de décisions qui t’appelle à voler vers d’autres Univers. J’ai,suivi, pas à pas et surtout en silence depuis 2007 les écritures (les délires) de Laurent. Il me semble que le recul m’a été bénéfique le jour où j’ai décidais de m’éloigner de son Expérience « Bleue » .
En effet l’an dernier en Février mon cœur ne résonnait plus du tout l’ascension sous les Yeux de Laura. Que tu as certainement connu. Alors comme toi,aujourd’hui j’ai pris la plume pour écrire à Laurent (et Brigitte) dans l’intimité du lien direct, mon choix de dire (À DIEU) à cette belle aventure que je partageais avec eux depuis ( les textes de Laurent sur le Développement Personnel jusqu’à la Construction de son Pont de L’Un Possible.
Bref je pense que tu connais ces phases évolutives qui nous intéressaient , charmaient, et même nous,passionnaient , au point sentir peu à peu le Lumineux et le,Rayonnant des feux (dé liants )de Dureau.
Aujourd’hui ce Laurent que nous pensons bien connaitre accompagné d’une discrète (très discrète Corinne) décident de franchir un pas pour provoquer le « Close Contact » donc les voilà en partance pour la rencontre avec Nous, Nous les Intimes Inconnus ! Ce choix est très courageux car nous allons Tous pouvoir Vibrer ce « close contact avec Elle et Lui » au point de placer notre cœur intuitif face à l’aura de chacun.
Nos Hôte et Hôtesse nous lancent même avec conviction qu’ils sont disponibles (mais pour un petit nombre) de nous prodiguer des séances de DOPAGE VIBRAL ! Comme,toi je sais garder une oreille très attentive sur chaque mot que Laurent distille et j’avoue que (ma petite voix) ne m’incite pas (ou pas encore ?) à ces échanges que je crois véritables mais qui sonnent faux par,leur côté (dual) c’est à dire : ceux qui seront « booster » et ceux qui ne le pourront pas.
MADO,je te livre mon ressenti profond pour que tu comprennes que moi aussi j’ai,par le passé douté de la manière LD qui de toute évidence : Sait. Il représente le Sachant , et nous les lecteurs suiveurs mais certainement pas les moutons que certains blogs étiquettent sur nos épaules. Lorsque j’ai,écris,mon Adieu à Laurent , sa réponse instantanée fut de me dire que son chemin il l’accomplirait contre vents et marées ..etc…etc… Mais,surtout il a terminé son message en me disant : Le jour où nous nous retrouverons je serai là et je t’accueillerai les bras et le cœur grand ouverts !
Sa Douceur et surtout sa Grande Humilité que j’ai retrouvé après son « expérience Khubya » me permettent aujourd’hui de croire en sa sincérité et sa générosité je demande à voir , je demande à le voir, le voir proche pour savoir SANS PAROLES , ce que mon Être ressentira de Lui, mais ,aussi de son accompagnatrice jumelle qui nous abreuvent de leurs expériences « Extra – Ordinaires ». Je serai donc dans une et certainement plusieurs réunions en Bretagne et ailleurs pour vibrer leurs messages leur voix et peut être ? que tu pourrais t’accorder la même liberté pour alors, prendre ta décision et quitter cette bande de marcheurs aventuriers de l’Esprit, ou nous édifier de tes critiques constructives ? .
Je sais, je sais. Très long mon message ! Mais saches que s’il ne faut retenir qu’une seule Chose de son ami l’ETRE BLEU c’est que nous avons le Devoir de n’accorder qu’un 5% de vérité aux écritures partagées …et ensuite c’est le rôle de NOTRE SOI Supérieur de nous certifier les 95% restants… alors faisons nous confiance pour détecter et surtout échanger les éventuelles fausses Vérités et chasser définitivement ces sentiments de doutes de nos chemins respectifs.
Brigitte ? Ou la personne en charge du respect de nos anonymat peut te donner mon contact direct email si tu désires répondre à ce message bouteille , que tu liras peut être ? Si tu en as le temps ? si,tu es disponible ? MADO , (MADELEINE ,) ton choix sera le bon ! Quoique tu fasses et je,te,remercie pour ce temps accordé à la lecture de ces quelques lignes…..BIEN À TOI , Roge….
PS : en clin d’oeil ! 😉 et invitation : Essayons de participer (ensemble ) à une de ces réunions caravane ! Nous,pourrons alors commenter nos ressentis réciproques . ….Why ? Not ?.!!!!
Merci Roger de ses paroles édifiantes qui viennent de ton coeur et qui Vibre très fort en moi!!!!
Cette sincèrité que tu resents dans les délires de notre Frère et Ami Laurent fait que je le suis tout autant que toi ,encore qu’il est de ma génération et que ses expériences son souvant similaires au mienne…..
Quant à ma Soeur Mado,je ne peux que la souhaitais beaucoup de courage sur chemin.
Fraternellement dans la Lumière Jean Rwabuhungu
Bonjour à tous, effectivement comme tu le dis Laurent ,ce n’est vraiment pas facile et je dois reconnaitre que je suis complètement perdue .J’ai du rater un croisement et me voilà ne sachant plus où aller ! Du coup ,je tourne en rond et je stagne …..
Comment faire pour retrouver le bon chemin ? Ma petite voix me chuchote des tas de choses mais je ne comprends rien ,elle ne parle pas assez fort .
Bises à tous et bonne continuation
Tombe à point ! merci 😉
Bonjour à tous,
Cet article me brasse et je me sens découragée. Désolée Laurent… Bizarre tout de même juste le lendemain du dopage vibral…. ça fait beaucoup tout ça !
Allez, il faut tenir, ça vaut le coup.
J’attend la suite.
Mille mercis d’être là !
Mireille
eh !! un peu d’humour : je vais marcher là pour me défouler. 😉
Merci Laurent.
C’est comme regarder la montagne avant de la grimper… C’EST HAUT…
C’est pas là que sont les frites…
MAIS IL FAUT Y ALLER…
Enfin !!!! Merci Laurent
C’est vrAi on y est presque
Virginie
Amour inconditionnel.. joie ……. 😛
Merci Laurent , nous n’ avons pas fini !
Quel JEU étonnant ! Merci d’ éclairer de ton projecteur les marcheurs aux allumettes ❗ 💡
Énorme Gratitude à Laurent pour tout ce qu’il fait , quon l’aime ou pas , il est comme dans un commentaire que j’ai lu , amour , amical , et pour le bien de tous ., Bisous à tous les maîtres de lumière , n’oubliez pas l’alcool
est un médicament pour ascensionner qd on est mal , Dieu veut il qu’on ascensionne dans la.douleur ?
, n’oubliez pas l’alcool
est un médicament pour ascensionner qd on est mal ,( Dieu veut il qu’on ascensionne dans la.douleur ?) 😕 😕 😕
non mais toi peut-être… 💡
C vrai je parle en ma personne , ma petite voix me dit que oui c possible pour tout le monde lol
Préférer le sang du christ , ascensionner en jeûnant et à l’eau d’expérience est une très mauvaise idée , douloureuse pour les plus intoxiqués , Je bois et jascenscionne , la lumière est
là plus présente de jour en jour , ce qui ne veut rien dire aussi car on peut avoir la lumière et être au ras des paqrettes physiquement , mais là j’ai les deux , donc il me semble que je suis sur la bonne voix , ayant ascensionné une fois avec le prana mais physiquement hyperventilation comme le dit Laurent Dureau , je suppose avoir détoxiné totalement mais physiquement en carence …
Bref suivez votre guide , lui seul sait , moi il me dit boit !!!! mdr avec moderation biensur et avec la guidance de votre soi superieur bien entendu .
Bisous à tous
CE MATIN JUSTE AVANT DE LIRE TON ARTICLE LAURENT, JE REGARDE LE DESSOUS DE MA VOUTE PLANTAIRE , UN CORPS AU PIED DROIT, ET UNE PLAQUE ALLERGIQUE AU PIED GAUCHE .DEPUIS LA BASE, MES APPUIS N ONT PAS ETE FIABLES, J AI FAIT DES CHOIX QUI M ONT POUSSES A REGARDER PLUS A L’ INTERIEUR, A DES QUESTIONNEMENTS, DES REVOLUTIONS, DES LUTTES, DECOURAGEMENTS… UN PAS EN AVANT, DEUX EN ARRIERES, BREF, BEAUCOUP D’EMOTIONS PARASITES. MA FAMILLE A ETE DECIMEE SUR LA ROUTE, DEPUIS JE SUIS MASSEUSE , CAR A MON SENS IL EST ESSENTIEL DE PRENDRE SOIN DE L ETRE QUI HABITE
LECORPS.APPRENDRE A ETRE DOUX AVEC SOI MEME, S’AIMER , POUR AIMER L AUTRE. RESPECTER SES LIMITES, RALENTIR LE RYTHME , SE CENTRER POUR RESSENTIR A NOUVEAU LA FLUIDITE ET LA GRACE DES MOUVEMENTS ,EXERCICE DE VIGILENCE DANS LA CONFIANCE QUI.TRANSFORME, UN PAS CHAQUE JOUR….
J AI FAIT LE COMMENTAIRE CI DESSUS EN VOYANT LA VIDEO ,JE VIENS JUSTE DE DECOUVRIR LE TEXTE,QUI M’AMENE A FAIRE UN AUTRE COMMENTAIRE AU SUJET DE LA MOUCHE, J AIME BEAUCOUP L’ INSOUCIANCE DE LA MOUCHE, ELLE NE SAIT PAS, ELLE, ,QU’ ELLE VA SE PRENDRE LA TAPETTE OU SE COLLER LES PATTES, L’HUMAIN EVALUE LES RISQUES, » LA JE VAIS MARCHER DANS UNE MERDE! », L’EGO NOUS SERT A CELA NOUS DEVONS AFFRONTER DES ZONES D’ INCONFORT,LA PEUR A DIFFERENT DEGRES ET PRENDRE LES DECISIONS DANS LE CALME ET EN MOUVEMENT. ACTUELLEMENT J AI LA SENSATION D ETRE EN CONFLIT AVEC LE MOUVEMENT, D’OU UNE ALLERGIE SOUS LE PIED, JE REVISITE DONC MA FACON D AVANCER ACTUELLEMENT, ET LA BONNE NOUVELLE C EST QUE HIER UNE CLIENTE EN MASSAGE EST PODOLOGUE ET M A PROPOSE LES SOINS NECESSAIRES, LA PROVIDENCE!
MERCI LAURENT POUR TES PUBLICATIONS JUTEUSES.
Merci Laurent pour tout ce que tu fais pour l’humanité en générale et pour la tienne aussi, à fin de rendre plus lumineux le monde où nous vivons. Cordialement. G – Gabrièle