Comme le numéro de l’article l’indique (1, 2, 3 et hop on saute), il semblerait que je parte vers une nouvelle série d’article-vidéo qui a pour objectif de vous faire prendre conscience du véritable fonctionnement de l’être humain, non pas en vous sortant des bouquins de psychologie mais tout simplement en partant d’un aspect qui va faire tousser beaucoup de spécialistes.
En effet, il est courant que dans le monde de 3D falsifiée, on nous bassine avec des théories qui font force de loi grâce au nombre d’individus qui gagnent leur pain avec lesdites théories. Dit autrement, va dire à un toubib qu’il n’a rien compris à l’affaire malgré ses longues années d’études et ses très très longues années de petit vendeur efficace à la solde de big pharma.
Dire qu’un toubib est un dealer de drogues légales peut effectivement, choquer mais c’est malheureusement la triste réalité. La preuve est qu’aussi, il est rarement dans la misère matérielle tant il se goinfre au passage selon des barêmes (ça déculpabilise…). Certes, il existe des gens dévoués et sincères, tout comme des chirurgiens et des anesthésistes qui gagnent des fortunes sous le prétexte qu’ils ont fait de très très longues études ou qu’ils prennent des risques…
On comprend donc que derrière une étiquette d’aide à son prochain, le petit égo bat son plein afin de tirer autant les sous que les honneurs, tout en s’excusant d’être pris dans les filets de la mafia pharmaceutique qu’ils ne peuvent éviter sous peine de se voir radier de l’ordre des ceci ou cela.
Certes, par les temps qui courent, énergie aidant, de plus en plus de ces individus commencent à oser à aller voir ailleurs (c’est-à-dire des médecines alternatives) car la populace commence à prendre conscience qu’ils étaient des cobayes afin de faire tourner un business qui, forcément, les plumait au maximum.
Hé oui, d’un côté on les soigne en surface afin qu’ils continuent à revenir à la boutique (sinon les hôpitaux seraient vides tout autant que les pharmacies) et d’un autre, on les ponctionne à fond sur leur salaire afin de payer des caisses d’assurances maladies obligatoires (les mutuelles étant pour ceux qui peuvent faire des rallonges financières).
Ainsi les récentes campagnes de vaccinations forcées à travers le monde, et dont on sait les désastres surtout au niveau des enfants, démontrent que ceux qui pondent les lois sont totalement assujettis à big pharma. Bref, en résumé, ce qui était caché à la vue du péquin moyen est en train de s’afficher ouvertement, amenant ainsi quelques sommités médicales à tourner leur veste afin de surfer dans le sens du courant.
Les médecines alternatives prennent donc de l’ampleur sauf que… Sauf qu’elles sont elles-mêmes intoxiquées, à l’image des religions traditionnelles qui ont vu débarquer la vague New-Age. Dit autrement, même la solution alternative qui parait meilleure est devenue un business en soi.
C’est ainsi que beaucoup d’individus s’auto-proclament thérapeutes. Certes, ils ont des vues nettement plus ouvertes que les toubibs accrédités par l’ordre des médecins mais le hic, c’est que justement il n’y a pas vraiment “d’ordre” puisque chacun joue de son violon afin de faire la différence d’avec les autres (l’aspect concurrence), tandis que d’autres ont compris qu’il fallait se regrouper afin d’avoir un certain poids sur la marché.
On voit donc des thérapeutes accrédités ceci ou cela en nous faisant bien comprendre que c’est la meilleure école du monde et que c’est donc la vérité. D’ailleurs, bien souvent, ceux qui ont lancé ces mouvements sont eux-mêmes des “Docteurs” de l’ancien ordre. En gros, ils s’appuient sur leur titre pour justement donner du poids à leurs trouvailles.
Cependant, si vous prenez du recul, vous verrez que le processus “d’entubage” est strictement identique. C’est juste que le papier publicitaire présenté a été remodelé en fonction de la nouvelle grille de lecture des “con-sommateurs”. Normal, un mouton reste un mouton, et que voulez-vous face à cela tant les programmes involutifs sont bien ancrés dans la psyché humaine.
Aussi, et c’est là que je savoure la dialectique de ces nouveaux venus de l’ère du Verseau, ils ont un vocabulaire extrêmement châtié, développé, subtil et surtout convaincant. Bref, ils se sont adaptés et ont surtout appris à se donner des titres super ronflants au point que ça impressionne vraiment.
D’ailleurs, j’ai remarqué qu’il faut marquer dans ses prospectus qu’il est super bien de mentionner que ledit personnage fait des conférences et qu’en plus il joue à l’international. C’est dingue de voir les mêmes astuces répétées en long et large et en travers, mais cela n’empêche pas les moutons d’y croire à fond.
Le marché des thérapeutes est donc en plein essor, puisque l’ancien système commence à subir les dommages causés par leur propre incompétence dû à leur enfermement conceptuel. Cependant, ces mêmes thérapeutes ne font que réitérer la même manière d’agir, bien que le costume enfilé soit très différent de la blouse blanche de l’immaculé qui se prend pour Dieu…
En d’autres termes, les loups ont muté et les agneaux sont préférés aux moutons. La viande est plus fraiche, plus malléable et surtout plus propice à un nouvel endoctrinement qui rompt avec l’ancien, le ringard, le démodé et surtout le virolé.
Je vais donc, dans cette nouvelle série, vous apporter de nouvelles notions qui vont pour la plupart non pas rejeter l’existant et affirmer que c’est de la merde mais plutôt pour les englober et vous démontrer qu’ils possédaient bien une vérité mais qu’ils étaient enrobés de concepts erronés, à l’image du travail de falsification fait par nos chers “mauvais garçons”.
Pour ce faire, je vais donc m’appuyer sur les briques de compréhension que vous avez reçues à travers mes différents articles. Je vais réutiliser mes dessins, mes cubes, mes tores afin de pouvoir maintenant vous faire comprendre les véritables rouages du fonctionnement de l’être humain. C’est sûr que nombre de thérapeutes vont sursauter, à l’image de quelques astrologues qui d’un revers de main m’envoient balader dans les matitis. C’est normal puisque c’est un réflexe de protection.
En effet, qui aime que l’on remette ses vérités en cause, surtout quand ça frappe là où ça fait mal ? Véritablement personne, moi le premier. C’est ainsi que, souvent, lors de la découverte d’une nouvelle information, surtout à travers un individu, j’ai plutôt tendance à envoyer tout ça dans les cordes et à étiqueter “c’est de la merde”.
Cependant, dans un second temps, à ma vitesse, je reconsidère la chose calmement. Je regarde en quoi cette information m’a dérangé. Et c’est là souvent que je découvre qu’un petit programme involutif inconscient a été utilisé par mon mental-égo afin que, justement, je ne remette pas en cause son pouvoir.
En effet, c’est impressionnant de voir combien nous sommes des êtres réactifs, des automates en pleine 3D (et donc en survie permanente) mais surtout ô combien nous croyons que cela est fait de notre propre chef. En vérité, nous avons obéi à un programme qui se révèle comme un réflexe.
C’est à l’image des films hollywoodiens où systématiquement tu as des nanas qui se mettent à hurler comme des folles dès que quelque chose d’inconnu se présente à elles, alors que nous savons tous que faire ça nuit considérablement à la capacité de regarder la chose droit dans les yeux et de trouver une solution efficace rapidement.
Hé bien là, c’est la même chose. Quand on se sent attaqué quelque part, c’est plus fort que nous, on réagit comme l’ours des cavernes qui croit qu’avec un coup de massue il va casser l’invasion de fourmis qui viennent pour choper les restes de son casse-croute, si ce n’est pas le casse-croute lui-même !
Bref, à la moindre agression présumée par notre mental-égo, on devient de bonnes grosses brutes qui envoient dans les cordes (parce que l’on est sur un ring), sauf que lorsque c’est un individu qui cause dans une vidéo sur YouTube, vous savez pertinemment que ça sert à rien de casser l’écran puisqu’il vous faudra d’abord en racheter un et ensuite, que cela n’arrêtera nullement l’individu de continuer ses délires.
C’est ainsi qu’un certain nombre de cro-magnon pensent qu’en insultant l’auteur via les commentaires, cela fera en sorte que celui-ci pétera un câble au point de ne plus rien dire. En gros, le cro-magnon espère qu’en l’insultant, ce dernier périra sous leurs coups d’intelligence car eux seuls savent où est la vérité.
Certes, l’insulte est souvent dissimulée sous un vocable non grossier (car on sait que le grossier ne marche pas vraiment avec ceux qui ont des neurones), alors on y va à coups de “je te caresse dans le sens du poil” tout en omettant de te dire que c’est un rasoir et que l’on est en train de te faire une coupe…
Enfin, tout ça pour dire que l’on est tous branché en mode défense par défaut, et que même quand on se sent ouvert, en fait, on ne l’est pas complètement. Ainsi, fort de cette connaissance personnelle, je sais que plus je rejette fort quelque chose, et plus cela veut dire que ça tape dans le mille, d’où ma propension à y revenir plus tard et en douceur.
Hé oui, c’est ainsi que je préfère largement lire un livre plutôt que de regarder une vidéo avec un personnage humain de visu. Le livre (ou l’écrit) je peux l’ouvrir et le fermer à volonté, surligner, prendre le temps de prendre du recul, etc, alors qu’avec une vidéo d’autres informations corporelles (attitudes, mouvements, tête du causeur, etc…) ainsi que la voix, les fringues, l’ambiance locale, etc.. viennent perturber l’information donnée.
Ainsi, quand je lis un texte, je sais de suite si c’est une bouille sortie tout droit d’un cerveau 3D ou si cela provient d’une dimension supérieure. Mon cœur me le dit via une vibration. Aussi quand la vibration n’est pas là, je sais qu’il me faut prendre l’information avec encore plus de recul, quitte à tout benner dès que je sens que la coupe est pleine et cela, quelle que soit l’épaisseur du bouquin et de la renommée de l’auteur.
Je vous dis tout cela afin que vous compreniez que je suis un type, un mâle, comme il en existe quelques milliards sur la planète, et que je ne possède pas de pouvoirs particuliers sinon celui d’être à l’écoute de ce qui se passe, autant dans mon corps physique que dans mon mental. Disons que je suis un bon observateur de mes ressentis et de mes intuitions et que j’accepte de suivre les impulsions de ce truc que j’appelle ma petite voix.
Ainsi quand mon corps dit nada ou que mon mental-égo s’énerve, je prends du recul (pas forcément de suite car des fois je suis un peu lourd, d’où des dérapages dont je ne vais pas me vanter) mais, au final, je remets ça sur la table d’une manière ou d’une autre. C’est ainsi qu’au fil des années, j’ai pu découvrir des programmes comportementaux (comporte-mentaux ou con porte-manteau) qui n’avaient plus rien à faire chez moi.
Bref, une basique découverte de soi à travers mon quotidien, tout bonnement. Aussi, de fil en aiguille, tu détricotes les beaux pulls fabriqués par l’Education Nationale mais aussi les sous-vêtements involutifs qui te collent à la peau. Alors quand ton slip est en pure laine vierge du Shetland, ça te les gratte grave. Si c’est en coton, c’est moins dérangeant mais ça garde quand même les traces et les odeurs. Et quand c’est en soie, c’est jouissif et là, tu tombes dans les péchés capitaux…
En effet, un slip reste un slip et, à ce que je sache, on ne nait pas avec… Dit autrement, il faut remettre en cause tôt ou tard le fait de porter un slip, un maillot, un pantalon, un pull, etc… Certes, vous me direz que c’est pour le froid, le look (alors pourquoi les slips de bain quand il fait chaud ?) et bien d’autres choses, mais sachez que ce qui est à l’extérieur n’est que l’expression de ce qui est dedans.
Dit autrement, dans le principe de l’Ascension, de la montée en fréquence et donc un changement dimensionnel, il va falloir se déshabiller intérieurement. Ainsi autant il est facile de se défringuer dehors, autant dedans c’est une autre affaire. On commence donc généralement dehors et ça demande des efforts. Ça me rappelle combien ça m’a couté pour devenir naturiste à une époque donnée, car j’avais des réactions physiques “normales” mais extrêmement dérangeantes pour l’entourage et totalement dérangeantes pour mon impuissance à ne pas pouvoir la maîtriser…
J’ai donc été obligé d’aller voir pourquoi, chez les autres, tout était calme tandis que chez moi c’était plutôt la rumba. J’ai donc été voir ce qui était à l’origine de tout ça et j’ai désactivé les programmes “automatiques”, tout en voyant sur quels leviers ils jouaient pour me manipuler.
Cela a été comme une pelote de laine à dérouler et cela ne s’est pas fait en une journée. C’est ainsi que, malgré plusieurs décennies de travail intérieur, je me suis vu stoppé dans ma progression vibratoire cette année. En effet, il n’y avait plus de pelote de laine où je pouvais choper un bout de fil. C’était super, sauf que j’étais loin encore d’avoir fait le ménage suffisant pour continuer mon élévation fréquentielle.
En effet, mes guides, depuis les 6 derniers mois, essayaient de me faire comprendre qu’ils ne pouvaient plus rien faire pour moi, car des blocages profonds interdisaient toute avancée significative. Certes, sur le plan matière (le moteur de la Terre), le fait de boire une eau super nettoyeuse a réussi à déployer notre véhicule de Lumière d’une manière incroyable, mais sur le plan du moteur du Ciel, on était (Corinne et moi) très en deçà.
Certes, on comprenait que notre compréhension “philosophique” soit en retard (puisque ce n’est pas aussi mécanique que de boire de l’eau osmosée-encodée), mais on se demandait qu’est-ce que l’on pouvait y faire malgré notre ouverture totale à tous leurs enseignements… D’une certaine manière, on est arrivé à être coincé dans notre progression sans savoir en quoi nous pouvions agir pour débloquer la situation.
Aussi, en reprenant mon cas personnel, bien qu’étant à poil intérieurement (plus aucun vêtement à retirer, plus aucun tricot à détricoter), j’en étais arrivé à une impasse, tout simplement. C’est alors que notre guide principal en chef nous a annoncé qu’ils allaient mettre en œuvre un programme scolaire spécifique pour débloquer la situation.
En effet, n’ayant plus de fil de laine à tirer, ils m’ont fait comprendre qu’il restait encore un vêtement sur moi, à l’image de la grille d’une moustiquaire. C’est parce que les fils qui la composent sont trop fins, que je ne pouvais pas la détricoter avec mes gros doigts, c’est-à-dire avec les conceptions qui m’habitent actuellement.
C’est ainsi que cette semaine, Corinne et moi avons reçu notre premier cours mais aussi des exercices à faire, car je rappelle que c’est par l’expérimentation physique que nous pouvons prendre réellement conscience, bien que la compréhension non physique (la mentale) puisse aider mais cela n’est pas nécessaire, quand bien même des fois elle est un frein total (les mauvais garçons savent bien y faire à ce niveau).
En effet, combien d’entre vous sont convaincus qu’il faut d’abord comprendre quelque chose pour le vivre ? “Je veux savoir, je veux comprendre et après je saurai faire car je suis un grand et je sais que je peux le faire !!!”. C’est beau, c’est grand et ça semble une vérité incontournable, sauf que ça pue le mental-égo à plein nez…
Rappelez-vous, la 3D c’est du mental, c’est du “faire”, c’est de l’action, c’est du “je veux”. Alors dites-moi s’il vous a fallu savoir, apprendre et comprendre, suivre un processus et vouloir passer à l’action par un acte de volonté pour tomber amoureux ? En est-il de même quand vous savourez un bon plat ? Pensez-vous qu’il faille savoir comment fonctionnent votre odorat, vos papilles gustatives et comment le cuistot s’y est pris pour faire sa tambouille ?
Non, vous avez gouté, vous avez vibré et ensuite vous avez savouré, parce que vous saviez vibratoirement que c’était bon pour vous (même si derrière ça vous flingue la santé…). Mais, avant de pouvoir gouter, il vous a fallu vous mettre à table et passer commande pour une surprise du chef. Voilà donc ce que je vous propose dans l’immédiat.
La dernière fois, j’étais au bar mais là, je vous propose de passer à table. Je vais donc, dans les délires à venir, vous amener le menu sans oublier la carte des vins, tout en sachant que la carte des desserts viendra en son temps et pas avant. En effet, ne rêvez pas de basculer votre invitée (la résurrection) avant d’avoir pris des forces et d’avoir causaillé un peu avant.
Hé oui, la résurrection est désirée et, de ce fait, invitée au restaurant de l’Ascension mais pour ce faire, il faut bien un galant qui l’invite, un galant joyeux et avenant, un galant patient et communicatif qui saura vivre son êtreté en plein instant présent sous l’œil amusé du restaurateur (nos guides) qui savent de quoi il en retourne exactement.
Cependant, comme tout humain, nous savons tous qu’un minima de défringuage est nécessaire pour passer à l’acte. D’ailleurs, à ce propos, pour gagner du temps, je vous propose directement la méthode pour se faire inviter dans un resto nudiste. Ainsi, il ne vous restera plus qu’un déshabillage intérieur à faire afin de pouvoir vous offrir à celle qui vous a toujours fait rêver et qui n’est que l’essence de ce que vous êtes.
Hé oui, la résurrection n’est que la retrouvaille avec votre essence pure et rien d’autre. Mais, pour ce faire, il faut vraiment avoir abandonné la moindre parcelle de mental-égo, de personnalité humaine, de notion de passé et de futur, car de l’autre côté tout cela n’est que fringues d’expérimentation et donc de séparation.
Laurent DUREAU
Nota Bene : La résurrection ne peut se faire que si vous êtes dans un corps physique. Je dis ça pour les évanescent(e)s car il ne peut y avoir fusion entre une anti-matière avec une anti-matière (ce ne sont que des retrouvailles) tout comme la matière avec la matière.
Mais pas contre, il y a effectivement fusion entre une matière et une anti-matière, car entre les deux il y a une conscience. Cette fusion n’est en fait que de mettre en pleine conscience (les yeux ouverts et le mental galopant) la matière en totale résonance avec la vibration de l’anti-matière, car ils sont à ce moment-là sur la même longueur d’onde. On peut parler alors de fusion et non plus seulement de complémentarité.
Synchronicité!
Laurent, je suis tes délires depuis quelques temps. Ton discours me parle,tout au moins mon cœur reconnait ton discours même si ma tête à un peu plus de mal..
Cette nuit, j’ai rêvé que l’on me guidait afin d’escalader une paroi abrupte. Une personne m’expliquait où mettre chaque attaches, comment positionner la corde…C’est d’un banal mais au réveil la joie de cet apprentissage était encore là. La joie d’être guidée, accompagnée. J’étais en pleine gratitude. Merci.merci d’avoir mis cette personne sur ma route qui me montre tous les écueils les trucs, qui m’accompagne ,me guide . Le ressenti était clair et le souvenir aussi ( ce qui est rare pour ma part pour un rêve) et je ne savais pas quoi faire de ce ressenti. Et ton article arrive…
Merci , merci d’être là…Cela est difficile de mettre tout cela en mots (car ceux ci sont réducteurs ) mais après la lecture de ton article j’ai su que ce maitre alpiniste était toi qui me guidait,qui m’aidait à atteindre des hauteurs.
Tout ceci aura eu au moins le mérite que j’ose me manifester, de me faire prendre la plume.
Merci « vie » pour ton partage.
Il me vient à l’esprit que le « maître alpiniste » c’est toi (« vie »).
Notre psychisme, le plus souvent, donne une forme étrangère à une partie de nous même.
Ainsi ce « maître alpiniste » que tu identifies comme étant « Laurent » pourrait n’être qu’une partie de toi-même que tu as re-connectée.
Cela dit ce « maître alpiniste » nommée Laurent est une aide très précieuse.
Encore merci « vie » pour ton partage.
Fraternellement.
Merci Marcos, je n’avais pas envisagé cela sous cet angle .
En effet, je regardai le phare mais je voyais pas que c’était moi qui avançais sur le chemin
Merci pour ton éclairage
Amicalement
Syl Vie
Un sandwich à la Conscience Super!!!
Coucou Laurent,
Il est vraiment magnifique de voir que l’égrégore du VÊTE-ment devient de plus en plus visible,
et approchable. Le mensonge s’installe dès le premier VÊTE-ment.
Par 3 fois, fin juillet, j’ai été agressé en plein sommeil par des êtres éthériques. Lorsque tu as un oreiller sur la figure et que tu commences à suffoquer, c’est un peu plus qu’un rêve.
Quelques jours plus tard, j’ai enfin accepté l’idée que ces agresseurs étaient MES parties sombres. Il ne peut en être autrement que tout m’appartient. Je ne suis pas une victime.
Je suis créateur de ma vie.
Merci de qui tu es.
Bisousenmusiqueetsagessedesétoiles Gys
Salut Laurent, merci pour cette article!
Le moteur du ciel ne serait-il pas l’imagination consciente?
Agir comme si ce que l’on imagine etait la réalité primaire avant la réalité extérieur ?
Par exemple, J’ai remarqué que quand je communiquai avec quelqu’un en imaginant la personne d’une certaine manière, je pouvait je pouvais me libérer des tentatives 3D pour créer un dominant-dominer.. Je cree un sentiment en moi qui influence la réponse de la personne en face.
+ d’après certains enseignant spirituelles, Ainvahov par exemple, l’imagination nous connecte au mondes supérieurs.
Merci !
En fait, tu nous proposes la cène quoi
… On va rester habillé quand même hein …
Je mangerais bien un beignet de lumière
« il semblerait que je parte vers une nouvelle série d’article-vidéo qui a pour objectif de vous faire prendre conscience du véritable fonctionnement de l’être humain, non pas en vous sortant des bouquins de psychologie … »
En lisant ces lignes , j’ai pensé qu’il pouvait y avoir un intérêt à partager ce texte que j’avais relu par hasard, il y a quelques jours
http://zone-7.net/enseignements-de-la-tradition/5-conferences-par-p-d-ouspensky
5 conférences préparées et données par P.D. Ouspensky entre 1934 et 1940 portant sur les enseignements qu’il a reçus de Gurdjieff
A propos de du fonctionnement de l’être humain et la définition de « psychologie » :
dont voici un EXTRAIT (et à considérer comme tel) tiré de la première conférence. :
…..Mais c’est insuffisant. Même les descriptions les plus détaillées de ces nouveaux pouvoirs ne nous aideront en aucune manière à comprendre comment ils surgissent et d’où ils proviennent.
Un chaînon manque dans les théories généralement admises, même dans celles que j’ai déjà mentionnées et qui se fondent sur l’idée d’une évolution possible de l’homme.
La vérité réside dans le fait qu’avant d’acquérir des facultés et des pouvoirs nouveaux, que l’homme ne connaît pas et ne possède pas encore, il doit acquérir des facultés et des pouvoirs qu’il ne possède pas davantage, mais qu’il s’attribue indûment, c’est-à-dire qu’il croit connaître, employer et maîtriser.
Voici le chaînon manquant et c’est là le point principal.
Selon la voie de l’évolution décrite précédemment comme une voie fondée sur l’effort et sur l’aide, l’homme doit acquérir des qualités qu’il croit déjà posséder mais à propos desquelles il s’abuse.
Pour mieux comprendre ceci et connaître les facultés et les pouvoirs insoupçonnés que l’homme peut également acquérir, nous devons partir de l’idée générale que l’homme se fait de lui-même.
L’homme ne se connaît pas lui-même.
Nous touchons là un point très important.
Il ignore à la fois ses limites et ses possibilités. Il ignore même à quel point il se méconnaît.
L’homme a inventé de nombreuses machines et il sait qu’une machine complexe requiert parfois des années d’études avant de pouvoir être utilisée et maîtrisée. Mais il n’applique pas cette connaissance à lui-même, bien qu’il constitue par lui-même une machine bien plus complexe qu’aucune de celles qu’il a inventées.
Il entretient envers lui-même toutes sortes d’idées fausses. En premier lieu il ne se rend pas compte qu’il est réellement une machine.
Que signifie : l’homme est une machine?
Cela signifie qu’il n’a pas de mouvements indépendants, que ce soit sur le plan interne ou externe. Il est une machine mise en branle par les influences et les chocs extérieurs. Tous ses mouvements, ses actions, ses paroles, ses idées, ses émotions, ses humeurs et ses pensées sont provoquées par des influences extérieures. Livré à lui-même, il est simplement un automate doté d’un certain stock de souvenirs, liés à des expériences antérieures, et d’une certaine réserve d’énergie.
Nous devons comprendre que l’homme ne peut rien faire.
Mais il ne s’en rend pas compte et s’attribue la capacité de faire. C’est le premier pouvoir qu’il s’arroge.
Ceci doit être compris très clairement. L’homme ne peut pas faire. Tout ce qu’il croit faire, en réalité arrive, arrive comme «il pleut», comme «il gèle».
Il n’existe en français aucune forme verbale impersonnelle qui puisse être utilisée pour exprimer les actions humaines. Aussi devons-nous continuer à dire que l’homme pense, lit, aime, hait, déclare la guerre, combat et ainsi de suite. De fait, tout cela arrive.
L’homme ne peut bouger, penser ou parler par lui-même. C’est une marionnette tirée de-ci de-là par d’invisibles ficelles. S’il comprend cela, il peut apprendre davantage sur lui-même et il est possible alors que pour lui, les choses se mettent à changer. Mais s’il ne peut prendre conscience de sa totale mécanicité et la comprendre, ou s’il ne désire pas accepter cela comme un fait, il ne pourra apprendre davantage et les choses, pour lui, ne pourront pas changer.
L’homme est une machine, mais une machine d’un genre particulier. C’est une machine qui, dans de bonnes conditions, peut savoir qu’elle est une machine et, l’ayant pleinement compris, cesser de l’être……
Merci Évelyne !!!!
Rafraîchissant !
Ce bon vieux jeune et éternel Ouspensky !
Gratitude.
Ouaou…..
Passer du faire à l’être tout en choisissant.
Pour les trouveurs curieux qui ne s’arrêteront pas au titre,
Une petite promenade audio de deux heures au pays des vibrations :
https://www.youtube.com/watch?v=XcXxvUbA-IA
Belle route à tous.