50 – Quand la Pleine Lune fait des siennes

pleine-luneSoumis à l’influence des étoiles, il arrive souvent que nous venions à expérimenter des mouvements intérieurs qui reviennent d’une manière cyclique surtout quand il s’agit d’un astre particulier comme notre Lune. Des fois, on la sent moins et d’autres fois, son influence est surmultipliée surtout quand des portails comme les solstice ou les équinoxes se conjuguent ensembles.

Ainsi, dans mon dernier article, j’ai exprimé mon vague à l’âme. Un ras le bol comme il m’arrive régulièrement tous les ans. C’est comme si je repassais une ligne d’arrivée en me demandant si je repars pour un nouveau tour ou non. C’est enfantin et bien que le sachant je m’y abandonne quand même car je sais qu’il me faut le vivre pleinement.

En effet, c’est comme une mise au point. C’est une nécessité que je ressens afin de savoir si je continue à courir dans ce que je sens et sais être mon chemin. Vous avez été nombreux, de par vos réflexions, à m’avoir apporté un retour du comment vous percevez ce que je vous apporte (y compris l’aide de l’équipe au sol, bien sûr).

C’est appréciable de savoir si l’on est toujours en phase avec ce que vous attendez. En effet, le propre d’un ouvreur de chemin est d’ouvrir un chemin dans l’inconnu mais la question fondamentale est : est-ce le chemin qu’il est bon d’ouvrir maintenant. Hé oui, le revers de la médaille d’un ouvreur de chemin comme moi, c’est que lorsque je mets le turbo, il me faut un temps certain pour découvrir que ce n’est pas forcément la « bonne » direction.

En effet, il y a toujours une résistance à vaincre quand on démarre un truc surtout quand cela relève de l’inconnu. Il est donc normal d’être borné et de foncer tête la première et ce n’est qu’après un certain temps que tu peux relever la tête et voir s’il y a du monde qui suit… C’est aussi la raison pour laquelle régulièrement, je me pose la question : je continue ou pas ?

Comme il a été dit, ce qui semble me peser à un moment deviendra en fait une énergie de propulsion pour le prochain tour. C’est à l’image d’un ressort en bout de course et qu’il faut recompresser pour qu’il puisse de nouveau être utile. Ainsi vos commentaires assurent 2 choses : 1) Ils m’indiquent si je dois continuer dans la même direction et 2) Ils me regonflent les batteries.

Donc tout va bien même si certains et certaines pensent que je n’écoute plus ma petite voix. En effet, elle est toujours là mais elle sait se faire discrète dans ces moments de remise à zéro des compteurs. Elle sait que je la suivrais dans tous les cas car elle sait que jamais je ne pourrai arrêter d’être ce dont je suis fait pour. Il faut être fou pour vouloir être différent de ce que tu es en tes entrailles.

Alors ne vous inquiétez pas si je vais poursuivre ma tâche ou non car je le ferai de toute façon. Le seul truc qui peut changer c’est la direction. Hé oui, on ne peut pas toujours rouler droit devant et des virages sont à négocier. L’année dernière, avec monsieur bleu, j’ai eu un très gros virage et globalement 80% de mon lectorat connu a disparu…

Il en est resté 20% et depuis, mois après mois, de nouveaux lecteurs apparaissent. Cette fois-ci, il semblerait que je dois continuer droit devant malgré mes différents nouveaux blogs. Il faut dire que d’autres projets-missions se sont greffés en cours de route et que ce n’est pas fini d’ailleurs.

Vu isolément, chaque projet semblerait différent et contradictoire à l’image d’un moellon et d’une fenêtre. On ne voit pas ce que vient faire du bois avec du béton. Mais quand on a un recul suffisant et que l’on voit la construction d’une maison (en l’occurrence dle Nouveau Monde), on découvre qu’au fur et à mesure de l’avancement des travaux de nouveaux corps de métiers apparaissent.

Ainsi le charpentier-couvreur ne peut venir que lorsque les murs sont montés. Puis c’est le tour des menuisiers pour les portes et fenêtres tout en sachant que les électriciens ont en sourdine déjà fait passer des tas de tuyaux dans les murs afin d’y glisser des fils électriques. Ça semble bordélique à première vue mais dès que les plâtriers auront fini les murs intérieurs, des interrupteurs et des prises de courant feront leur apparition.

Alors quel rapport entre un gars qui joue avec des fils électriques, un maçon et un charpentier ? Apparemment aucune sauf si on a connaissance qu’une maison est en train de se construire. Les préhumains (terme qui emmerde certains lecteurs) crient au loup à cause du mélange des genres tandis que les bisounours (d’autres lecteurs qui se reconnaitrontt) ne voient que papier peint, couleurs de peinture et parfums délivrés par des plantes savamment entretenues.

Le gros œuvre et toutes les phases de chantier bordéliques semblant n’avoir ni queue ni tête les exaspèrent au point qu’ils en sont même arrivés à se regrouper dans des forums ou blogs anti Laurent Dureau. C’est en quelque sorte les “écolos spirituels” qui veulent foutre leur bordel au nom de l’harmonie et du bien-être. Même si je ne vais pas les lire, vous comprenez que ça use un peu de les entendre défiler dans la rue c’est-à-dire dans les commentaires car, de plus, ils pensent que la rue leur appartient !

Mais bon, s’il n’y avait pas d’adversité, ce monde n’existerait pas tout simplement puisque c’est l’école de la dualité. Cependant, il est vrai que si leur égo spirituel baissait d’un cran ou deux, on aurait plus de chance à entendre la musique des sphères. C’est bête, mais en pensant sphère, je vois des billes… tandis que d’autres ont osé parler de glands…

Je vais donc continuer sur la lancée tout en vous prévenant que certaines des nouveautés (l’eau par exemple) vont devenir des points incontournables pour notre élévation de fréquence ainsi que celle d’Urantia-Gaia. Ainsi, plus nous allons avancer sur le chemin et plus ce qui nous semblait normal et acquis va devoir être remis sur la table. Cela promet donc encore quelques bonnes levées de bouclier. Dit autrement, ça va encore brasser et de plus en plus dur.

Aussi, bien que beaucoup d’entre vous ne laisse aucun commentaire habituellement, je vous recommande fortement de poser vos questions sur les pages dédiées aux webconfs car plus on va avancer et plus vous allez avoir des incompréhensions concernant les corps de métier qui sont à l’œuvre pour la construction du Nouveau Monde.

Alors n’attendez pas d’être complètement paumé pour lever le bras. Savoir nager en 5D demande qu’à la moindre tasse, on puisse le dire au maître-nageur surtout si ça perdure. N’attendez pas d’être au fond de la piscine-cuve à fuel et sans réserve d’air pour vous faire connaître… Les webconfs sont faites pour être le plus possible dans les petites corrections de trajectoire afin de fluidifier le mouvement.

En effet, comme j’aime à le dire mon premier club de nage a été celui des enclumes. Puis ensuite, grâce à une assiduité surprenante j’ai été récompensé en passant dans le club des fers à repasser. Peut-être qu’un jour, je passerai à celui des rondins qui flottent. Alors quant à songer au club des dauphins, je crois sincèrement que cela se fera au moins dans 3 vies après celle-ci !

Bref, pour vous remercier d’avoir laissé autant de commentaires sur mon dernier gémissement (qui, bien heureusement ne s’est pas terminé sur un expir bloguique), je vous copie-colle un texte que je trouve très inspiré et rafraichissant.

Le jour où je me suis aimé pour vrai

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
Estime de soi.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n’étaient rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente
et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne,
dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts
et que ce n’est pas le moment.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
Respect.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire…
Personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
Amour Propre.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans,
j’ai abandonné les méga-projets du futur.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison,
et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd’hui, j’ai découvert …
L’humilité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la met au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.
Tout ceci est …
Savoir vivre.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois.
Et ça s’appelle …
Plénitude.

Tiré du livre « When I Loved Myself Enough » de Kim et Alison McMillen (2001)

C’est un beau poème. Sa structure est bonne cependant je vais me permettre de le modifier à ma sauce afin qu’il soit plus en accord avec les termes utilisés dans mes blogs. Puis le second point est que la traduction du “enough” par “pour vrai” n’est pas des meilleures. Le traducteur aurait pu plutôt dire “pour de vrai” ou si on veut coller au titre du bouquin par “suffisamment”. Cela semble du détail mais ne l’est pas quand on y rajoute une vibration… Voici donc ma copie :

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais compris qu’en toutes circonstances,
j’étais à la bonne place, au bon moment et alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
L’Estime de soi.

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais pu percevoir que mon anxiété
et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal quand j’allais contre mes convictions.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
L’Authenticité.

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais cessé de vouloir une vie différente
et que j’avais commencé à voir que tout ce qui m’arrivait contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
L’Apprentissage

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais commencé à percevoir l’abus
dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je voulais,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même n’étions prêts et que ce n’était pas le moment.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
Le Respect.

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais commencé à me libérer de tout
ce qui ne m’était pas salutaire… autant les personnes et situations que tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
L’Amour Propre.

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais cessé d’avoir peur du temps libre
et avais arrêté de faire de grands plans ainsi que des méga-projets futuristes.
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
La Synchronicité.

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais cessé de chercher à toujours avoir raison,
me rendant compte de toutes les fois où je m’étais moi-même trompé.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
L’humilité.

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais compris que ma tête
pouvait me tromper et me décevoir, et que si je la mettais au service de mon cœur,
elle devenait alors un allié très précieux.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
La Sagesse.

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais compris que j’avais tout en moi
et qu’il me suffisait de prendre du recul et d’écouter ma petite voix.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle …
La simplicité

Le jour où je me suis senti m’aimer suffisamment, c’est que j’avais cessé de revivre le passé
et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle …
L’êtreté

Bien, je vous quitte là dessus en espérant qu’à travers ces quelques mots poétiques, vous puissiez ressentir qu’en fait tout est simple et évident pour qui sait prendre du recul afin de vivre ce qu’il est… J’en ai aussi profité de rajouter une petite strophe car ça manquait.

Laurent DUREAU

35 Commentaires

  1. Merci mon Frère et Ami Laurent,
    J’avoue que je suis vraiment content de t’avoir pour Guide 💡 💡 💡

  2. Merci à la Pleine Lune qui a mis en Lumière tout l’intérêt d’aider Laurent, Corinne et Brigitte à continuer à oeuvrer.

  3. 😉 Bien vu ce poème nouvelle version et bien envie de l’afficher …..un peu partout !

  4. Ce Jour je me suis sentie m’ Aimer suffisamment
    Serait-ce là la Plénitude???

  5. Bien que je me manifeste moins, je suis toujours là, à te lire !
    Merci pour ce poème qui fait du bien ; l’instant présent.
    Bise à tous

  6. Merci Laurent,
    Tout est dit !
    Aimons nous, aimons nous, …….
    Aimons tout simplement !
    Bises

  7. EXTRAORDINAIRE! ton poeme modifié.je vais le garder et le relire assez souvent.
    ça me parle trés fort. Continues comme ça et surtout ne t’arretes pas.
    Merci pour ce que tu es et tout ce que tu fais ainsi qu’à l’équipe.

  8. MERCI Laurent !
    Ton poème me parle…..je vais m’en imprégner.
    En communion avec toute l’équipe au sol et tous tes lecteurs.
    Avec amour et gratitude.

  9. bonjours les amis
    les ptite crise annuel , sont monnaie courante pour chacun de ns , le but et de les reconnaitres de les travailler et de les laisser passées , elles sont la pour une raison fondamental : faire un bilan general .
    mon ami , mon grand frere , meme si tu le voulez , tu ne pourrais ,pas t’eloigner de la route ,que TU tes tracer , toi , et personne d’autre , alors oui ,pour ma part , je suis heureuse , que sur ton chemin de vie , ns ns sommes rencontrez , par le biais de tes blogs et articles . merci de tout coeur .

  10. Toutes ces questions qu’on se pose par rapport à notre propre évolution qui nous interrogent évidemment et parce qu’il reste un reliquat de culpabilité a éliminer.
    Merci, c’est un beaume sur le coeur.

  11. Bonjour Laurent

    Tout d’abord, un GRAND MERCI pour tout ce que tu nous offres.
    J’envoie rarement des commentaires mais je te lis et te suis depuis le début sur tes nombreux blogs et je trouve cet enseignement vraiment super intéressant.

    Malgré une petite hésitation de ma part au début de l’apparition de Monsieur Bleu, j’ai préféré mettre de côté mes « à priori » et m’ouvrir à la nouveauté et à l’inconnu afin de voir ce qu’il en était, avec un certain détachement, et j’ai bien fait.
    Je ne suis pas en accord avec tout mais j’ai pris ce qui résonnais avec moi et c’est toujours très enrichissant en procédant de cette façon, ( en tous cas pour moi ! )

    Donc, pour ma part, les mots que tu emploies comme « bisounours », « préhumain » ou autres ne sont que des mots et je ne m’arrête pas dessus car je comprends, sans aucun jugement sur le mot lui même, la signification de l’ensemble de ce que tu veux nous exprimer.
    Il faut bien que tu utilises un mot ou un autre pour nous faire passer ton message !!!!
    …et donc pour les lecteurs qui désirent essayer la technique de détachement, ça marche vraiment bien dans mon cas.

    Comme il y aura toujours des « préhumains » qui jugeront et critiqueront, je t’encourage à continuer à écouter ta petite voix, à ignorer les mécontents ( j’imagine que ça ne doit pas être toujours facile !! ) qui ne sont pas obligés de te suivre ou même de te lire si ça ne leur correspond pas.
    C’est simple, chacun est libre, et je les invite à aller sur d’autres sites qui leur conviennent mieux ! Ce serait tellement plus agréable pour tout le monde !!

    En tous cas, je t’envoie toute ma sympathie ainsi que tous les encouragements possibles pour continuer à faire ce qui te semble être sur ta voie.
    J’espère que tu continueras à nous servir de guide ( quand je regarde en arrière, je vois le chemin parcouru grâce à toi et je t’en remercie encore ) et comme tout le monde, tu as le droit d’avoir des coups de blues, des moments de réflexion et des prises de virages un peu raides…..comme tout un chacun !!!!!

    Reste comme tu es, c’est très bien ainsi, et courage pour la suite des évènements.
    Je t’embrasse ainsi que toute l’équipe qui est derrière toi.
    MERCI à vous tous

    Martine

  12. Gratitude au maître nageur qui est toujours présent pour le meilleur ou le pire.
    Merci

  13. Bonjour Laurent

    un GRAND MERCI d’être là et qui tu es, je n’écris pas de commentaires mais je te suis depuis plus de 2 ans et demi….
    Je t’ai suivi a l’époque bleue, et je continue car je sens une autenticité qui me plait même si ça secoue parfois, je sens que c’est utile et toujours avec AMOUR.
    alors ton chemin suis le et comme d’autres je le suivrai aussi … à mon rythme.
    😉

  14. Que dire de plus si ce n’est immense MERCI! l’article précédent n’est pas arrivé jusqu’à moi, j’en prends connaissance seulement maintenant, et je dois dire que je commençais à me poser des questions sur ce silence prolongé… du coup ça m’a amenée à me positionner dans la gratitude, car tes écrits font parti de ma vie et je me rends compte que je n’étais pas toujours dans l’appréciation, vu que très généreusement tu fais don gratuitement de ton temps et énergie! Je trouverais totalement justifié que tu demandes une participation pour tout ce que tu donnes.
    Ton franc parlé et ton énergie secoueur de cocotier me manquerait terriblement! J’ai décroché pendant l’épisode homme bleu, mais là je crois à nous de distinguer avec ce qui résonne en nous ou pas… tu donnes, tu transmets et notre responsabilité de nous prendre en charge….
    Laurent tu me fais penser à un savant fou smile, et vraiment j’adore tes vidéos, suis fan, même si en effet des fois je comprends pas tout, pour moi ça toujours été la réponse physique quantique à ce que j’expérimente dans ma vie. De pouvoir avoir des mots sur un ressenti, souvent le soulagement de me dire je ne suis pas cinglée…
    Ces derniers jours coup de blues général je crois, la lune en effet qui accentue la chose et coup d’accélérateur du au 21 juin…?!? comme si dernière remise en question avant de basculer physiquement dans cette nouvelle dimension. Cette impression que ce 21 l’achèvement de 9 mois à se dépatouiller dans un nouvel environnement énergétique. Du style le poisson qui se trouve projeté hors de l’eau et qui doit s’habituer à son nouvel environnement?!?
    Bon solstice à tous et merci à toi Laurent et aux Dames!

  15. Laurent, n’est-ce-pas ‘normal’ que parfois sous votre belle Voûte Étoilée vous vous sentiez en grande solitude? (et, ceci, malgré l’accompagnement en cœur, en action et en compétence de Corinne et de Brigitte).
    Pas si simple d’être Stella Pastor d’une aussi immense bergerie….ce lieu de recherche de la Connaissance et de la Vérité.

    Jusqu’à présent, malgré un 80% en soustraction d’internautes lecteurs; la transhumance est réussie, non? et, ceci, malgré les prédateurs et de leurs tentatives de projeter tout ce troupeau dans le précipice de la ‘gouroutrie’, qui est, elle, très tendance.

    Que le ‘Grand Meunier d’en haut’ vous accompagne en tout, en tout temps et partout.
    et Mille soleils à votre cœur Laurent,
    RdesB.

  16. Doux poème que voilà… Tout est dit !
    Merci pour ta relecture de précision.
    Salutation à tous !

  17. 🙂 🙂

    Merci à toi Laurent, notre frère qui ouvre la voie ! Je ressens très bien les pleines lunes depuis 2-3 ans, mais je dois dire que celle-là a été un peu « spéciale »… Non pas plombante comme d’habitude, mais j’ai ressenti (peut-être aussi grâce à toi depuis que je te lis) qu’elle impulsait comme un changement de cap, comme si quelque chose de plus léger et de plus fluide se mettait en place.
    J’ai aussi senti en moi une affirmation plus prononcée de certains aspects de moi-même, une plus grande affirmation de ma responsabilité dans ma propre vie et mes choix. Une plus grande présence à moi-même et plus d’authenticité dans ce que je suis (donc une vie plus en accord avec mon être profond).

    Et merci pour ce poème revisité, il est criant de vérité 😛

    Merci aussi à l’équipe au sol, et à la personne qui canalise GUYZ (Brigitte ? Corinne ?) : au départ j’avais du mal avec sa voix, mais maintenant j’éprouve de la joie à l’écouter ! SMILE !

    Jean-Lucas

  18. bonjour Laurent,
    dis il y a quelque chose de bizarre dans les commentaires, il y a beaucoup de commentaires féminin; on est vraiment devenu si nul les masculins…….ou bien c’est un passage obligé priorité au féminin pour l’ascension……..qu’en penses-tu?

    • Il est vrai que le féminin est à l’honneur puisque c’est celui qui a été le plus opprimé. Il est donc normal que cela s’exprime plus facilement et comme l’aspect féminin du mâle est lui aussi en cours de réveil, il arrive de plus en plus de commentaires masculins.

      Les mâles ont donc un petit train de retard (et d’ailleurs les dames s’en plaignent car beaucoup aimeraient s’en mettre un sous le coude…). C’est vrai que les mâles de 3D même si ça semble attirant à première vue montrent assez vite les limites de leur androgynie… 😀

  19. Bonjour Laurent, c’est réjouissant de savoir que le pèlerinage se poursuit. Les vendeurs de « bien-être » ne comprennent pas ton authenticité, ils cherchent à fuir « le chemin de croix » c-à-d la souffrance. C’est un manque de foi qui ne les distingue pas de la majorité des « pré-humains ». L’adage du philosophe stoïcien Epictète s’oppose bien à ces bisounours hédonistes : « Sustine et abstine » (Supporte et abstiens-toi). Dans une civilisation ou l’obscurantisme rivalisait avec celui de notre époque il disait que l’esprit avait plus d’importance que le corps. (Manuel d’Epictète)

  20. Merci Laurent, très vrai ce texte !!
    Je suis ravie de poursuivre sur le chemin avec toi !

  21. Ton » vague à l’Âme » a été salutaire Laurent ,premièrement même si je n’ai pas laissé de commentaire ce jour là j’ai ressenti une grande vague d’amour pour toi, ton équipe et le service qui est le votre.
    deuxièmement cela m’a boosté pour encore plus m’impliquer dans la direction 5D (de l’argent sans doute mais je t’avoue que par internet j’ai du mal mais je peut trouver de l’aide, mais aussi dans l’organisation d’une rencontre mais là le problème c’est les gens, car beaucoup de notre petit groupe m’ont quitté avec l’arrivé de MONSIEUR BLEU que j’ai plébicité tant cet aspect « secouez vous » raisonné en moi.Donc voilà les personnes qui sont intéressées pour cet rencontre je peux vous recevoir sur La Longueville près de Maubeuge dans le nord.Je n’ai pas su entré sur le site rencontre avec laurent,c’est pourquoi je le dépose ici.
    Voilà je sais que tu reçois des tas de merci et ce mot est bien simple pour exprimer l’étendu de ma gratitude.
    de coeur à coeur,
    valérie

  22. Un grand Bonjour, Laurent et vos sains équipiers ainsi qu’à vous tous, Amis commentateurs (trices) !
    Il est toujours assis dans sa chaise roulante, Lui, ce bisounours invétéré !…Son infirmière est charmante et attentionnée mais il n’ose pas la congédier par peur de la peiner…Il s’est levé plusieurs fois mais s’est toujours cassé la figure et s’est retrouvé couché sur le sol.
    Mais, Il sent, il le sait, nous le sentons tous ! Il arrive,..l’Instant précieux, l’Instant merveilleux…Il est dans l’Air, l’Eau, le Feu, la Terre et l’Ether…Il est en Nous !
    Merci de votre présence, Laurent, Brigitte et Corinne !

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