38 – L’espoir et le désir sont-ils nos amis ?

desirBien qu’ayant déjà abordé la question, il n’est pas inutile de rappeler quelques fondamentaux car, par les temps qui courent, et le yoyotage entre l’ancien monde qui n’arrête pas de se fragiliser et se morceler et le Nouveau Monde qui peine à devenir une évidence aux yeux de la majorité de l’humanité, nous perdons la mémoire régulièrement.

Force est donc de constater qu’à chaque fois que l’on goute à la 5D, il y a irrémédiablement une redescente en 4D voire carrément en 3D. C’est normal puisque les 2 mondes s’interpénètrent pour l’instant mais aussi, à chaque remontée fréquentielle, nous remontons inéluctablement les toiles d’araignées de l’enfermement voire les araignées elles-mêmes.

En effet, c’est à l’image d’une bestiole qui essaie de sortir de la cuve à fioul via le bouchon ouvert. Elle nage en plein fioul (la 3D), puis en grimpant sur les côtés lisses de la cuve elle arrive à approcher la sortie mais se prend quand même les émanations du fioul (la 4D).

Puis quand elle arrive à sortir du trou en se maintenant fébrilement sur le rebord (la 5D), elle pue non seulement le fioul mais de nombreux liens qui la maintient attachés à des poids morts encore dans le fioul feront en sorte que dès qu’elle relâchera son effort, elle se fera entrainée malgré elle de nouveau dans la cuve. Et plouf, de nouveau la voilà à rejouer au sous-marin dans une truc qu’elle supporte de moins en moins.

Hé oui, quand on baigne dans le fioul en permanence, on ne comprend pas pourquoi quelques individus ont cette envie notoire de se tirer de là. Ces derniers sont ceux et celles qui ont su suivre leur intuition et comprendre qu’il était temps de changer de monde vibratoire et que tout têtard est voué tôt ou tard à devenir grenouille puis grimper à l’échelle vibratoire et mettre le nez dehors pour voir le soleil directement et non plus un brouillard lumineux aux effluves mazoutées appelées Dieu (ou tout autre dénomination).

En effet, cette cuve à fioul contient l’ensemble de toutes nos expérimentations. Le fioul c’est du pétrole, de l’hydrocarbure et donc de l’eau associé avec du carbone. Notre corps est carbone dans sa structure et ne survie que grâce à l’eau qui l’alimente en information. Ainsi, par la putréfaction de nos expériences appelé « Karma », chacun d’entre nous baigne, nage et surnage dans sa propre marée noire tout en étant dans la cuve à fioul appelée Terre.

La partie liquide est la matière de ce bac à sable expérimentiel tandis que la partie gazeuse, les vapeurs, est ce qui est appelé « l’Âme ». La cuve elle-même s’appelle l’égo tout simplement. Or, pour entrer dans cette cuve, il a bien fallu y rentrer et c’est ce que nous avons fait en tant qu’Esprit en passant par l’ouverture prodigué par le Soleil.

Il n’y a jamais eu de bouchon mais des êtres attentionnés (et ne voulant pas que l’on sorte parce qu’ils ont besoin de fioul pour leurs propres besoins et qui sont appelés « les mauvais garçons ») ont placés un filtre grillagé afin de s’assurer que l’on tournerait en rond pendant l’éternité.

On peut dire que ces « méchants garçons » apprécient largement nos dégazages à l’image des bactéries qui par décomposition de ce qu’ils ont sous la dent permet un recyclage local. C’est ainsi que chaque Créateur incarné que nous sommes apprécie décomposer par ses émotions-passions et leurs pensées leurs propres créations ainsi que celles des autres.

Un pour tous et tous pour un dans la joie et la bonne humeur de la déconstruction, de la séparation de ce qui est. Après tout ne sommes-nous pas venus pour séparer ce qui était uni ? Bref, on a bien bossé au point que même avec les prélèvements des mauvais garçons, le niveau de fioul n’a jamais baissé puisqu’au contraire il n’a pas arrêté d’augmenter surtout depuis que la technologie s’est emparée du têtard remuant…

En effet, jamais il n’a été produit autant de gaz (à effet de serre ou non). Jamais autant la planète ne fut si agressée. Jamais il n’y a eu autant de guerres, autant d’animosité entre les ethnies et les peuples, entre les courants de pensées, entre les individus eux-mêmes et entre l’individu avec sa propre intériorité.

Bref, on comprend donc mieux la volonté de certains et certaines d’aller voir ailleurs ce qui se passe et donc d’entreprendre une tentative de sortie. Ils se dirigent donc vers la lumière forcément car, ils ont découvert qu’en allant vers le fond, ils trouvaient plus de saloperies qu’en surface. Aussi, au lieu de regarder vers le bas, ils regardent vers le haut.

Puis le marcheur, celui qui a entrepris le chemin vers la Lumière prend pour Lumière elle-même la coloration des vapeurs de fioul. Qui peut faire autrement ? Alors il se retrouve à respirer un air falsifié, des enseignements datant du moyen-âge pour ne pas dire d’avant l’ère du Poisson, du Taureau ou du Bélier car dans sa logique première il se dit que plus c’est vieux et plus il y a de chance qu’on soit moins loin de la vérité première… C’est pas faux mais c’est loin d’être juste à 100% puisqu’entre temps la décomposition fioulesque a fait ses bonnes œuvres.

Partant de là, il réussit quand même grâce à ses petites pattes naissantes de s’agripper tant bien que mal sur des surfaces disons plus accrocheuses que d’autres. Ainsi, pas après pas (et vie après vie), le têtard-marcheur réussit à se hisser à une hauteur raisonnable pour commencer à construire une sorte d’échelle grâce à tous les débris qui flottaient en surface.

Cette échelle, fait de bric et de brac (ou de briques et de braques – de braquage), d’enseignements tous azimut collés tant bien que mal en fonction des contorsions sociales temporelles et des compréhensions du moment  a pu faire comme des excroissances qui apparaissent sur les parois de la cuve au niveau de la ligne de flottaison.

Ces excroissances sont solidement ancrées dans notre inconscient et c’est là-dessus que notre échelle d’élévation vibratoire (qui fait prendre de la hauteur) se construit. Ainsi, bout de déchet  par bout de déchet flottant et passant à portée de main, on assemble un truc qui a pour fonction d’être une échelle dite de Jacob dans certaines traditions…

Il y a en même qui croient se faire la cavale en utilisant une échelle en forme de ce qu’ils appellent « l’arbre de vie ». Comme vous pouvez le constater sa base est instable puisque posée sur la Terre avec juste au-dessus la Lune. Bref, de la cavale on est passé à la cabale pour finalement se retrouver en cabane.

En gros et dit autrement, c’est un piège à têtard rampant qui ne deviendra pas grenouille malgré toutes ses prières. Aussi, une fois que vous aurez passé suffisamment de vie pour l’éviter dans une prochaine autre incarnation, il faudra néanmoins continuer à grimper laborieusement vers la source de Lumière.

Etant en plein passage à l’ère du Verseau (le verse eau), le remplisseur découvrit pourquoi aucune grenouille n’était sortie à part une il y a 2.000 ans. C’est ainsi que le 18 janvier 2014, le grillage posé par les mauvais garçons fut enlevé. Même le soleil fut débarrassé du voile qui l’entourait. La Lumière devint donc plus lumineuse et secundo fut aussi moins amoindrie puisque la grille du bouchon n’était plus là.

Ce fut donc un grand jour sauf pour ceux et celles qui continuaient à barboter dans le fond de la cuve à fioul. Cependant pour les grimpeurs-marcheurs, le signal fut clair et de nombreux têtards se virent pousser des pattes grâce à une lumière plus intense. D’abord nombre d’entre eux prirent cela comme un dérèglement hormonal ou ADNique et vinrent donc se renseigner sur la toile qui pendouille dans presque toutes les cuves existantes.

Beaucoup furent pris dans des déluges de faux-prophètes et de marchands du temple mais néanmoins un nombre suffisant arrivèrent à discerner le vrai du faux, le vrai du clinquant, le vrai du lumineux falsifié. Ainsi cela commença à donner comme des mini troupeaux qui suivirent selon les cas certains ouvreurs de chemin plutôt que d’autres.

Bref, tous le monde ascensionnait, prenait de la hauteur et voyaient de plus en plus dans quoi ils baignaient depuis fort longtemps. Ils étaient tous animés d’espoir, et le désir de bien faire leur collait tant à la peau que même le cœur en était étreint au point de ne plus pouvoir battre. Il y eut donc quelques syncopes et quelques uns retombèrent dans ce liquide qui les portaient.

En effet, quand on nage dans un liquide ça demande moins d’effort que lorsque l’on est pas dedans… Ainsi ceux et celles qui en avaient marre soit de faire des efforts soit qui râlaient parce que la sortie était trop loin et qu’il fallait encore et encore marcher-grimper trouvèrent mille excuses pour retourner faire la planche ou le sous-marin…

Alors pourquoi le remplisseur vint rajouter de l’eau dans la cuve ? C’est parce que c’était tout simplement l’heure car je vous rappelle qu’avant c’était l’ère des Poissons et il faut bien mettre de la nouvelle eau dans l’aquarium de temps en temps, n’est-ce pas ? Ainsi les têtards nageant comme des poissons pouvaient continuer dans un hydro-carbure plus fluidifié car avec le temps et les vapeurs, l’eau de la Vie commençait à manquer un peu.

La plan du Créateur est parfait car chaque têtard a pour objectif de devenir une grenouille sautant et croassant sur la cuve de 3D4D en se disant qu’il fait beau dehors, que c’est lumineux et surtout que l’on se sent léger comme si la pesanteur avait été divisé par 3 ou 4 ou plus. Mais bon, qui aura compris qu’il nous faut changer de structure corporelle pour pouvoir sauter de joie dans le Ciel ?

Qui est prêt à abandonner la nageoire du poisson-têtard à celles de cuisses-ressort filiformes ? On comprend qu’il faut du silicé sinon les cuissettes vont manquer de rigidité, n’est-ce pas ? Alors qu’est-ce qui fait que les apprentis grenouilles se retrouvent constamment en train de retomber dans la 3D et que cela leur demandera de nouveau à faire des efforts pas possible pour s’en arracher ? La réponse est simple, comme d’hab, et pourtant nous l’oublions bien trop souvent…

C’est le poids de notre inconscient et des multiples règles qui y sont inscrites. « Fait pas ceci, fait pas cela ! » et les « C’est comme ci et pas comme ça ». « On a toujours fait comme ça ! ». « Ça n’existe pas ! T’es folle ! T’es barjo et c’est qui qui te mets ça dans la tête ? ». « C’est un démon. C’est un fou. Il est aux ordres de Lucifer ou Belzébuth », etc…

Mais il y a aussi ceux qui font encore plus de dégâts bien qu’il n’y paraissent pas : « Tant qu’il y a de l’espoir, il y a de la vie. », « Fais-toi plaisir parce que lorsque tu seras mort ça sera trop tard ». « Si tu t’adresses à Dieu alors soit sérieux parce que sinon t’es mal barré », etc…

Je sais que cela va vous surprendre mais analysons de plus près ce qui semble à priori des règles très lumineuses surtout quand on fricote avec la couche en fond de cuve…

Tant qu’il y a de l’espoir, il y a de la vie. Derrière cette affirmation absolument vitale quand vous touchez le fond (celui de la 3D) devient un poison violent au contact de la surface (la 4D). En effet, il y a dans cette phrase 2 contresens qui bien sûr ne sautent pas aux yeux de suite sinon personne ne la répèterai autant de fois. Il y a le mot espoir et le mot vie.

Le mot espoir est un puissant stimulant surtout quand on est au bord du claquage. Il est donc bon de l’utiliser dans les cas extrêmes mais si vous êtes en surface voire en train de grimper sur la paroi de la cuve, il devient un explosif violent. En effet, l’espoir ne nait que si il y a manque.

Ainsi à chaque fois que vous espérez ou que vous avez de l’espoir vous affirmez haut et fort que vous êtes dans le manque et que donc votre faux-égo utilise votre pouvoir Créateur contre vous-même. Aussi quand vous êtes en 4D (toujours dans la cuve mais dans sa partie gazeuse), vous ne faites alors que vous plomber encore plus afin de retomber dans la soupe du faux-égo.

En effet, quand on est dans le fond de la cuve, vous êtes à ce moment-là dans la séparation la plus grande car le plus éloigné de la Lumière. Il est donc normal que votre faux-égo vous ramène vers le haut sinon vous allez claquer et donc ne produirez plus de gaz (des émotions), ne remuerez plus du tout (les actes) et des neurones (les pensées) dont les mauvais garçons se nourrissent.

Cette phrase est donc un stimulateur comme l’est le café pour les travailleurs. Alors si tu désires ne plus travailler, il faut commencer par ne plus prendre de café afin que tu découvres que ton corps est en train de muer vers la grenouille et que pour cela il a besoin qu’on le laisse faire son job en arrêtant de le droguer.

Puis le second point est celui de la Vie. Or qui dit que c’est la Vie quand on est des morts c’est-à-dire déconnecté de la véritable lumière de Vie ? En effet, ce que le têtard pense être la Vie n’est en fait que la mort puisque sa propre mission est la séparation depuis 320.000 ans .Car, savez-vous peu savent que le jeu est fini et qu’il faut remonter à la surface…

Ainsi quand on associe l’espoir et la Vie dans cette phrase, on constate simplement qu’il y a association entre un manque (la non providence) et la mort (la non-vie puisque séparation). Or comme la non-vie est la séparation d’avec La Source et donc un manque, on comprend que cette phrase-citation-proverbe est bien un endoctrinement involuant pour involuants.

Je suis conscient que cela va vous choquer de réaliser cela mais il faut bien que quelqu’un vous démontre comment las mauvais garçons ont fait pour vous entrainer à bosser pour eux et cela même quand vous êtes à bout et que vous en avez marre d’être esclave.

Vous savez, ils sont très forts et si vous croyez qu’avec quelques emplettes sur internet vous allez démêler tout ça et vous affranchir d’eux c’est comme croire que votre pouvoir de cocréateur est suffisamment fort pour détruire la cuve à fioul elle-même. Or qu’est-ce là sinon l’orgueil du faux-égo qui vous fait croire qu’il est plus fort que tout ?

Vous voyez, comme on dit, notre faux-petit-égo nous les tient bien et même très très bien… Alors maintenant passons à la seconde phrase qui compte sans exception toutes les humbles créatures que nous sommes et avons été dans ses filets.

Fais-toi plaisir parce que lorsque tu seras mort ça sera trop tard. Là encore, ça pue la tentation à mort puisque justement c’est fait pour pourrir toutes tes bonnes intentions envers la Lumière. Dit autrement, c’est le faux-égo qui te susurre que si tu veux profiter de la Vie, c’est maintenant et pas plus tard. Ainsi dans l’apparence, c’est logique et ça clame dur et fort que c’est bien dans ton instant présent qu’il faut en profiter sinon tu coures le risque de ne jamais revoir cette opportunité se reproduire.

Ainsi, en bon vivant, tu vis or comme nous savons que nous sommes des morts pensant vivre, tu t’enterres encore plus. En d’autres termes, tu deviens ton propre compost (tu te sépares de plus en plus de ta véritable lumière) mais qu’en plus tu donnes à bouffer aux autres tout en leur permettant de te rassurer puisqu’ils font comme toi.

Là où il y a désir, il y a forcément un manque qui s’exprime. Regardez bien cela voire arrêtez-vous de lire pour bien le réaliser. Un désir est une projection de manque, une envie de votre faux-égo qui s’agite comme un drapeau sous votre nez. Certes vous pouvez toujours discutailler à en perdre haleine mais cela ne changera pas ce fait.

Allez donc voir, pendant que l’on y est, du côté du mot plaisir et vous verrez là encore le piège de ce mot. Sinon regardons aussi du « lorsque tu seras mort ça sera trop tard » et vous comprendrez que cela indique bien que vous êtes identifié à votre corps physique. En d’autres termes, c’est encore le faux-égo qui est derrière.

En résumé cette seconde phrase assez courante (normal puisque c’est celle de la tentation) indique doublement que c’est votre faux-égo qui parle. Aussi chaque fois que vous répondez par l’affirmative, vous vous enfoncez encore plus dans la cuve à fioul.

Aussi si vous la suivez souvent en cette vie, vous arriverez tôt ou tard en fond de cuve où là le premier slogan viendra vous redonnez un coup de booster afin que le jeu continue… Par contre, si tu as vu le piège des deux phrases qui tuent, il y a cette dernière qui t’attend :

Si tu t’adresses à Dieu alors soit sérieux parce que sinon t’es mal barré. Certes, c’est tourné à la Laurent DUREAU mais il faut en comprendre l’essence. En effet, dans toutes nos tentatives pour aller vers la Lumière (et donc à l’opposé du fond de la cuve), il faut un minima être sérieux, n’est-ce pas ?

En effet, sauvez son âme reste une affaire trop importante pour qu’elle soit laissée aux mains des ignorants. Ainsi des institutions se sont mises en place afin de vous guider là où effectivement les mauvais garçons veulent vous emmener car c’est justement le gaz qu’ils veulent pour survivre mais ça il ne faut pas le dire.

Ainsi quand les écritures disent qu’il faut être un enfant pour entrer dans le royaume, cela va carrément à l’opposé du sérieux car des enfants (je parle globalement des moins de 7 ans) sont tout sauf des personnes sérieuses. Aussi là où vous devriez être le cœur léger et spontané, on vous invite clairement à serrer les fesses, avaler des couleuvres et obéir stoïquement à des contresens évidents.

Cela est fait grâce à un outil super logique qui comme pas hasard est infoutu d’aller plus loin que la lettre elle-même. Dit autrement, le mental prend tout au premier niveau car justement avec le temps et l’éducation distillé par les institutions qui ont prises les choses en main, les mauvais garçons ont tout fait pour qu’il ne mouline pas plus loin c’est-à-dire qu’il ne comprenne pas l’esprit de la lettre et qu’il regarde seulement le contour de la lettre.

Ainsi naquit de nombreux docteurs de la loi qui pinaillent sur la virgule ou le point virgule sans même comprendre le sens même de la phrase. On te fais chier sur des détails afin que justement tu ne puisses voir l’essentiel. Or qu’est-ce que la 3D sinon une somme incommensurables de détails emmerdants afin que tu ne te rendes compte que tu viens de passer ta vie à autre chose que celle qui était prévue pour toi.

Certains s’en rendent compte quand ils arrivent à la retraite tandis que d’autres n’y verront rien jusqu’à la tombe… Alors comprends bien, mon ami, mon frère, que si t’es pas sérieux le méchant Dieu va t’en faire voir des vertes et des pas mûres et c’est normal puisque ce Dieu n’est que le fantoche inventé par les mauvais garçons eux-mêmes.

Il est donc normal que lorsque un esclave lève le nez et cherche à savoir ce qui se passe dans le ciel, on le traite de fainéant et qu’on lui refile quelques coups de fouet afin qu’il rebaisse la tête, se courbe face à la terre et ne montre qu’une paire de fesse à ceux qui le regarde de haut. Or, il est aussi dit que lorsque l’on a le derrière plus haut que la tête, ça sent pas bon du tout pour la suite…

Bien, je me suis un peu laissé emporter par l’écriture mais comprenez que ce que l’on nous fait prendre pour des vérités sont effectivement des vérités mais pour les mauvais garçons. Alors au lieu de suivre bêtement ce que vous pensez sincèrement vrai, prenez du recul et regardez combien ce que nous croyons nôtre n’est en fait que du formatage fait pour abuser de notre puissance en tant que créateur incarné.

La question est donc : Qui es-tu vraiment mon frère ? Es-tu un automate biologique programmé prêt à donner ta vie pour sauver ce que tu n’es pas en vérité ou es-tu un fils de l’UN ayant la ferme intention de regarder à deux fois avant d’insuffler ton verbe créateur dans ce que croit être la vérité.

Souvent le silence est d’or car, comme nous l’avons tous appris, il y a bien des fois on aurait dû fermer son clapet et bien des ennuis nous auraient été évités et la cuve à fioul aurait moins fermenté. Cependant, pour les quelques agitateurs qui disent la vraie vérité, leur sort est déjà réglé d’avance puisque la meute, le peuple, les moutons obéissant leur feront la peau d’une manière ou d’une autre. Généralement ça commence par les mots et puis ça finit par les mains quand l’argumentation reste inopérante..

Mon ami, mon frère, si ce que tu dis n’effraie personne alors prend conscience que ce que tu dis n’est qu’un béê-elle-ment et qu’il y a forcément anguille sous roche. Si tu n’as pas l’humilité suffisante pour comprendre que ce que tu penses n’est que l’expression d’un inconscient trafiqué depuis des millénaires alors comment veux-tu pouvoir sortir de la cuve à fioul alors que tout tes actes, paroles et actions ne seront l’expression que de l’hydrocarbure qui n’en finit pas de dégazer….

Laurent DUREAU

3 Comments

  1. Etre un enfant pour entrer dans le royaume de Dieu, c’est pas à prendre au pied de la lettre non plus: c’est une manière de dire, d’être spontané et sincère , et que justement si vous n’êtes pas ainsi, que vous ressemblez davantage à un croassement cynique, c’est qu’il y a un problème. Et que vivre dans la peur, n’est pas normal et que d’ETRE, c’est incarné la vérité.
    Ce qui est à comprendre, c’est qu’il est fondamental de se défaire de ce système, c’est la raison pour laquelle il disait « Suis-moi et laisse les morts ensevelir les morts » car on suit Dieu ou Mammon et comme les mauvais garçons nous font suivre Mammon, on va vers la tombe.
    Oui le royaume de Dieu est en vous.

  2. Sacrée leçon d’humilité pour moi ! Plutôt que penser sans arrêt « non je ne suis pas un mouton qui bêle et pense comme les autres », ben si, en fait, je suis le même mouton que les autres…

    Mon faux petit ego s’ingénie à me faire croire le contraire en me persuadant que « non, je ne suis pas comme les autres » et c’est là qu’il est très fort car il me maintient dans une douce ignorance et dans l’illusion complète…Très dur de se défaire d’un ego qui se croit supérieur !

    Alors merci Laurent, ça fait du bien de se faire remettre les points sur les i (je parle pour moi) 😳 🙂

  3. 😉 ton article fout des baffes et épluche les pommes de terre d’ego …

    ( se courbe face à la terre et ne montre qu’une paire de fesse à ceux qui le regarde de haut. Or, il est aussi dit que lorsque l’on a le derrière plus haut que la tête, ça sent pas bon du tout pour la suite…) 😆 😆 😆 😆 😆

Comments are closed.