64 – Dit Laurent Comment Je Fais… (2)

dit_LD_01_thumb[1]Enfin, voilà le dénouement tant attendu sur la question du comment on se débarrasse des programmes et croyances involuantes. C’est tout un programme qui se résume en vérité à peu de choses quand on a compris la manière dont cela fonctionne.

Là encore, il semblerait que j’ai dérapé grave et je pense que ma petite voix adore cela afin d’aider notamment les petits nouveaux à récupérer leur retard en peu de temps. Cette vidéo que je viens de visionner me fait découvrir ô combien je suis volubile quand je suis dans mon élément.

Passons donc maintenant à la vidéo car elle fait quand même une petite heure et demie, donc autant ne pas perdre de temps.

HG_026bDurée 1h28

Comme vous avez pu le constater, je vais à l’essentiel concernant certains sujets d’où des raccourcis qui peuvent choquer à qui n’est pas habitué d’aller au cœur des choses en des temps records. C’est le propre des raccourcis, ça fait jaser d’autant plus que la personne a le nez collé sur le sujet concerné. En d’autres termes, nous allons avoir naissance de concerts nés.

Ça promet quelques mélodies 3D récurrentes amenant ensuite leur lot de blocages-déblocages, tambours battant, au niveau de la mesure de l’instrument à vent appelé parole. Clarinettes et cuivres vont s’égosiller, tandis que les spectateurs habitués prendront calmement la sortie dans une êtreté les rendant sourds aux étripages prenant cours…

Laurent DUREAU

34 Commentaires

  1. Salut à tous,

    Vraiment du grand art, cette petite série, du grand Laurent, en bonne forme.

    Lors de cette vidéo, vers le début, j’ai eu la vision du Christ pendant sa traversée du désert. Quand il lutte contre le malin, il ne s’agit pas du diable, mais bien du mental-égo. Ceci dit, en vrai, ce n’est pas une histoire de lutte, mais bien de lâcher prise, chose qui est beaucoup moins spectaculaire qu’une confrontation.

    Cela dit, j’ai la sensation d’avoir du mal à lâcher prise, parce que j’ai l’impression que mon mental-égo met de plus en plus de résistance, au fur et à mesure de mon évolution. Peut-être que j’y mets trop de volonté et que je ne demande pas assez d’aide du côté de l’UN-visible.

    Après, c’est vrai qu’il y a une contradiction : tu nous dis souvent qu’il ne faut rien attendre de l’extérieur, que tout est en nous, et là, tu nous dis qu’on doit compter sur les EDL pour se faire nettoyer nos programmes involuants. Si tu pouvais éclairer ma lanterne, ça ne serait pas de refus.

    Merci beaucoup, mon ami, ainsi qu’à Brigitte et Corinne. Continuez votre entreprise, vous nous faites énormément de bien.

    Feux du coeur à tous!

    • Tout est en nous; donc nos sens sont chargés de voir, entendre etc…pour amener cette vision à notre cerveau. A ce moment là,notre corps ressent sous forme de vibrations ce qui est en nous et rendre les images à la conscience. Tout est mis en place par le sans nom, est là. L’aide est présence pour nous permettre de voir ce qui répond à notre vibration.

    • coucou gany
      je réponds à ta 2è phrase. j’ai aussi laissé mon mental égo prendre le dessus, mine de rien. j’étais vaguement consciente mais l’ai laissé reprendre tout le controle…..
      hier j’ai eu « le coup de grâce » par un ami bien malgré lui, j’ai craqué par des larmes et ai passé la journée pour reprendre ma place dans le centre cognitif, arriver à sourire à ma petite voix et ai senti toute sa douceur….. c’était génialn enfin !
      aujourd’hui laurent enfonce le clou mais ça me fait sourire, c’est la 2è fois en une semaine qu »on » me fait vivre les choses la veille !!!
      si je peux me permettre lâches les contradictions, elles s’éclaireront d’elles mêmes. coeurdialement

  2. D’un autre côté, une voix, je ne sais pas encore si c’est la bonne ou la mauvaise, me dit, de temps en temps : « Oui, tu écoutes Laurent, alors que le cheminement, tu devrais le faire par toi-même. Si tu n’y arrives pas, c’est que tu suis la vision de quelqu’un d’autre, il faut que tu suives ta propre vérité… »

    Certes, ce n’est pas 100 % faux, sauf que je ne me sens pas encore prêt. J’ai le sentiment qu’en te suivant, je gagne des dixaines d’années. Et puis, on n’est jamais à l’abri d’une erreur quand on marche seul.

    La question est : Si je suis un éternel indiscipliné, que j’ai du mal à obéir à un supérieur, quel qu’il soit (même si, ici, on ne demande pas forcément d’obéir), est-ce que je suis, un ouvreur de chemin ou est-ce que mon mental-égo est trop fort?

    Alors, est-ce que ma démarche est bonne? Je ne sais pas. Toujours utile, que j’apprécie vraiment ce que vous faites.

    Il y a une chose à laquelle je suis sûr, c’est que chaque UN devra, tôt ou tard, faire sa traversée du désert. Au final, est-ce que ce n’est pas ce que je suis en train de vivre avec toutes mes interrogations?

    • Si le petit égo perd son pouvoir, le mental perd sa première place. Le ressenti est appelé à être observé puis le mental vient l’éclairer.

    • Salut Gany,
      laurent est une aide, il montre le chemin loin la bas, a toi de le vivre pour savoir si c’est bien un chemin. Passer du savoir a la connaissance.
      C’est toujours ton chemin que tu ouvre.Avec la boussole, la carte et la machette offert par le plombier, tu te debrouille comme tu peut… entre mental/ego et intuition/petite voix/ressenti.
      Feu du coeur et bonne ascension !!!

    • Bonjour Gany,

      Il est parfaitement vrai qu’il ne faut dépendre de personne extérieurement mais quand cela vient de ton intérieur c’est totalement l’opposé puisque justement le but du jeu est d’écouter dans l’ordre ta petite voix d’abord mais ensuite aussi tous les guides qui jouent dans l’éthérique c’est-à-dire les EDL, EDLN et autres parties de toi-même.

      Est-ce que ton esprit Cristallin est extérieur à toi ? Non, c’est toi mais dans une dimension différente. Idem pour ton dragon et idem pour toutes les autres entités que l’on appelle les anges, les archanges et même les Arcs. Tout ce qui est en contact en ton intériorité n’est pas « extérieur » à toi.

      Par contre, toute entité biologique extérieure l’est dans le sens qu’elle possède un corps de matière. De ce fait ils sont des acteurs du jeu tout comme toi. Aussi, à ce niveau, c’est à toi de voir si tu peux profiter de leur expérience du jeu pour avancer dans le jeu mais tu ne dois en aucun cas en être dépendant.

      Imagine que tu sois dépendant de ton prof d’auto-école alors comment feras-tu si en conduisant tu te trouves confronté à un truc qui sort de l’ordinaire ? Auras-tu le temps de l’appeler au téléphone alors que tu as les 2 mains cramponnées au volant pour ne pas aller dans le décor ? C’est en cela qu’avoir un guide est important (tout comme un moniteur d’auto-école) quand tu es en phase d’apprentissage mais rapidement il va falloir évidemment trouver ta liberté.

      Aussi, tu trouveras 2 types de moniteur : 1) Ceux qui vivent grâce à tes tunes et qui ont besoin de toi pour exister et 2) Ceux qui donnent et qui ne te demande rien car que tu sois là ou pas, ils continueront quand même de donner.

      Comprends donc aussi la nuance de l’aide qui t’es apportée. En tant que marcheur désirant avancer plus vite, tu as le choix d’aller faire tes courses soit dans un magasin qui veut te fidéliser (et donc t’asservir en quelque sorte puisque cela cherche à créer une dépendance en toi) ou soit de t’arrêter dans un magasin d’aire d’autoroute où tu sais que probablement tu n’y repasseras plus jamais.

      Aussi, et dernier point, si je reprends tes mots « Si je suis un éternel indiscipliné, que j’ai du mal à obéir à un supérieur, quel qu’il soit… » indique que tu t’associes à une séparation systématique (je suis un rebelle) et que tu n’obéis à quelqu’un de supérieur (donc tu te confortes en quelque sorte intimement à un statut d’inférieur) et qu’obéir démontre un orgueil qui ne veut pas dire son nom.

      En résumé, moi (l’orgueilleux) je suis en guerre permanente envers et contre toute personne que je sens supérieure à moua, le rebelle, l’insoumis mais aussi l’ignare… On a donc effectivement la description d’un mental-égo en pleine possession de ses moyens et parfaitement aux commandes. D’où cette question « Pourquoi je devrais suivre quelqu’un d’extérieur à moi (EDL et EDLN compris) alors que j’ai tout en moi ? N’est-ce point là la marque d’un mental-égo qui défend son territoire en termes de domination ?

      Où est l’humilité, la reconnaissance que l’on apprendra surtout des autres aussi bien de l’extérieur que de l’intérieur ? On voit donc combien l’involution a superbement travaillé en finesse dans notre programmation au point de refuser la transmission d’informations qui est le fait même de la Vie puisque cela s’appelle l’Amour.

      En gros, on peut comprendre que ce monde manque d’amour et de respect d’autrui (de tous les acteurs du jeu et pas seulement les humanoïdes) et qui font que l’on soit dans cette jungle cruelle que nous prenons pour une réalité. Un prédateur peine à comprendre ce qu’est un monde unifiée c’est-à-dire un monde de partage et où tout le monde regarde dans la même direction c’est-à-dire celle du service à tous et non du service à soi.

      Ce commentaire s’adresse à tout le monde et pas seulement à toi Gany car, en vérité, nous partageons tous cette programmation du rebelle qui quand ça l’arrange prend la tenue du mouton. En effet, va voir n’importe quel mouton et demandes-lui s’il est heureux de vivre en ce monde bordélique et sa réponse sera celle d’un rebelle pas d’accord. D’ailleurs c’est ce qui caractérise justement ceux et celles qui bougent leur cul et que l’on appelle des marcheurs…

      smile smile smile

      • Merci à tous pour vos réponses, Laurent, la tienne est énorme.

        Hier soir, j’ai eu une inspiration en entendant cette phrase : « Se confronter à quelque chose, c’est le renforcer ». J’ai alors concentré une boule d’amour dans mon coeur, j’ai remercié mon mental-égo pour tout ce qu’il avait fait pour moi, en lui disant que j’avais besoin que mon mental se mette au service de mon coeur. J’ai envoyé cette boule à mon 3 ème chakra et ai fait partir le malin dans un puit de lumière, en demandant à celle-ci de le recycler. En évitant toute phrase négative.

        Les effets ont été instantanés, aujourd’hui, je ne dirais pas que je sois guéri, mais je me sens serein, libéré.

        Feux du coeur à tous!

  3. Merci Laurent, je vous ai entendu tenir des propos que j’ai tenu à une amie hier par téléphone afin de lui expliquer qu’il ne faut pas vivre tel ou tel événement comme une épreuve mais comme une leçon qui nous aide à grandir, à comprendre que nous ne sommes que dans l’illusion de qui nous sommes et de ce que nous vivons. Mais que pour autant la somme de nos ressentis sont des expériences qui retournent à notre Âme et au sans non et que nous ne devons pas en faire une affaire personnelle mais au contraire s’en détacher, prendre du recule comme des spectateurs qui expérimentent et renvoient l’information à la source pour analyse. Je vis de plus en plus de synchronicites ou des situations générant un feed-back tellement rapide que je parviens à percevoir à qu’elle point ma sensibilité a augmenté, donc plus de prise de conscience sur certes des petites subtilités mais qui toutes regroupées font un beau paquet
    J’ai eu le sentiment que vous verbalisiez mon savoir, çela m’a fait drôle et conforté aussi dans le fait que finalement je suis à l’écoute des mes ressentis mais je ne me et je ne leurs fait pas suffisamment confiance. J’ai eu le sentiment que je connaissais là couleurs des pierres avant que vous les nominiez. (Service à terre Mère de juin). Merci Laurent.

    • ou le tel est féérique !

      Voir « Eddy the eagle ». Je n’ai pas pu m’empêcher d’y penser.

      Je ris en coeur de tes images, Laurent. Merci. yes

    • exactement happy. c’est comme ça que je le ressens, au départ c’est bien d’avoir un fil conducteur mais après, on doit développer notre force en remplissant le cœur et le vivre par la connaissance, et ne pas rester sur le savoir. Aujourd’hui nous avons suffisamment de graines ensemencé par Laurent (entre autre) en notre cœur, pour pouvoir voler de nos propres ailes, c’est le moment de l’experimenter, sinon nous marchons dans les pas d’un etres qui ne sont pas forcément les notres il faut prendre son autonomie et avoir confiance en soi.

  4. Merci Laurent!

    Bon ben du coup je vais virer toutes mes photos que j’ai collé chez moi et qu’ils n’ont plus cours puisqu’ils datent d’une bonne trentaine d’années , c’est clair que ça va changer l’Ambiance!…Merci pour cette Précision , ça ne me choque pas plus que ça …Vivons le Moment Présent!….++

  5. Merci Laurent
    Mon premier et seul jeu vidéo : superski sur Amstrad PCP je sais plus combien. J’ai jamais voulu jouer à ces trucs
    Beaucoup de démineur quand même pendant un stage très long
    Mais là on parle du vrai saut dans le vrai jeu
    C’est quand même plus réel !
    Même si beaucoup est invisible pour moi

  6. Merci Laurent, les photos sont au placard, j’en ai déjà viré pas mal, je sens que le reste va suivre, Super ta vidéo, le gruyère s’aére de plus en plus, feu du cœur à tous

  7. Personnellement dans mon microcosme je vois de plus en plus le gruyère qui grignote la 3D augmenté :au travail tous ceux qui ont accédés à des postes par copinage ou en marchant sur d’autres de diverses manières sans réelles compétences pour le poste commencent à être démasqués et les laisser pour comptes ,malgré leur compétences,car trop « gentils » pas dans la compétition en esprit commencent à être reconnus sans faire quoi que ce soit au détriment des « compétiteurs égotiques »on sent l’apocalypse commencer (étymologiquement signifie révélation).Il en est de même au niveau familial où je ne réponds plus,voire ignore,les critiqueurs les faiseurs d’histoires,je veux juste avoir le moins de contacts avec eux sans plus rentrer dans leurs jeux égotiques.Je constate qu’ils perdent de leur force comme dit Laurent en ne les alimentant plus et de plus en plus de monde les voient pour ce qu’ils sont:des faiseurs d’histoires.Je pense que l’on va dans les prochains mois,à grande échelle,assister à beaucoup d’événements de déliquescence de la 3D:les gens vont tombe sur le cul en s’éveillant et découvrant de plus en plus l’envers du décor et les actions des involuants.Un exemple,il ne se passe pas un jour sans que je lise un article de « spécialistes » de l’épargne et de la bourse qui ne parlent de parasitocratie en parlant des dirigeants de ce monde (gouvernants,banquiers,médias,etc..)et de leur magouilles de finances virtuelles: planche à billets qui tournent sans vrai valeur,monnaies inexistantes car juste informatiques,taxations excessives,dettes nationales etc…Ces dénonciations sont très récentes et bientôt le peuple va prendre le relais .Bonne journée et bénédictions à toute l’équipe visible et invisible et à toutes les présences qui nous aident individuellement.Perso grâce à Laurent et son équipe j’ai fait un pas de géant pour l’homme (que je suis)mais je ne prétends pas encore pour l’humanité laugh !!!

  8. Pour compléter mon commentaire précédent voici un extrait qui décrit très bienla situation du « biaisage » du système économique et bancaire par les grands groupes via les banques centrales et les faibles taux que ces dernières offrent au grands groupent qui à leur tour manipulent l’économie et les politiques:ce qui est intéressant c’est que cette analyse vient d’experts financiers et non de marcheurs ou « spirituels »,on sent le voile se lever.

    « Les gouvernements changent, les zombies demeurent
    Ceux qui ont accès au crédit facile, peuvent surenchérir sur les petits emprunteurs et ainsi accaparer le capital productif.
    Une conséquence peu remarquée des politiques des banques centrales de taux d’intérêt proches de zéro et de l’assouplissement quantitatif est la domination du capital mondial mobile, celui des grands groupes internationaux.
    La source du pouvoir politique des multinationales est leur capacité à emprunter des sommes d’argent illimitées pour une bouchée de pain : ce que j’appelle de l’argent gratuit pour les financiers.
    Fort du crédit illimité fourni par les banques centrales, le capital mondial peut toujours faire une meilleure offre d’achat que les épargnants et les entreprises d’un seul pays. Avec le temps, les entreprises rentables et les actifs productifs finissent entre les mains des grands groupes.
    Prenons l’exemple d’une exploitation agricole familiale typique, que ce soit aux Etats-Unis, en Allemagne, en Australie, etc. Il est très difficile de gagner sa vie en cultivant la terre dans un marché dominé par une poignée d’entreprises géantes mondialisées et de leurs hommes de main locaux. Il n’est donc guère surprenant que beaucoup d’agriculteurs de la génération suivante aient opté pour des emplois en entreprise en zone urbaine plutôt que d’endosser les risques financiers de reprendre l’exploitation familiale.
    Certes, un agriculteur voisin pourrait se montrer intéressé pour racheter l’exploitation mais il devra emprunter l’argent à (par exemple) 4%.
    La concentration des terres agricoles dans les mains des grands groupes
    L’entreprise internationale, elle, peut vendre des obligations (c’est-à-dire emprunter de l’argent) à moins de 1%. Ce coût inférieur du capital permet à notre multinationale de proposer une meilleure offre de rachat que les agriculteurs locaux. Cet emprunt bon marché lui permet également de financer les économies d’échelle, qui sont hors de portée des exploitations agricoles familiales.
    Le résultat est que les terres agricoles du pays, son actif productif essentiel, tombent inévitablement entre les mains des multinationales. Celui qui voudrait résister et ne pas vendre est écrasé par les prix bas (les fermes constituées en sociétés peuvent produire de façon intensive et survivre à des prix bas, les familles ne le peuvent pas). Ou alors ils sont écrasés par les inconvénients d’être des marginaux vendant aux chaînes d’approvisionnement des grands distributeurs qui favorisent les fournisseurs internes ou de grands producteurs.
    La même dynamique — le pouvoir inégalable du crédit bon marché — conduit à un contrôle des multinationales qui ensuite financent leur domination politique.
    Prenons un exemple : vous souhaitez construire une maison pour vous et votre famille. Vous aurez besoin d’en financer la construction et puisque cela est plus risqué qu’un emprunt immobilier conventionnel pour acheter une maison déjà existante, vous devrez payer un taux entre 4% et 5% et quelques milliers de dollars de frais.
    Un promoteur peut emprunter à 1%. Devinez qui a les coûts de construction les moins chers ?
    La concentration mène à la cartellisation
    A mesure que les multinationales rachètent les actifs productifs, elles s’organisent en cartels et quasi-monopoles qui peuvent être protégés de la concurrence par du lobbying et des contributions à des campagnes électorales.
    Une fois que vous pouvez rafler tous les actifs productifs avec de l’argent emprunté à bas coût, les bénéfices commencent à s’accumuler et vous pouvez utiliser une petite partie de ces bénéfices pour engager des lobbyistes et acheter des faveurs ou une protection politique auprès de responsables politiques désespérément accrochés au pouvoir.
    Le résultat du crédit illimité aux entreprises est un pouvoir financier et politique des multinationales qui ne cesse de s’étendre.
    Le résultat de ce contrôle de la gouvernance est que les gouvernements vont et viennent, les candidats vont et viennent, les mouvements politiques vont et viennent mais les multinationales restent au pouvoir.
    Si les taux d’intérêt étaient à 10% pour tout le monde, les individus et les petites entreprises disposant d’économies pourraient surenchérir sur ces grands groupes, qui sont généralement écrasés lors des récessions par les paiements des intérêts de leurs prêts.
    Avec des taux d’intérêt nuls, les multinationales peuvent surenchérir sur les épargnants, les ménages et les petites entreprises, qui ne peuvent pas emprunter des milliards de dollars pour presque rien auprès des banques centrales.
    Si on me prête 10 milliards de dollars à un taux d’intérêt annuel de 0,25%, je pourrai moi aussi acheter quelques actifs rentables. N’importe qui peut devenir honteusement riche s’il a un crédit illimité à un taux annuel de 0,25% (c’est-à-dire essentiellement de l’argent gratuit).
    Finalement, la domination du capital mondial n’est pas d’ordre financier mais politique.
    La population et ses élus ont deux choix : soit permettre aux grandes entreprises de dominer (via les politiques des banques centrales) ; soit retirer aux banques centrales leur pouvoir de créer cette domination.
    Le choix nous appartient— ou plutôt nous appartenait.
    Il n’est guère étonnant que la fraude électorale soit l’outil de prédilection des lèche-bottes politiques des grands groupes américains. Il est bien trop dangereux de laisser le  » petit peuple  » prendre des décisions politiques. Il pourrait évincer les banquiers centraux et, si c’était le cas, les multinationales et leurs caniches politiques connaîtraient un déclin inévitable puisque les robinets d’argent gratuit seraient fermés.
    Si vous détruisez ces cartels du capitalisme de connivence, sous perfusion de dettes, vous détruisez le statut quo. »

  9. Pour compléter mon commentaire précédent voici un extrait qui décrit très bien la situation du « biaisage » du système économique et bancaire par les grands groupes via les banques centrales et les faibles taux que ces dernières offrent au grands groupent qui à leur tour manipulent l’économie et les politiques:ce qui est intéressant c’est que cette analyse vient d’experts financiers et non de marcheurs ou « spirituels »,on sent le voile se lever(excusez moi texte un peu long mais qui résume tellement de choses).

    « Les gouvernements changent, les zombies demeurent
    Ceux qui ont accès au crédit facile, peuvent surenchérir sur les petits emprunteurs et ainsi accaparer le capital productif.
    Une conséquence peu remarquée des politiques des banques centrales de taux d’intérêt proches de zéro et de l’assouplissement quantitatif est la domination du capital mondial mobile, celui des grands groupes internationaux.
    La source du pouvoir politique des multinationales est leur capacité à emprunter des sommes d’argent illimitées pour une bouchée de pain : ce que j’appelle de l’argent gratuit pour les financiers.
    Fort du crédit illimité fourni par les banques centrales, le capital mondial peut toujours faire une meilleure offre d’achat que les épargnants et les entreprises d’un seul pays. Avec le temps, les entreprises rentables et les actifs productifs finissent entre les mains des grands groupes.
    Prenons l’exemple d’une exploitation agricole familiale typique, que ce soit aux Etats-Unis, en Allemagne, en Australie, etc. Il est très difficile de gagner sa vie en cultivant la terre dans un marché dominé par une poignée d’entreprises géantes mondialisées et de leurs hommes de main locaux. Il n’est donc guère surprenant que beaucoup d’agriculteurs de la génération suivante aient opté pour des emplois en entreprise en zone urbaine plutôt que d’endosser les risques financiers de reprendre l’exploitation familiale.
    Certes, un agriculteur voisin pourrait se montrer intéressé pour racheter l’exploitation mais il devra emprunter l’argent à (par exemple) 4%.
    La concentration des terres agricoles dans les mains des grands groupes
    L’entreprise internationale, elle, peut vendre des obligations (c’est-à-dire emprunter de l’argent) à moins de 1%. Ce coût inférieur du capital permet à notre multinationale de proposer une meilleure offre de rachat que les agriculteurs locaux. Cet emprunt bon marché lui permet également de financer les économies d’échelle, qui sont hors de portée des exploitations agricoles familiales.
    Le résultat est que les terres agricoles du pays, son actif productif essentiel, tombent inévitablement entre les mains des multinationales. Celui qui voudrait résister et ne pas vendre est écrasé par les prix bas (les fermes constituées en sociétés peuvent produire de façon intensive et survivre à des prix bas, les familles ne le peuvent pas). Ou alors ils sont écrasés par les inconvénients d’être des marginaux vendant aux chaînes d’approvisionnement des grands distributeurs qui favorisent les fournisseurs internes ou de grands producteurs.
    La même dynamique — le pouvoir inégalable du crédit bon marché — conduit à un contrôle des multinationales qui ensuite financent leur domination politique.
    Prenons un exemple : vous souhaitez construire une maison pour vous et votre famille. Vous aurez besoin d’en financer la construction et puisque cela est plus risqué qu’un emprunt immobilier conventionnel pour acheter une maison déjà existante, vous devrez payer un taux entre 4% et 5% et quelques milliers de dollars de frais.
    Un promoteur peut emprunter à 1%. Devinez qui a les coûts de construction les moins chers ?
    La concentration mène à la cartellisation
    A mesure que les multinationales rachètent les actifs productifs, elles s’organisent en cartels et quasi-monopoles qui peuvent être protégés de la concurrence par du lobbying et des contributions à des campagnes électorales.
    Une fois que vous pouvez rafler tous les actifs productifs avec de l’argent emprunté à bas coût, les bénéfices commencent à s’accumuler et vous pouvez utiliser une petite partie de ces bénéfices pour engager des lobbyistes et acheter des faveurs ou une protection politique auprès de responsables politiques désespérément accrochés au pouvoir.
    Le résultat du crédit illimité aux entreprises est un pouvoir financier et politique des multinationales qui ne cesse de s’étendre.
    Le résultat de ce contrôle de la gouvernance est que les gouvernements vont et viennent, les candidats vont et viennent, les mouvements politiques vont et viennent mais les multinationales restent au pouvoir.
    Si les taux d’intérêt étaient à 10% pour tout le monde, les individus et les petites entreprises disposant d’économies pourraient surenchérir sur ces grands groupes, qui sont généralement écrasés lors des récessions par les paiements des intérêts de leurs prêts.
    Avec des taux d’intérêt nuls, les multinationales peuvent surenchérir sur les épargnants, les ménages et les petites entreprises, qui ne peuvent pas emprunter des milliards de dollars pour presque rien auprès des banques centrales.
    Si on me prête 10 milliards de dollars à un taux d’intérêt annuel de 0,25%, je pourrai moi aussi acheter quelques actifs rentables. N’importe qui peut devenir honteusement riche s’il a un crédit illimité à un taux annuel de 0,25% (c’est-à-dire essentiellement de l’argent gratuit).
    Finalement, la domination du capital mondial n’est pas d’ordre financier mais politique.
    La population et ses élus ont deux choix : soit permettre aux grandes entreprises de dominer (via les politiques des banques centrales) ; soit retirer aux banques centrales leur pouvoir de créer cette domination.
    Le choix nous appartient— ou plutôt nous appartenait.
    Il n’est guère étonnant que la fraude électorale soit l’outil de prédilection des lèche-bottes politiques des grands groupes américains. Il est bien trop dangereux de laisser le  » petit peuple  » prendre des décisions politiques. Il pourrait évincer les banquiers centraux et, si c’était le cas, les multinationales et leurs caniches politiques connaîtraient un déclin inévitable puisque les robinets d’argent gratuit seraient fermés.
    Si vous détruisez ces cartels du capitalisme de connivence, sous perfusion de dettes, vous détruisez le statut quo. »

  10. Bonjour, Chris 69 ainsi qu’à vous tous !
    give_rose Il y a une Infnité (UN-non-FIN(I)-ITE) de choix dans tous les domaines de la VIE….Je ne me lancerais pas dans  » L’Explique à Sion  » de ces choix…Ils sont à la mesure de Chaque-UN !
    L’AMITIE, LA FRATERNITE, le PARTAGE et L’AMOUR selon leur dosage en sont les CLEFS…Tout le reste n’est que du Vent non Porteur et Périssable. A TOUJOURS ! friends

  11. Bonjour à tous… Ceci est un S.O.S je n’arrive pas à retrouver dash , ni dans quels commentaires un lien fut mis… sad une personne a indiqué une dame qui canalise Maitre St Germain, une autre lui a répondu citant une autre personne, et sutout en disant aussi qu’elle avait fait une méditation , qui lui a permis de « discuter » avec son corps et que le corps lui a favorablement répondu good . il y avait un lien… SVP qui peut me le ré-indiquer ? Je suis cry de l’avoir perdu ! Mille MERCISSSSS

      • give_rose Merci à toi Frère Cosmique ! oui, C bien ça ! good
        J’ai des tracas d’ordi cry , mauvaise connexion et malgré réparation, parfois j’ai les commentaires qui y arrivent bien et parfois non, et j’en trouve sur mon IPhone qui ne sont pas passés sur l’ordi dash , j’en ai marre de ces connexions du « diable », vivement que tout se passe par la « cervelle connectée » laugh Surtout que perso, je détraque depuis ma naissance (donc ça dure depuis 66 ans, C pénible crazy ) tout, montres (fini avec celles à quartz, qui ne font que retarder un peu), horloges mécaniques, ordinateur, IPhone, télé, lampes… ça devient erratique ou ça pète… Mille et mille merci à toi. kiss

  12. Bonjour Laurent, je trouve que c est l une de tes meilleures vidéo, enfin celle qui m à le plus plue, avec celle de la petite voix et celle des fils du temps.

    Juste avant de visionner celle ci, j avais effectivement constaté depuis quelque temps que certains programmes involuants se defaisaient peu à peu,je dirais même que en quelques jours des trucs sont tombés comme ça tout seuls.

    J ai plus de mal avec la fumette bien sûr, mais j ai l impression que ma relation avec commence à prendre une tournure, disons que je ne lui donne plus autant d importance, je ne saurais bien expliquer mais en effet rien n est plus pareil.

    En fait je constate que depuis que j ai fait l exercice du pendule avec mon corps (et avec succès car les réponses furent relativement claires) je suis sans faire d efforts bcp plus en contact avec ma petite voix.

    Depuis ce jour je peux réellement sentir que mon mental ego parle nettement moins fort, et il me semble maintenant arriver à distinguer qui parle, ça se ressent au niveau physique.

    Laurent, est ce que tu sais si je peux trouver de l eau encodé en Espagne? Si oui dans quelle région? Merci, gracias y saludos a todos

    Cecile

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